Pourtant, les 27 de l’Union européenne ont décidé d’ouvrir avec le Royaume-Uni la deuxième phase des négociations qui doivent amener au Brexit.

Airbus (- 0,11 % à 85,25 euros) a confirmé un profond remaniement à la tête du groupe, avec l'annonce du départ en février 2018 du directeur général délégué Fabrice Brégier, tandis que le président exécutif Tom Enders ne briguera pas de nouveau mandat après avril 2019, date à laquelle son actuel mandat prend fin. Deutsche Bank a relevé son objectif de 89 à 97.

EDF (+ 0,10 % à 10,485) a fait savoir qu'à la suite de différents aléas de production au cours des dernières semaines, sa production nucléaire sur l'année sera légèrement inférieure à la fourchette comprise entre 383 et 387 TWh (térawattheures) annoncée le 27 octobre dernier. Le rachat des réacteurs d’Areva a été officiellement bouclé.

Le titre GTT s’est adjugé 3,71 % à 49,995 après la signature d’un nouveau contrat de services sur cinq ans avec Chevron Transport pour la maintenance et l'exploitation de 10 méthaniers.

PSA Peugeot (- 0,46 % à 17,195) veut doubler d'ici 2021 la part de marché de Peugeot au Mexique, son quatrième marché en Amérique latine, qu'il considère comme stratégique. La nouvelle organisation de ses achats avec Opel sera opérationnelle dès janvier et représentera à terme 30 % des synergies attendues.

Le titre Abivax s’est envolé de 14,34 % à 9,50 après des résultats positifs en phase II dans le traitement du VIH.

L’indice CAC40 a ainsi cédé 0,15 % à 5.349,30 points dans un volume très important et en hausse en cette séance dite des quatre sorcières (clôture trimestrielle des contrats dérivés) de 6,90 MDE. Sur la semaine, il a perdu 0,92 %.