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Wall Street recule après la Fed et avant Nvidia

| Boursier | 226 | Aucun vote sur cette news

Wall Street s'est affiché en baisse mercredi, à la suite des multiples avis prudents de responsables de la Fed et en attendant le grand rendez-vous de...

Wall Street recule après la Fed et avant Nvidia
Credits PivèsPictures

Wall Street s'est affiché en baisse mercredi, à la suite des multiples avis prudents de responsables de la Fed et en attendant le grand rendez-vous de la soirée, à savoir celui de la publication des résultats de Nvidia... Le S&P 500 cède 0,27% à 5.307 pts et le Dow Jones recule de 0,51% à 39.671 pts, tandis que le Nasdaq perd 0,18% à 16.801 pts. La tendance s'affiche donc prudente avant les comptes trimestriels de la vedette boursière des derniers mois, Nvidia, moteur du rallye des valeurs de l'IA. A noter par ailleurs, une grosse déception sur le dossier Target dans la grande distribution qui pèse sur le secteur... Le baril de brut WTI abandonne encore plus de 1% sur le Nymex à 77,30$. L'once d'or cède 2% à 2.378$. L'indice dollar gagne 0,1% face à un panier de devises. Le bitcoin pointe sous les 70.000$.

Les responsables de la Fed sont très nombreux à s'exprimer cette semaine. Michael Barr, vice-président de la Fed pour la supervision, a ainsi indiqué qu'il était déçu des données d'inflation des premiers mois de l'année, laissant entendre qu'il faudrait laisser plus de temps les taux aux niveaux élevés actuels pour s'assurer de ramener l'inflation ver l'objectif de la banque centrale. Il faudrait donc donner plus de temps à la politique restrictive actuelle. Barr a aussi jugé que l'économie demeurait forte et que le taux de chômage restait faible. Il s'agirait donc de laisser les taux sur leurs niveaux actuels pour prendre le temps d'observer l'évolution des conditions...

Raphael Bostic, président de la Fed d'Atlanta, a pour sa part estimé que l'inflation devrait continuer à refluer cette année et en 2025, mais a aussi jugé que les taux d'intérêt pourraient rester au-dessus des niveaux observés durant la dernière décennie. Sur Bloomberg, Bostic a noté que cela allait prendre du temps avant que l'inflation ne revienne vers l'objectif. Il a noté que le marché de l'emploi était un peu moins tendu qu'il y a 12 mois mais n'était pas faible pour autant... Intervenant encore hier, Bostic indique qu'il n'est pas pressé de baisser les taux et veut s'assurer que l'assouplissement monétaire soit sans ambiguïté. "Je préfèrerais attendre plus longtemps pour une baisse des taux, afin d'être sûr que l'inflation ne commence pas à rebondir", déclare Bostic, qui s'attend à une baisse de l'inflation, mais assez lente, et ne prévoit pas de baisse de taux avant le quatrième trimestre.

Philip Jefferson, vice-président de la Fed, a indiqué de son côté que la politique monétaire restrictive avait pesé sur le marché immobilier... Il a jugé que les taux étaient en territoire restrictif et que les données d'avril de l'inflation des prix à la consommation étaient encourageantes. Il s'agit d'évaluer les données à venir pour mesurer l'équilibre des risques et mettre en place la politique monétaire appropriée. Jefferson juge pour l'instant que l'économie progresse à un rythme solide et que l'emploi demeure lui aussi robuste. Les anticipations d'inflation de long terme montrent que les Américains jugent la Fed en mesure d'atteindre son objectif des 2%. Jefferson s'attend à ce que la consommation progresse à un moindre rythme plus tard cette année. Le responsable voit un meilleur équilibre du marché du travail et un déclin de l'inflation, mais cela reste loin de ce qui est souhaité et les progrès sont moins rapides qu'attendu...

Le gouverneur Christopher Waller a indiqué pour sa part hier qu'il voyait certains progrès sur le front de l'inflation et n'anticipait pas de hausse supplémentaire des taux. Il qualifie les chiffres récents de l'inflation de rassurants et juge que la politique monétaire est adaptée. Waller estime qu'après trois lectures décevantes d'inflation des prix à la consommation, les derniers chiffres en ligne avec les attentes suggèrent que les progrès pourraient reprendre vers l'objectif des 2%. Quoi qu'il en soit, "les (dernières) données suggèrent que l'inflation n'accélère pas" et qu'il n'est donc probablement pas nécessaire de durcir encore la politique monétaire. Le responsable voit quelques signes de modération concernant l'économie, citant la stabilité des ventes de détail en avril ou encore un ralentissement de la création d'emplois. Waller juge donc que l'économie semble maintenant évoluer plus près de ce qu'attend le comité monétaire. "Néanmoins, en l'absence d'un affaiblissement significatif du marché du travail, j'ai besoin de plusieurs mois supplémentaires de bonnes données sur l'inflation avant de pouvoir soutenir avec confiance un assouplissement de la politique monétaire", ajoute le dirigeant.

Rappelons que Jerome Powell, patron de la Fed, avait donné le ton la semaine dernière en affichant sa confiance et sa détermination à ramener l'inflation vers l'objectif des 2%, même si cela pourrait se faire au prix d'un maintien plus long que prévu des taux au plus haut de 23 ans, entre 5,25 et 5,50%.

L'outil FedWatch montre une probabilité de statu quo supplémentaire de la Fed de plus de 96% le 12 juin, à l'issue de la prochaine réunion. Ce statu quo devrait persister en juillet d'après ce même outil (plus de 78% de 'proba'), mais la Fed pourrait ensuite assouplir sa politique à partir de septembre ou novembre. Évidemment, comme l'a très souvent souligné la Fed, la politique monétaire reste très dépendante des données économiques nouvelles. Les derniers chiffres des prix à la consommation la semaine dernière ont rassuré, mais rien ne dit que cette tendance soit durable...

Les ventes de logements existants aux Etats-Unis pour le mois d'avril sont ressorties au rythme de 4,14 millions d'unités, à comparer à un consensus de 4,21 millions mesuré par FactSet et à un niveau de 4,22 millions pour la lecture révisée (en hausse) du mois de mars. Elles déclinent ainsi de 1,9%.

L'indice des anticipations d'inflation de la Fed d'Atlanta pour le mois de mai 2024 s'est affiché à 2,3%, comme le mois précédent. Il mesure les anticipations d'inflation à un an du point de vue des firmes.

Les cours pétroliers restent nettement dans le rouge après l'annonce d'une hausse surprise des réserves de brut aux Etats-Unis la semaine passée... D'après le Département américain à l'Energie, les stocks domestiques de brut, hors réserve stratégique, ont progressé de 1,8 million de barils lors de la semaine close le 17 mai à 458,8 mb. Le consensus tablait sur une baisse de 2,4 mb. Les stocks d'essence ont reculé de 0,9 mb, et ceux de produits distillés ont augmenté de 0,4 mb.

Les Minutes du FOMC, compte-rendu de la dernière réunion monétaire, ont été publiées à 20 heures : S'ils ont admis leur déception à l'égard de données récentes sur l'inflation plus élevées qu'attendu, les responsables de la Réserve fédérale ont indiqué lors de leur dernière réunion qu'ils croyaient toujours à un recul des pressions sur les prix, même lent...
Ils ont "noté qu'ils continuaient de s'attendre à ce que l'inflation revienne à (l'objectif de) 2% à moyen-terme", est-il écrit dans les 'minutes' de la réunion de politique monétaire du 30 avril-1er mai. Les responsables de la banque centrale américaine ont toutefois dit s'attendre à ce que la "désinflation prenne plus de temps qu'anticipé au préalable".
Cette situation implique pour l'heure de "maintenir" le taux directeur de la Fed à son niveau actuel, indique encore le compte-rendu, qui laisse apparaître une discussion sur une potentielle hausse supplémentaire des taux d'intérêt...

"Des participants variés ont mentionné une volonté de resserrer davantage la politique si les risques pour l'inflation venaient à se matérialiser d'une manière qui rendrait appropriée une action", est-il écrit dans le document, avec une rhétorique inhabituelle... Des mots comme "certains" ou "un grand nombre" sont traditionnellement utilisés pour donner une idée du nombre de responsables ayant exprimé une opinion précise.
Les débats sont aussi porté sur le caractère plus ou moins restrictif de la politique monétaire en vigueur étant donné la solidité de l'économie - un enjeu important puisque la Fed veut une politique "suffisamment" restrictive pour contrôler l'inflation.
Alors qu'ils ont noté le risque de nouvelles pressions inflationnistes, les responsables de la banque centrale américaine considèrent globalement les données du premier trimestre comme un simple contre-temps vers un retour à l'objectif de 2%...

Les valeurs

Nvidia (-0,4%) consolide sur ses sommets alors que sa capitalisation approche les 2.400 milliards de dollars... Le titre a pris plus de 90% cette année et triplé sur 12 mois, avec l'engouement persistant autour de l'intelligence artificielle, domaine dans lequel le groupe de Jensen Huang est l'acteur incontournable. Nvidia annoncera mercredi soir, après bourse à Wall Street, ses résultats financiers du premier trimestre fiscal. Le consensus se situe à 5,57$ de bénéfice ajusté par action et 24,6 milliards de dollars de revenus sur la période. Il atteint 5,92$ de bpa ajusté et 26,6 milliards de dollars de revenus pour le trimestre suivant.
Le géant des puces graphiques et d'IA avait facilement battu le consensus sur le précédent trimestre, dégageant un bénéfice ajusté par action de 5,16$ à comparer à un consensus de 4,60$, pour des revenus de 22,1 milliards de dollars à comparer à un consensus de marché de 20,4 milliards. Les revenus de centres de données avaient été de 18,4 milliards, bien plus élevés que le consensus qui se situait à 17,2 milliards et en croissance de plus de 400% par rapport à l'année antérieure. Le bénéfice net trimestriel s'était envolé de près de... 770% à 12,3 milliards de dollars. Le groupe de Santa Clara avait ainsi réalisé un chiffre d'affaires pour le quatrième trimestre clos le 28 janvier 2024 de 22,1 milliards de dollars, en hausse de 22% par rapport au trimestre précédent et de... 265% par rapport à l'année dernière. Pour l'exercice 2024, les revenus ont augmenté de 126% pour atteindre 60,9 milliards de dollars. Le bénéfice non-GAAP par action diluée a représenté 12,96$, en hausse de 288%.
Pour le premier trimestre fiscal, le groupe envisageait alors, en février, lors de la précédente publication trimestrielle, des revenus de 24 milliards de dollars, plus ou moins 2%. La marge brute ajustée était attendue à 77%, plus ou moins 50 points de base. La question est donc de savoir si Nvidia parviendra encore à battre nettement le consensus et à convaincre Wall Street de sa capacité à maintenir sa domination dans les puces IA et à poursuivre ainsi sa croissance à un rythme soutenu.

Target plonge de 8%, alors que le détaillant discount américain, qui vient de baisser ses prix sur des milliers de produits, a annoncé des résultats décevants pour le premier trimestre. Le bénéfice ajusté trimestriel par action a été de 2,03$, contre 2,05$ un an avant. Le consensus FactSet était de 2,06$. Les revenus totaux sur ce trimestre clos début mai ont reculé à 24,5 milliards de dollars, contre 25,3 milliards pour le premier trimestre 2023. Pour son deuxième trimestre, Target vise une évolution de 0 à +2% de ses ventes à comparable, et un bénéfice ajusté par action allant de 1,95 à 2,35$. Sur l'exercice, l'évolution des ventes à comparable est attendue similaire, alors que le bénéfice par action est anticipé entre 8,60 et 9,60$, à comparer à un consensus d'environ 9,4$.

TJX Companies (+3,5%), la chaîne américaine de magasins aux enseignes TJ Maxx, HomeGoods ou Marshalls, progresse à Wall Street sur des résultats robustes. Pour son premier trimestre fiscal 2025, le groupe a affiché une croissance à comparable de 3% en haut de fourchette des objectifs, avec la hausse des transactions des clients. Les revenus totaux ont atteint 12,5 milliards (+6%). La marge avant imposition a été de 11,1%, en expansion de 0,8 point de pourcentage, meilleure qu'attendu. Le groupe ajuste en hausse ses estimations de marge bénéficiaire avant imposition pour l'exercice 2025 et sa guidance de bénéfice par action. Pour l'ensemble de l'exercice 2025, TJX continue de prévoir une hausse des ventes consolidées des magasins comparables de 2 à 3%. La société augmente ses perspectives de marge bénéficiaire avant impôts entre 11 et 11,1% et porte son objectif de bénéfice dilué par action entre 4,03 et 4,09$, ce qui se rapproche du consensus (4,1$).

PDD Holdings, ex-Pinduoduo, gagne 1,1%, alors que le groupe de commerce en ligne, opérateur notamment de Temu, a annoncé pour son premier trimestre clos fin mars 2024 des revenus totaux de 86,8 milliards de yuans, environ 12 milliards de dollars, en croissance de... 131% en comparaison de l'an dernier. Le bénéfice opérationnel trimestriel a quasiment quadruplé à près de 26 milliards de yuans, ou 3,6 milliards de dollars. Le bénéfice net ajusté attribuable aux actionnaires ordinaires a été de 30,6 milliards de yuans, plus de 4,2 milliards de dollars, trois fois plus élevé que l'an dernier, à la même époque. Le mastodonte du commerce électronique chinois affichait en fin de période un niveau de cash et équivalents de plus de 242 milliards de yuans, soit 33,5 milliards de dollars.

Analog Devices (+10,8%), l'un des acteurs américains majeurs des semi-conducteurs a publié pour son deuxième trimestre fiscal des comptes supérieurs aux attentes et relevé par ailleurs ses prévisions. Pour le trimestre clos début mai 2024, le groupe a affiché des revenus de 2,16 milliards de dollars, au-dessus du milieu de fourchette de sa dernière guidance. Ainsi, les revenus chutent de 34%, mais dépassent le consensus de marché qui était de 2,11 milliards de dollars. La marge opérationnelle ressort à 17,9% contre 34,6% un an avant. Le bénéfice dilué par action s'établit à 61 cents, contre 1,92$ pour la période comparable, l'an dernier. Le bénéfice ajusté par action recule de 51% à 1,40$, à comparer à un consensus de 1,26$. Pour le trimestre entamé, le milieu de fourchette des prévisions se situe à 1,50$ de bpa ajusté et 2,27 milliards de dollars de revenus, contre respectivement 1,34$ et 2,16 milliards de consensus.

Urban Outfitters, le détaillant américain en vêtements, cède 4,6%. Le groupe a pourtant dépassé les attentes sur le trimestre clos, avec en particulier sa marque Anthropologie. La croissance retail à comparable a été de 4,6%, alors que les revenus totaux ont progressé de 7,8% à 1,2 milliard de dollars, en ligne avec les anticipations de marché. Le bénéfice ajusté par action a été de 69 cents, contre 53 cents de consensus. Le free cash flow a progressé à 17,5 millions de dollars, contre 3,4 millions un an plus tôt. "Nous sommes heureux d'annoncer des ventes et des bénéfices records au premier trimestre, portés par la force continue des marques Anthropologie, Free People, FP Movement et Nuuly", a déclaré Richard A. Hayne, directeur général.

Toll Brothers (-8,4%), le constructeur américain de logements de luxe, a rehaussé ses prévisions et annoncé une augmentation de 60% des bénéfices. Sur les trois mois se terminant en avril, le groupe a affiché une forte hausse de 30% des contrats d'achat à 3.041 unités, contre 3.000 de consensus. L'objectif annuel de livraisons est maintenant situé entre 10.400 et 10.800 unités, contre 10.000 à 10.500 précédemment. Pour le deuxième trimestre fiscal juste clos, le groupe a nettement amélioré ses revenus et bénéfices. Le bénéfice par action a été de 4,55$ contre environ 4,1$ de consensus. Il était de 2,85$ un an avant, à la même période. Les revenus sont ressortis à 2,84 milliards de dollars, contre 2,66 milliards de consensus de marché et 2,51 milliards de dollars au deuxième trimestre 2023. La marge brute ajustée sur les ventes de maisons a toutefois décliné à 25,8% contre 26,4% un an plus tôt. La valeur du backlog en fin de période ressort à 7,4 milliards de dollars, en retrait de 12% sur un an (-6% en volume).

Tesla (-3,5%) freine en Europe... L'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA) a indiqué que le constructeur automobile texan n'avait enregistré que 13.951 véhicules en avril, ce qui représente un recul de 2,3% en comparaison de l'an dernier et le plus bas niveau depuis janvier 2023. La performance de Tesla est d'autant plus décevante que l'industrie des véhicules électriques en Europe a pour sa part progressé de 14% sur la même période. Durant la présentation des comptes du premier trimestre du constructeur, Elon Musk avait pourtant estimé que le deuxième trimestre allait être "bien meilleur". Ce premier mois du trimestre ne confirme pas pour l'heure ces espoirs, que ce soit en Europe ou en Chine.
Tesla s'était envolé mardi de 6,7%, suite à l'annonce par le groupe d'Elon Musk d'informations relatives à son projet Tesla Semi de camion 100% électrique. Après une série de reports, le groupe texan a confirmé hier que le Semi restait en bonne voie pour une livraison en 2026. Ainsi, le groupe construit une usine dans le Nevada en vue d'une mise en service en 2026 pour les livraisons aux clients. Le site atteindrait sa capacité cible finale à 50.000 unités par an, selon les commentaires du management à l'occasion de l'Advanced Clean Transportation Expo de Las Vegas.

Google (Alphabet -0,8%) va tester les publicités dans ses réponses générées par l'IA aux États-Unis, a indiqué hier le géant californien de l'Internet, une semaine après avoir déployé la fonctionnalité AI Overviews lors de sa conférence annuelle I/O 2024. Les publicités apparaîtraient dans une section sponsorisée au sein d'AI Overviews en fonction de la pertinence et des informations de la requête, a ajouté Google dans un article de blog, alors que le groupe poursuit son offensive dans l'IA générative et entend en profiter pour doper ses recettes publicitaires. Le groupe entend continuer ses tests sur de nouveaux formats et tenir compte du retour des annonceurs.

Apple (-0,7%) a fait état de son intention de demander à un juge américain de rejeter une plainte déposée en mars par le Département US de Justice et 15 États - qui accusent le groupe à la pomme de monopoliser le marché des smartphones et d'affecter ses concurrents plus petits tout en faisant monter les prix... L'agence Reuters évoque à ce sujet une lettre adressée au juge de district américain Julien X. Neals du New Jersey, dans laquelle Apple s'estime "loin d'être un monopole" et dit faire face à une concurrence féroce de la part de rivaux bien établis. Apple ajoute que le DoJ américain s'appuie sur une nouvelle théorie de la responsabilité antitrust "qu'aucun tribunal n'a reconnue". Le ministère de la Justice affirme pour sa part qu'Apple utilise son pouvoir sur le marché pour obtenir plus d'argent des consommateurs, des développeurs, des créateurs de contenu, des artistes, éditeurs, petites entreprises et commerçants, rappelle Reuters.

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