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Wall Street : les indices corrigent le tir après la Fed, Alphabet accuse le coup

| Boursier | 398 | Aucun vote sur cette news

Wall Street a perdu du terrain mercredi, avec les corrections d'Alphabet et d'AMD et dans la foulée des déclarations de la Fed qui s'est montrée...

Wall Street : les indices corrigent le tir après la Fed, Alphabet accuse le coup
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Wall Street a perdu du terrain mercredi, avec les corrections d'Alphabet et d'AMD et dans la foulée des déclarations de la Fed qui s'est montrée particulièrement prudente à l'issue de la réunion de son conseil monétaire. Le S&P 500 cède 1,61% de retour à 4.845 pts et le Nasdaq décroche de 2,23% à 15.164 pts, tandis que le Dow Jones cède 0,82% à 38.150 pts. Les annonces de résultats, assez contrastées dans l'ensemble, ont constitué le prétexte idéal aux prises de bénéfices, alors que Dow Jones, S&P 500 et Nasdaq 100 s'affichaient au plus haut historique en début de semaine...
Notons qu'il s'agit de la principale semaine de la saison des publications financières d'entreprises, puisque les annonces de résultats concernent pas moins de 40% de la capitalisation du S&P 500, avec notamment les deux poids lourds de 3.000 milliards de dollars, Apple et Microsoft...

La Réserve fédérale américaine a donc, comme attendu, maintenu l'objectif des taux de ses "fed funds" à 5,25%-5,50% pour la quatrième fois consécutive, tout en indiquant "avoir besoin de davantage de certitudes sur un repli de l'inflation pour procéder à une baisse des taux". "Les risques sur nos objectifs sont désormais plus symétriques", a déclaré le président de la Fed, Jerome Powell. La croissance est forte, et son ralentissement n'est désormais plus jugée nécessaire pour que l'inflation retourne à son objectif de 2%... L'activité économique "s'est développée à un rythme soutenu", a encore indiqué la Fed dans son communiqué. Les créations d'emplois "sont fortes et le taux de chômage est resté bas".
Pour autant, la Fed a déclaré que davantage de données étaient indispensables pour s'assurer que la dynamique des prix était bien en ralentissement... "Nous sommes confiants dans le ralentissement de l'inflation mais attendons davantage de données pour nous assurer que ce que nous voyons est le bon signal", a insisté Jerome Powell. "Nous ne crions pas victoire !". Et de préciser : "D'après notre réunion, je ne pense pas que nous aurons assez de certitudes sur l'inflation pour baisser les taux en mars". Powell a toutefois estimé que les taux de la banque centrale étaient probablement "à leur pic".

Les marchés monétaires ont aussitôt ajusté la probabilité d'une baisse de taux en mars à environ 36% après ces commentaires.

A noter côté statistiques, que les créations d'emplois privés aux Etats-Unis pour le mois de janvier 2024 se sont établies au nombre de 107.000, contre 145.000 de consensus FactSet et 158.000 pour le mois antérieur, en lecture révisée. Le ralentissement des embauches de 2023 s'est poursuivi en janvier et la pression sur les salaires continue de s'atténuer, note ADP. La prime salariale pour les personnes qui changent d'emploi est tombée à un nouveau plus bas le mois dernier... "Les progrès en matière d'inflation ont amélioré la situation économique malgré un ralentissement des embauches et des salaires. Les salaires ajustés de l'inflation se sont améliorés au cours des six derniers mois et l'économie semble se diriger vers un atterrissage en douceur aux États-Unis et dans le monde", ajoute Nela Richardson, cheffe économiste d'ADP.

En janvier, ce sont les entreprises de 50 à 249 employés qui ont généré le plus de postes, 53.000 selon l'étude, contre 31.000 pour les entreprises de plus de 500 salariés et 19.000 pour les entreprises de 1 à 19 personnes.

L'indice du coût de l'emploi pour le quatrième trimestre 2023, qui vient lui aussi d'être publié, a augmenté de 0,9% en comparaison du trimestre antérieur, contre +1% de consensus. Il progresse de 4,2% en glissement annuel.

L'indice manufacturier PMI de Chicago du mois de janvier 2024 s'est établi à 46, contre 48,1 de consensus de place et 46,9 un mois auparavant... L'indice s'enfonce donc sous la barre des 50 et traduit une contraction plus prononcée de l'activité manufacturière dans la région considérée.

Jeudi, les opérateurs suivront l'étude Challenger, Gray & Christmas sur les annonces de licenciements aux Etats-Unis, les inscriptions hebdomadaires au chômage, les chiffres de la productivité non-agricole et des coûts unitaires du travail, l'indice PMI manufacturier final, l'ISM manufacturier et les dépenses de construction. Enfin, vendredi, le rapport gouvernemental mensuel sur la situation de l'emploi pour le mois de janvier, l'indice du sentiment des consommateurs de l'Université du Michigan et les commandes à l'industrie feront l'actualité.

Côté entreprises, jeudi, Merck, Honeywell, Eaton, Ferrari, Illinois Tool Works, Altria, Becton, Dickinson, Parker-Hannifin, Royal Caribbean Cruises, Cardinal Health, Sirius XM, International Paper ou Stanley Black & Decker, révèleront leurs comptes avant bourse, tandis que les géants Apple, Amazon et Meta Platforms publieront après la clôture.

Sur le Nymex, le baril de brut WTI reperd plus de 2% à 76$. L'indice dollar cède 0,3% face à un panier de devises de référence.

Les valeurs

Microsoft (-2,6%). Le géant software a affiché ainsi pour son deuxième trimestre fiscal des résultats supérieurs aux anticipations de marché, avec le cloud et l'IA. Pour le trimestre clos fin décembre, le groupe mené par Satya Nadella a annoncé des revenus en croissance de 18% à 62 milliards de dollars, ainsi qu'un bénéfice ajusté par action de 2,93$. Le consensus Bloomberg se situait à 2,78$ de bénéfice par action et 61,1 milliards de revenus. Le groupe de Redmond, qui a investi des milliards dans la startup d'intelligence artificielle OpenAI à l'origine de ChatGPT et vient de dépasser Apple (-1,9%) au rang de première capitalisation boursière mondiale, n'a donc pas déçu sur le trimestre clos.
Les revenus des services cloud d'Azure ont augmenté de 30%, un peu plus encore qu'au précédent trimestre, contre 28% de consensus. Amy Hood, directrice financière du groupe, a estimé, citée par Bloomberg, que l'IA avait dopé le taux de croissance d'Azure de six points de pourcentage. Du côté de la rentabilité, Microsoft a amélioré de 33% son bénéfice net à 21,9 milliards de dollars soit 2,93$ par action. Le bénéfice opérationnel a grimpé de 33% lui aussi à 27 milliards. Le chiffre d'affaires a pour sa part bénéficié du premier impact de l'intégration de l'acquisition de l'éditeur de jeux vidéo Activision Blizzard pour 69 milliards de dollars en octobre. Les activités Intelligent Cloud (Azure, SQL Server, Windows Server...) ont généré près de 26 milliards de dollars de revenus sur le trimestre, en croissance de 20%, contre 19,2 milliards de dollars pour le segment Productivity & Business Processes (Office, LinkedIn...), en progression de 13%, et 16,9 milliards de dollars pour le segment PC comprenant Windows, Surface, Bing et les produits Xbox. Microsoft anticipe désormais des revenus allant de 60 à 61 milliards de dollars pour son troisième trimestre, à comparer à un consensus de 60,9 milliards.

Alphabet chute de 7,5%, malgré des résultats du quatrième trimestre supérieurs aux anticipations de marché. Sur le trimestre clos, le groupe a dégagé un bénéfice ajusté par action de 1,64$, contre 1,60$ de consensus et 1,05$ un an avant. Les revenus hors TAC ont totalisé quant à eux 72,3 milliards de dollars (+15%), battant le consensus de 2%, alors qu'ils se situaient à 63,1 milliards de dollars un an auparavant. Le bénéfice net trimestriel du groupe californien a été de 20,7 milliards de dollars, en croissance de 52% en glissement annuel, malgré une charge de 1,2 milliard correspondant à plus de 1.000 suppressions de postes. Néanmoins, les réductions de coûts ne semblent pas assez rapides au goût des investisseurs, et les recettes publicitaires sont jugées un peu courtes à 65,5 milliards de dollars (+11%). Les revenus des activités principales de recherche, à 48 milliards de dollars, ont été quasiment conformes aux attentes. Les revenus consolidés totaux ont été de 86,3 milliards de dollars, en augmentation de 13%.

AMD (-1%), le challenger de Nvidia (-2%) dans les puces d'IA, corrige à Wall Street. Le groupe a présenté ses comptes du quatrième trimestre, marqués par un bénéfice ajusté par action de 77 cents à comparer aux 69 cents de l'an dernier. Le bénéfice est conforme aux attentes de marché, tandis que les revenus ont augmenté de 10% à 6,17 milliards de dollars, contre environ 6,1 milliards de consensus. Le groupe dirigé par Lisa Su a dopé de 1,5 milliard de dollars ses prévisions 2024 concernant les puces d'IA, à 3,5 milliards de dollars, mais la guidance de revenus du premier trimestre a raté le consensus. Sur le trimestre entamé, le management envisage donc des revenus de 5,4 milliards de dollars, plus ou moins 300 millions de dollars, alors que le consensus atteignait 5,7 milliards.

Starbucks (-1,1%), la chaîne américaine de cafés, a raté le consensus de bénéfice et de ventes sur le trimestre clos. Le groupe a par ailleurs abaissé ses estimations de ventes, mais le titre est orienté en hausse à Wall Street, les opérateurs semblant juger le groupe sur la voie de la recovery. Pour le trimestre clos, les revenus ont augmenté de 8% à 9,4 milliards de dollars, alors que le consensus était de 9,6 milliards de dollars. Le bénéfice ajusté par action a augmenté de 20% à 90 cents, lui aussi inférieur aux attentes, puisque le consensus se situait à 93 cents. La croissance à comparable aux Etats-Unis a été de 5% au lieu des 6% espérés. Le groupe envisage désormais, pour l'exercice 2024, des revenus en croissance de 7 à 10%, contre 10-12% précédemment envisagé. La croissance américaine est attendue à 4-6% à comparable. La croissance chinoise à comparable est anticipée à un chiffre bas. Enfin, la progression des bénéfices est attendue à 15-20%.

Stryker (+5,9%) a battu le consensus au quatrième trimestre. Le groupe a dégagé un bénéfice ajusté par action de 3,46$ à comparer à un consensus de marché de 3,3$. Les revenus ont été de 5,82 milliards de dollars, battant de 4% les attentes de marché, alors qu'ils se situaient à 5,2 milliards de dollars un an avant. Le groupe médical de Kalamazoo, Michigan, a fourni par ailleurs des perspectives optimistes, tablant sur une croissance organique 2024 allant de 7,5 à 9%, et un bpa ajusté allant de 11,70 à 12$.

Mondelez (-1,4%), le géant alimentaire américain connu notamment pour sa marque Oreo, a affiché une croissance robuste des bénéfices en 2023. Les revenus annuels ont augmenté de 14,4% avec une croissance organique de 14,7%. Le quatrième trimestre est en progression de 7,1%, avec une croissance organique de 9,8%. Le bénéfice ajusté par action sur l'exercice a augmenté quant à lui de 19% à 3,19$. La croissance 2024 des revenus est attendue dans le haut d'une fourchette allant de 3 à 5%.

Electronic Arts (stable), l'éditeur américain de jeux vidéo, a annoncé pour son troisième trimestre fiscal 2024 un net bookings de 2,37 milliards de dollars en augmentation de 1% en glissement annuel. Les revenus trimestriels ont été de 1,95 milliard de dollars (+3%), alors que le bénéfice net a représenté 290 millions de dollars contre 204 millions un an avant. Le bpa dilué trimestriel a été de 1,07$ contre 73 cents un an avant. Il dépasse largement les attentes des analystes. Le groupe prévoit pour son quatrième trimestre fiscal des revenus allant de 1,625 à 1,925 milliard, pour un bénéfice net de 54 à 183 millions.

Match Group (+1,7%) a battu le consensus de profit et de revenus sur le trimestre écoulé. Le conglomérat propriétaire notamment de Tinder et Hinge, a annoncé un bénéfice ajusté trimestriel par action de 81 cents très nettement au-dessus des attentes, tandis que ses revenus ont totalisé 866 millions de dollars, en augmentation de 10%, contre 861 millions de consensus. Un nouveau programme de rachat d'actions d'un milliard de dollars a été autorisé par le conseil d'administration.

Fortune Brands (-3,9%) a dévoilé un bénéfice ajusté trimestriel par action de 95 cents, contre 93 cents de consensus et 1,07$ un an auparavant. Les revenus ont été de 1,16 milliard de dollars sur ce trimestre clos en décembre, 2% de moins que le consensus, alors qu'ils se situaient à 1,13 milliard un an avant. Les ventes annuelles ont reculé de 2% à 4,6 milliards de dollars, alors que le bénéfice ajusté par action a trébuché de 8% à 3,91$. Le groupe envisage une croissance des ventes au-dessus du marché et une expansion des marges.

Mastercard (+0,9%) a dévoilé une hausse de 11% de son bénéfice au quatrième trimestre, avec la résilience des dépenses de consommation. Le bénéfice trimestriel est ressorti à 2,8 milliards de dollars, ou 2,97$ par action, contre 2,5 milliards de dollars un an plus tôt. Le bénéfice ajusté par action a été de 3,18$. Les revenus ont augmenté de 13% à 6,5 milliards de dollars. Le consensus était de 3,08$ de bpa ajusté pour environ 6,5 milliards de dollars de recettes.

Thermo Fisher Scientific (-4,9%) a annoncé des perspectives 2024 de profits inférieures aux attentes de marché, sur fond de demande déprimée. Le concepteur d'équipements médicaux dit désormais anticiper des revenus annuels 2024 allant de 42,1 à 43,3 milliards de dollars, contre 42,9 milliards de consensus. Le bpa ajusté annuel est attendu entre 20,95 et 22$, contre environ 22$ de consensus. Sur le quatrième trimestre fiscal juste clos, le bpa ajusté a été de 5,67$ contre 5,64$ de consensus.

Boeing (+5,2%). Le géant américain de l'aéronautique a affiché des résultats du quatrième trimestre supérieurs aux attentes, mais suspend par ailleurs ses prévisions 2024, alors qu'il est aux prises avec les difficultés du 737-9 MAX. Sur le trimestre clos, le groupe a réalisé des revenus de 22,02 milliards de dollars, contre 21,1 milliards de consensus. La perte ajustée par action a été de 47 cents, contre 76 cents de consensus.

Automatic Data Processing (+3%) a affiché au deuxième trimestre fiscal des revenus en croissance de 6% à 4,7 milliards de dollars, avec une croissance organique de 6% également. Le bénéfice net s'est amélioré de 8% à 878 millions de dollars, alors que le bpa dilué a progressé de 9% à 2,13$. L'Ebit ajusté a augmenté de 7% à 1,1 milliard de dollars, pour une marge de 24,6% en hausse de 20 points de base.

Boston Scientific (+3%) grimpe à Wall Street sur de solides résultats. Les revenus du quatrième trimestre fiscal ont progressé de 15% à 3,72 milliards de dollars, portant les revenus annuels à 14,2 milliards de dollars (+12%). Le bénéfice net trimestriel a été de 504 millions de dollars et 34 cents par titre. Le bénéfice net pour l'exercice totalise 1,57 milliard de dollars. Le bpa ajusté du quatrième trimestre s'établit à 55 cents, en croissance significative. Le groupe anticipe une poursuite de la croissance en 2024.

Phillips 66 (+1,3%) a affiché au quatrième trimestre fiscal un bénéfice de 1,3 milliard de dollars soit 2,86$ par titre, ainsi qu'un bénéfice ajusté de 1,4 milliard de dollars soit 3,09$ par action. Le cash flow opérationnel a atteint 2,2 milliards de dollars. Sur l'exercice, le résultat net totalise 7 milliards de dollars et le bénéfice net ajusté 7,2 milliards.

Roper (-4,3%), le groupe diversifié de Floride actif dans les produits et solutions pour marchés de niche, et notamment les logiciels industriels, a affiché pour le quatrième trimestre un Ebitda ajusté en augmentation de 11% et un bpa ajusté en progression comparable à 4,37$. Les revenus ont augmenté de 13% à 1,61 milliard de dollars, avec une croissance organique de 8%. Sur l'exercice clos, les revenus se sont appréciés de 15% à 6,18 milliards. Le bénéfice net consolidé a été de 1,37 milliard de dollars. Sur l'exercice entamé, le bpa ajusté est attendu entre 17,85 et 18,15$. La croissance des revenus est anticipée entre 11 et 12%.

Hess (-2%) a publié pour son quatrième trimestre un bénéfice net consolidé de 413 millions de dollars soit 1,34$ par action, contre 497 millions de dollars un an avant. Le bénéfice net ajusté a été de 501 millions de dollars soit 1,63$ par action, contre 522 millions de dollars sur la période comparable de l'année antérieure.

Rockwell Automation (-17,5%) a annoncé pour son premier trimestre fiscal des revenus consolidés en croissance de 3,6%, alors que la progression organique ressort à 1%. Le bénéfice ajusté par action a été de 2,04$, en baisse de 17% en glissement annuel. Le groupe met à jour sa guidance annuelle et table désormais sur un bpa GAAP de 11,24 à 12,74$, tandis que la guidance de bénéfice ajusté par action est confirmée entre 12 et 13,5$.

Paramount bondit de 21%, Bloomberg ayant indiqué que Byron Allen aurait effectué une offre de 14,3 milliards de dollars pour l'achat de la totalité des titres. Allen aurait proposé 28,58$ par titre donnant droit de vote et 21,53$ par titre sans droit de vote. En tenant compte de la dette existante, la valeur totale de l'opération se chiffrerait donc à 30 milliards de dollars.

Tesla (-2,2%). Un juge du Delaware a invalidé hier le package de rémunération de 56 milliards de dollars d'Elon Musk pour son travail en tant que directeur général, se rangeant ainsi du côté d'un actionnaire de Tesla qui avait estimé cette enveloppe d'inéquitable. Il s'agissait du programme de rémunération pour 2018. Un investisseur nommé Richard Tornetta, qui ne détenait que quelques actions, a poursuivi Musk et plusieurs administrateurs de Tesla en 2018, affirmant que le salaire de Musk était injuste. Le milliardaire devrait très probablement faire appel de la décision. En attendant, il conseille sur le réseau social X de "ne jamais constituer son entreprise dans l'Etat du Delaware" !

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