Aberdeen étend sa stratégie Global Infrastructure Equity aux investisseurs européens

Aberdeen lance le fonds abrdn SICAV I - Global Infrastructure Equity, qui réplique une expertise interne existante et pilotée avec succès depuis près de 17 ans par Josh Duitz, qui assurera également la gestion de cette nouvelle stratégie.
Le fonds vise à combiner croissance et revenus en investissant dans des sociétés axées sur les infrastructures, et qui adhèrent à l'approche d'investissement responsable d'Aberdeen.

Joshua Duitz, Responsable des infrastructures cotées chez Aberdeen, a déclaré : "Nous estimons que d'ici 2050, les économies mondiales devront mobiliser environ 64.000 milliards de dollars pour répondre aux besoins croissants liés à la production, aux évolutions démographiques et à l'urbanisation. Il s'agit d'un défi colossal qui nécessite non seulement des capitaux, mais aussi de l'innovation. L'intelligence artificielle et les centres de données entraînant une forte augmentation de la consommation d'énergie, l'attention se porte désormais sur les infrastructures qui les soutiennent, qu'il s'agisse de moderniser les réseaux électriques, d'étendre les réseaux ou de renforcer les fondements de l'économie moderne. Mais les besoins ne s'arrêtent pas là. La modernisation des systèmes de transport, l'extension des antennes-relais et la mise en place de réseaux numériques résilients sont tout aussi essentiels. Face à l'alourdissement de la dette publique, le rôle du capital privé, et en particulier des infrastructures cotées, n'a jamais été aussi crucial. Après près de 17 années à la tête de fonds d'infrastructures, je n'ai jamais été aussi enthousiaste quant aux opportunités à venir."

Pour les investisseurs, les entreprises axées sur les infrastructures présentent plusieurs atouts : la perspective de flux de trésorerie pérennes, souvent indexés sur l'inflation ; des barrières à l'entrée élevées rendant la concurrence limitée ; et une capacité à bien résister dans différents environnements économiques grâce à la longue durée de vie de leurs actifs.
Cette résilience se traduit également par une faible corrélation du secteur des infrastructures avec les actions des marchés développés au niveau mondial.