Acticor Biotech repositionne glenzocimab dans le traitement de l'infarctus du myocarde
Acticor Biotech, société de biopharmaceutique au stade clinique spécialisée dans le développement de médicaments innovants pour le traitement des...
Acticor Biotech, société de biopharmaceutique au stade clinique spécialisée dans le développement de médicaments innovants pour le traitement des urgences cardiovasculaires et notamment les maladies thrombotiques aigues, fait aujourd'hui le point sur ses développements cliniques, évaluant glenzocimab dans le traitement de l'infarctus du myocarde.
Gilles AVENARD, Directeur Général et fondateur d'Acticor Biotech, commente : "L'infarctus du myocarde constitue une cause majeure de décès dans le monde, représentant 7 à 9 millions de décès par an, dont 30 à 40% d'un infarctus du myocarde avec élévation du segment ST (STEMI). Ce type de crise cardiaque grave, causé par l'occlusion complète d'une artère coronaire, entraîne des dommages importants au muscle cardiaque. Malgré les progrès des traitements actuels, tels que l'angioplastie et les antithrombotiques, un besoin médical persiste pour une prise en charge plus efficace de la thrombose microvasculaire, responsable de complications graves. Acticor Biotech mène actuellement une étude de phase 2b, LIBERATE, en partenariat avec l'Université de Birmingham au Royaume-Uni pour évaluer l'efficacité et la sécurité du glenzocimab, dans la réduction de la taille de l'infarctus et la prévention des complications microvasculaires. Convaincu de l'utilité de glenzocimab, nous envisageons un plan de développement clinique dans cette indication, en particulier une nouvelle étude clinique de phase 2, GLORIA."
Yannick PLETAN, Directeur Médical et Directeur Général Délégué d'Acticor Biotech, confirme : "Les experts internationaux consultés à la suite des résultats dans l'accident vasculaire cérébral (AVC) sont unanimes pour affirmer que le glenzocimab conserve tout son intérêt dans l'infarctus du myocarde du fait de son mode d'action innovant et d'une homogénéité plus grande chez les patients présentant un STEMI. La cause d'un infarctus réside dans la rupture d'une plaque d'athérome coronarienne, le diagnostic ne nécessite pas d'imagerie préalable et l'accès aux services d'urgence est plus large que pour un AVC. Tous ces éléments militent pour la poursuite du développement du glenzocimab dans cette indication."
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