Autre facteur justifiant la retenue du jour, c’est l'indice Caixin des services en Chine qui a ralenti en janvier (53,6 après 53,9 en décembre), confirmant ainsi la crainte d’une décélération de l’économie chinoise.

Dans le sillage des banques italiennes sur fond d’une entrée en récession, les valeurs bancaires ont continué de faire l'objet de dégagements alors que BNP Paribas (- 1,90 % à 40,11) et Société Générale (- 2,78 % à 25,75), publieront le 6 et le 7 février leurs résultats trimestriels.

Alors que les immatriculations d'automobiles neuves en Allemagne ont diminué de 1,4 % en janvier, le secteur a encore plombé la tendance (Valeo – 2,73 % à 26,36, Renault – 2,07 % à 60,14 et Faurecia – 2,73 % à 37,35).

Le titre Vallourec (- 7,16 % à 1,44) a accentué sa chute, pénalisé cette fois par Kepler Cheuvreux qui a abaissé sa recommandation de Conserver à Réduire, citant comme principal risque la possibilité que le groupe convertisse sa dette en capital.

Après l’annonce de son intention de déconsolider Wordline (+ 3,16 % à 50,3), le titre Atos (+ + 0,83 % à 80,4) a vu son objectif de cours relevé par UBS de 83 à 90. S

anofi (+ 0,88 % à 76,06) a annoncé que l'Agence européenne des médicaments avait délivré un avis favorable au Praluent (alirocumab) pour la réduction du risque cardiovasculaire chez les personnes atteintes de maladie cardiovasculaire athéroscléreuse établie.

Euronext (+ 0,47 % à 53,25) a réaffirmé sa détermination à acquérir la Bourse d'Oslo tout en annonçant qu'il allait évaluer ses options pour ajuster son offre, alors que s'ouvre l'offre rivale du groupe américain Nasdaq sur l'opérateur boursier norvégien.

L’indice CAC40 a ainsi perdu 0,38 % à 5.000,19 points dans un volume en baisse à 2,80 MDE.