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Clôture Wall Street : proche de l'équilibre, malgré un très mauvais rapport sur l'inflation

| Boursier | 57 | 1 par 1 internautes

Belle résistance

Clôture Wall Street : proche de l'équilibre, malgré un très mauvais rapport sur l'inflation
Credits Reuters

Wall Street terminait proche de l'équilibre ce jeudi, après la publication d'un rapport alarmant concernant les prix américains à la production. Le S&P 500 se stabilisait à 6.468 pts (+0,03%), tandis que le DJIA rendait 0,02% à 44.911 pts et que le Nasdaq cédait 0,01% à 21.711 pts. Les investisseurs, qui semblaient ne plus voir d'obstacle à la hausse perpétuelle des indices, ont été tout de même surpris ce jour par la poussée inattendue des prix à la production du mois de juillet. L'indice PPI ajusté, hors alimentaire et énergie, affiche sa plus forte hausse en trois ans ! L'indice des prix à la production hors ajustements a affiché sur une base annuelle une hausse de 3,3%, la plus forte depuis février. Un rapport préoccupant qui intervient par ailleurs juste avant l'intervention de Jerome Powell, patron de la Fed, programmée dans à peine plus d'une semaine pour le symposium de Jackson Hole. En bref, le narratif de la baisse des taux qui dominait ces dernières semaines en prend un coup, même si dans le clan Trump, on continue de plaider pour une baisse agressive et rapide des taux. Le président américain juge ainsi que les taux de la Fed devraient se situer... à 1%, alors qu'ils sont actuellement entre 4,25 et 4,50%.

Scott Bessent, le Secrétaire américain au Trésor, avait estimé hier encore que les taux de la Fed devraient déjà être 150 ou 175 points plus bas. Il ajoutait, alimentant la théorie de Trump selon laquelle les chiffres de l'emploi américain auraient pu être manipulés à des fins politiques, que si les données économiques avaient été exactes, il était possible que la Fed aurait réduit ses taux plus tôt. Bessent pense que la baisse des taux attendue pourrait débuter par un geste fort de 50 points de base en septembre et voit "une bonne chance" que cela se produise. En revanche, il ne juge pas nécessaire que la banque centrale américaine en revienne à des achats d'actifs à grande échelle... "Lorsqu'il s'agit de choisir un nouveau président de la Fed, c'est une question d'économie et de ce qui est le mieux pour le peuple américain. Je me concentre sur trois choses : la politique monétaire, la politique réglementaire et la rationalisation d'une Fed pléthorique qui met en péril son indépendance monétaire", a aussi lancé le responsable. Un travail serait aussi fait sur "une liste importante de remplacements au Comité", Bessent indiquant qu'il s'agirait "de noms du secteur privé".

L'administration Trump envisagerait 11 candidats pour remplacer Jerome Powell, président de la Fed, à l'expiration de son mandat en mai. C'est du moins ce que croit savoir CNBC ce mercredi. Trois d'entre eux n'auraient pas encore été nommés publiquement, selon deux responsables de l'administration cités par CNBC, qui ont requis l'anonymat. Parmi les nouveaux candidats figureraient ainsi David Zervos, stratège en chef des marchés chez Jefferies, Larry Lindsey, ancien gouverneur de la Fed, et Rick Rieder, le directeur des investissements pour les titres à revenu fixe mondiaux chez BlackRock. Ils rejoignent une liste de huit autres candidats dont CNBC a confirmé l'existence, dont Michelle Bowman, vice-présidente de la Fed chargée de la supervision, Christopher Waller, gouverneur de la Fed, et Philip Jefferson, vice-président de la Fed. Les responsables ont également confirmé que parmi les candidats figuraient Marc Summerlin, conseiller économique sous l'administration Bush, Lorie Logan, présidente de la Fed de Dallas, et James Bullard, l'ancien président de la Fed de St. Louis. Trump a par ailleurs récemment déclaré à CNBC lors d'une interview que Kevin Hassett, directeur du Conseil économique national, et Kevin Warsh, ancien gouverneur de la Fed, figuraient parmi les candidats sur sa liste.

Les responsables cités par CNBC ont décrit un processus délibératif au cours duquel le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, interrogera tous les candidats, ajustera la liste et transmettra la liste finale au président pour décision. La taille de la liste et le processus décrit suggèrent qu'une décision n'est pas imminente et pourrait prendre un temps considérable, ajoute CNBC, expliquant que les responsables n'ont pas souhaité fournir de calendrier. Plus le processus est long, moins il est probable qu'un "président fantôme de la Fed" soit en poste pendant plusieurs mois avant le départ de Powell, ce qui, selon certains, perturberait la politique monétaire. Bien que très critique à l'égard de Powell, Trump aurait abandonné l'idée de remplacer le président de la Fed avant la fin de son mandat en mai.

La trêve commerciale entre la Chine et les États-Unis a rappelons-le été prolongée juste avant son expiration. Donald Trump a signé un décret suspendant jusqu'au 10 novembre à 12h01 l'entrée en vigueur des droits de douane annoncés plus tôt sur les produits importés de Chine. Trump a expliqué que les USA continueraient de discuter avec la Chine "pour répondre au manque de réciprocité commerciale dans les liens économiques et aux préoccupations de sécurité nationale et économique", ajoutant que Pékin continuait de prendre "des mesures significatives pour remédier aux régimes commerciaux non-réciproques et répondre aux préoccupations des États-Unis". Le président américain avait annoncé en avril que les produits provenant de Chine allaient être taxés à hauteur de... 145%. Pékin avait répliqué avec des droits de 125% sur les produits américains, ce qui avait alors fait craindre le pire. Mais l'heure semble désormais à l'apaisement. Les surtaxes douanières maintenues pour l'instant sont de 30% sur les produits chinois importés aux USA et de 10% sur les produits américains arrivant en Chine. Pékin a décrit la nouvelle trêve commerciale comme une mesure destinée à progresser dans la mise en oeuvre du consensus obtenu par Trump et Xi Jinping lors de leur entretien du début du mois de juin.

Sur le front géopolitique, Trump rencontrera Vladimir Poutine demain en Alaska afin de tenter de mettre un terme au conflit entre Russie et Ukraine. Le président américain a averti qu'il y aurait "des conséquences très graves" si Poutine n'acceptait pas un accord de cessez-le-feu plus tard cette semaine, à la suite d'un appel avec les dirigeants européens avant sa rencontre avec le président russe. Trump a également déclaré qu'il espérait profiter de la réunion de vendredi pour organiser une deuxième rencontre rapide avec le dirigeant ukrainien Volodymyr Zelensky, après que ses alliés l'ont pressé d'organiser un tel sommet. Le Premier ministre britannique Keir Starmer accueillera Zelensky à Londres ce jeudi, a indiqué Downing Street. "Il y a de fortes chances que nous ayons une deuxième réunion qui sera plus productive que la première", a déclaré Trump depuis le Kennedy Center, ajoutant qu'il préparait la table pour la deuxième réunion. Ainsi, Trump semble minimiser les attentes concernant la conclusion d'un accord de paix complet lors de son sommet d'Anchorage, en Alaska, avec Poutine. Lors de l'appel avec ses alliés européens, Trump aurait assuré qu'il ne négocierait pas de territoires avec Poutine et qu'il inciterait le dirigeant russe à rencontrer Zelensky. C'est du moins ce qu'affirment des sources de Bloomberg. Trump a réitéré sa déclaration selon laquelle il saurait rapidement si le président russe était sérieux dans ses négociations, et a affirmé que les États-Unis seraient disposés à contribuer à certaines garanties de sécurité, sans pour autant que Kiev soit pleinement membre de l'OTAN. Le président français Emmanuel Macron a jugé pour sa part que toute décision sur d'éventuelles concessions territoriales devrait être prise par l'Ukraine...

Sur le front économique, l'inflation préoccupait tout particulièrement ce jeudi. Alors que l'indice des prix à la consommation publié plus tôt cette semaine était ressorti globalement conforme aux prévisions des économistes, celui des prix à la production vient de surprendre en très forte augmentation, ce qui ravive le spectre de la stagflation et complique désormais plus encore la tâche de la Fed, qui semblait disposée désormais à assouplir sa politique. D'après le rapport du jour, l'indice américain des prix à la production du mois de juillet a augmenté de 0,9% d'un mois sur l'autre contre 0,2% de consensus. Il grimpe de 3,3% sur un an, contre 2,6% de consensus et 2,3% un mois avant. Hors alimentaire et énergie, l'indice des prix à la production a également progressé bien plus que prévu, de 0,9% d'un mois sur l'autre et 3,7% sur un an.

Les inscriptions au chômage ont reculé un peu plus fortement que prévu la semaine passée aux États-Unis. Le Département américain au Travail vient en effet d'annoncer, pour la semaine close au 9 août, que les inscriptions au chômage étaient ressorties au nombre de 224.000, en repli de 3.000 par rapport au niveau de la semaine antérieure. Le consensus était positionné à 225.000.

Alberto Musalem intervenait aujourd'hui et semblait vouloir répondre à Bessent, puisqu'il a indiqué qu'une baisse de taux de 50 points de base n'était pas justifiée compte tenu de l'état actuel de l'économie et des données. Le patron de la Fed de St. Louis a noté aussi que l'inflation évoluait autour des 3% et que les tarifs douaniers se répercutaient sur les prix - même si l'essentiel de l'impact pourrait s'estomper selon lui d'ici six à neuf mois... Selon l'outil CME FedWatch, la probabilité d'une baisse de taux d'un quart de point le 17 septembre à l'issue de la prochaine réunion monétaire se situe à 92,6%, contre 7,4% de 'proba' de statu quo.

La journée de demain sera particulièrement chargée, avec les ventes de détail, l'indice manufacturier Empire State de la Fed de New York, les prix à l'import et à l'export, ainsi que la production industrielle américaine et l'indice du sentiment des consommateurs de l'Université du Michigan. De quoi se faire une meilleure idée de l'état actuel de l'économie américaine.

Sur le Nymex, le baril de brut WTI prenait 2,1% ce jeudi à 64$. L'once d'or fin reculait de 0,6% à 3.336$. L'indice dollar avançait de 0,4% face à un panier de devises de référence. Le bitcoin s'affiche autour des 118.000$.

Les valeurs

Nvidia (+0,3%). La startup chinoise d'intelligence artificielle DeepSeek aurait retardé la sortie de son nouveau modèle d'IA après avoir échoué à le former à l'aide des puces Huawei, soulignant les limites des efforts de Pékin pour remplacer la technologie américaine, a rapporté ce jeudi le Financial Times. Ces difficultés avec les puces Huawei souligneraient aussi la dépendance vis-à-vis de Nvidia, juge le FT. DeepSeek avait été encouragé par les autorités à adopter les produits Ascend de l'acteur local Huawei plutôt que les systèmes de Nvidia, d'après des sources du FT. Mais la startup chinoise aurait donc rencontré des problèmes techniques persistants durant le process d'entraînement utilisant les puces Ascend, l'obligeant à utiliser des puces Nvidia pour la formation et Huawei pour l'inférence, d'après ces sources. Ces problèmes sont la principale explication du report du lancement du modèle qui était prévu en mai, d'après l'une des sources du Financial Times ayant connaissance de la question.

Notons aussi que le groupe Hon Hai Precision Industry Co., plus connu sous le nom de Foxconn, géant taïwanais de la fabrication de produits électroniques qui compte Nvidia et Apple parmi ses grands clients, a affiché une performance trimestrielle supérieure aux attentes avec une progression de 27% des bénéfices, aidé par la demande de l'intelligence artificielle. Le bénéfice net trimestriel s'est établi ainsi à 44,4 milliards de nouveaux dollars de Taïwan, ou près de 1,5 milliard de dollars américains, tandis que le consensus Bloomberg était à peine supérieur à 36 milliards de dollars de Taïwan. Les ventes sur la période considérée ont progressé quant à elles de 16%.

Enfin, Nvidia a indiqué ce jour que sa prochaine génération de GPU "Rubin", qui doit succéder à la génération Blackwell, était en bonne voie.

JD.com (-1,8%), l'un des principaux fournisseurs de technologies et de services de chaîne d'approvisionnement en Chine, a annoncé ses résultats financiers non audités pour le trimestre et le semestre clos le 30 juin 2025. Le groupe coté à Wall Street a affiché un chiffre d'affaires de 356,7 milliards de yuans ou 49,8 milliards de dollars américains au deuxième trimestre 2025, soit une hausse de 22,4%. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires s'est élevé à 6,2 milliards de yuans soit environ 0,9 milliard de dollars sur le trimestre, deux fois moins élevé que l'an dernier, à la même époque. Le bénéfice net ajusté attribuable aux actionnaires ordinaires est ressorti à 7,4 milliards de yuans ou 1 milliard de dollars, contre 14,5 milliards de yuans un an avant. Le bpa ajusté par ADS s'est élevé à 4,97 yuans ou 0,69$.

NetEase (-3,9%), le groupe Internet chinois coté à Wall Street, a raté le consensus pour son deuxième trimestre. Le bénéfice par action trimestriel s'est ainsi établi à 14,81 yuans contre un consensus de 14,9 yuans, tandis que les revenus ont totalisé 27,9 milliards de yuans, en hausse de 9,4% en glissement annuel, à comparer à un consensus de 28,5 milliards de yuans. Les revenus des jeux et services à valeur ajoutée ont progressé de 13,7% à 22,8 milliards de yuans. NetEase Cloud Music a pour sa part affiché des revenus de 2 milliards de yuans, en repli de 3,5%. En dollars, le bénéfice ajusté trimestriel par action représente 2,09$ par ADS, pour 3,9 milliards de revenus.

Deere, le géant américain du matériel agricole et notamment des tracteurs, décroche de 6,8% à Wall Street. Le groupe a publié en effet des comptes sans relief et abaissé ses estimations financières. Le groupe a réalisé un bénéfice net de 1,289 milliard de dollars pour le troisième trimestre clos fin juillet 2025, soit 4,75$ par action, contre 1,734 milliard de dollars un an avant. Pour les neuf premiers mois de l'année fiscale, le bénéfice net attribuable à Deere & Company s'est élevé à 3,962 milliards de dollars, soit 14,57$ par action, contre 5,855 milliards pour la même période l'an dernier. Le chiffre d'affaires a reculé de 9% à 12,02 milliards de dollars au troisième trimestre 2025, et de 18% à 33,3 milliards de dollars sur neuf mois. Le bénéfice net attribuable à Deere pour l'exercice 2025 devrait se situer entre 4,75 et 5,25 milliards de dollars, indique le groupe, qui tablait précédemment sur une fourchette allant de 4,75 à 5,50 milliards de dollars.

Tapestry (-15,8%), le groupe américain de luxe, connu pour ses marques Coach ou Kate Spade, a annoncé une guidance annuelle de bénéfice inférieure aux attentes, tablant pour l'exercice 2026 sur un bénéfice par action allant de 5,30 à 5,45$, à comparer à un consensus de 5,5$. L'impact des tarifs douaniers serait de plus de 60 cents par titre. Les revenus de l'exercice sont attendus voisins de 7,2 milliards de dollars, quant à eux légèrement au-dessus des estimations de brokers. Le groupe anticipe des coûts accrus liés aux tarifs douaniers de Trump, ce qui devrait faire pression sur les marges. Tapestry estime à 160 millions de dollars environ l'impact des droits de douane, ce qui pourrait affecter sa marge d'exploitation de l'exercice à hauteur de 230 points de base - marge opérationnelle qui serait tout de même au-dessus de celle de l'an passé.

Pour le quatrième trimestre fiscal de l'exercice clos, le groupe a réalisé des revenus historiques de 1,7 milliard de dollars, en hausse de 8%, avec une augmentation de 14% sur la marque Coach. Les revenus annuels sont ressortis également au plus haut historique à 7 milliards de dollars, soit une hausse de 5% alimentée par une croissance de 10% sur la marque éponyme.

Birkenstock (-3,6%), le concepteur allemand de chaussures, introduit en bourse sur la place américaine il y a deux ans, a annoncé pour son troisième trimestre fiscal un bénéfice net proche de 147 millions de dollars, pour un bénéfice ajusté par action de 70 cents, au-dessus des attentes de brokers. Les revenus ont dépassé les 720 millions de dollars. Le groupe maintient ses prévisions annuelles et se dit bien positionné malgré l'impact des tarifs douaniers de Trump sur les produits européens. Le management indique que l'entreprise chercherait à atténuer les droits de douane par une combinaison d'ajustement des prix, de discipline en matière de coûts et de gestion des stocks. Birkenstock a confirmé ses prévisions antérieures d'une marge annuelle d'Ebitda ajusté de 31,3 à 31,8%. À taux de change constant, la croissance du chiffre d'affaires devrait se situer dans la partie haute de la fourchette prévue, comprise entre 15 et 17%.

Oracle (+0,3%) et Alphabet (+0,5%), la maison-mère de Google, ont annoncé un accord entre leurs unités cloud pour proposer les modèles d'IA Gemini de Google via les services de cloud computing et les applications métier d'Oracle. L'accord, comparable à celui scellé en juin entre Oracle et xAI d'Elon Musk, permettra aux développeurs d'exploiter les modèles d'IA de Google pour générer du texte, des vidéos, des images et de l'audio via le cloud d'Oracle. Les entreprises utilisant les applications d'Oracle pour la gestion financière, les ressources humaines et la planification de la chaîne d'approvisionnement pourront également choisir d'intégrer les modèles de Google dans ces applications. Reuters note que les clients Oracle pourront payer les technologies d'IA de Google en utilisant le même système de crédits cloud Oracle que celui utilisé pour payer les services Oracle.

Intel a pris 7,4% ce soir et poursuit sa hausse après bourse, les opérateurs spéculant sur une éventuelle prise de participation du gouvernement US au capital du géant des processeurs. Bloomberg a ainsi rapporté que l'administration Trump serait en discussions avec le groupe en vue de cette prise de participation. Intel est la seule entreprise américaine capable de fabriquer les puces les plus rapides aux États-Unis, bien que des concurrents comme Taiwan Semiconductor Manufacturing Company et Samsung possèdent également des usines aux USA, ajoute CNBC. Le président Trump en a appelé à la fabrication de davantage de puces et de hautes technologies aux États-Unis. La participation du gouvernement contribuerait à financer les usines qu'Intel construit actuellement dans l'Ohio, selon le rapport. Plus tôt cette semaine, le DG d'Intel, Lip-Bu Tan, accusé de conflit d'intérêt, a rendu visite à Trump pour s'expliquer sur son parcours...

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