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A suivre aujourd'hui... KERING

(AOF) - Kering a réalisé au troisième trimestre 2014 un chiffre d'affaires de 2,6 milliards d'euros, en croissance de 4,4% à périmètre et taux de change comparables et de 3,3% en données publiées. Sur les neuf premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires du groupe de luxe et sport & lifestyle est en hausse de 4,2% à périmètre et taux de change comparables. Les activités Luxe affichent au troisième trimestre une croissance des ventes de 3,5% en comparable, soutenue par les bonnes performances des magasins en propre, notamment en Amérique du Nord et au Japon.
Les ventes de Gucci, la marque phare du groupe, dans les magasins en propre sont en ligne avec les performances du deuxième trimestre. Les tendances positives enregistrées en Amérique du Nord et au Japon dans les magasins en propre, respectivement +8% et +4% en comparable, confirment le succès de la stratégie de montée en gamme de la marque.
Les activités Sport & Lifestyle enregistrent quant à elles des performances en hausse de 6,1% en comparable, tirées par la dynamique commerciale impulsée grâce au plan de relance de Puma.
"Face à des conditions de marché incertaines, nous restons vigilants. Le dynamisme des activités du groupe, en croissance continue sur les 9 premiers mois de l'année, nous permet de poursuivre avec sérénité la mise en oeuvre rigoureuse de notre stratégie visant à tirer parti des forces inhérentes à chacune de nos marques », a commenté le PDG, François-Henri Pinault.
AOF - EN SAVOIR PLUS
Les points forts de la valeur
- L'un des leaders mondiaux dans la mode et les accessoires, avec deux grandes divisions : le luxe (66 % des ventes), porté par les marques mondiales Bottega Venetta, Boucheron, Burberry, Gucci, Sergio Rossi et Yves Saint-Laurent, et le « Sport & Lifestyle », avec Puma ;
- Groupe très internationalisé, l'Europe de l'Ouest pesant 30 % des ventes, dont 6 % en France, l'Asie 25 % et l'Amérique du nord 22 % ;
- Portefeuille d'activités composé de marques mondiales puissantes renouvelé par des acquisitions à fort potentiel (Stella McCartney, Alexander McQueen, Brioni, Pomellato, montres Ulysse Nardin...) ;
- Rentabilité opérationnelle record du pôle luxe ;
- Diminution de l'endettement facilitant la croissance externe.
Les points faibles de la valeur
- Déceptions après le recentrage sur le luxe et le sport : difficultés de la division sport, avec des ventes et un résultat de la filiale allemande à 84 % Puma insuffisants en 2013 et à mi-2014, et, dans la division luxe, ralentissement des ventes de Gucci ;
- Faiblesse de l'activité en Asie-Pacifique, notamment Hong Kong, Taïwan et Singapour ;
- Division par 20 du bénéfice net 2013, amputé par les charges de restructurations, notamment sur Puma et Redcasts, par des dépréciations d'actifs, par des moins-values exceptionnelles, notamment sur Groupe Fnac lors de son introduction en Bourse et par la recapitalisation de La Redoute ;
- Valeur chère.
Comment suivre la valeur
- Sensibilité à l'évolution du dollar et du yen ;
- Après une décennie de réduction du chiffre d'affaires et de doublement des bénéfices, attentes des investisseurs sur la croissance du chiffre d'affaires : en Asie par le recul des prix d'entrée dans les sacs en cuir et logos plus discrets et, pour Puma, par le repositionnement sur les produits sportifs ;
- Rumeurs de reprise du joaillier de luxe Richard Mille, d'ici la fin 2014 d'une part, de cession de l'enseigne Sergio Rossi, d'autre part ;
- Impact sur le résultat 2014 des charges sociales pour La Redoute ;
- Réalisation de l'objectif 2014 d'une hausse des ventes et du résultat opérationnel grâce à une « stimulation » des marques de luxe, notamment Gucci, et à la relance de Puma ;
- Valeur non opéable, Artémis, le holding de la famille Pinault, contrôlant 40,6 % du capital et 55,1 % des droits de vote.
LE SECTEUR DE LA VALEUR
Distribution spécialisée
L'e-commerce est entré dans une nouvelle phase de son développement. Les consommateurs sont de plus en plus nombreux à naviguer sur leurs téléphones et tablettes pour préparer leurs achats, voire les régler directement. Selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), la croissance des ventes sur sites mobiles et applications s'est envolée de 76â‰% au premier trimestre 2014, par rapport à 2013. Cette évolution, qui devrait restructurer l'e-commerce et le commerce en général, annonce une refonte des sites mobiles et des applications mobiles des enseignes. L'évolution technologique des terminaux facilite considérablement les achats et requiert des investissements, à la fois dans iOS d'Apple, Androïd et Windows 8, pour toucher l'ensemble des clients potentiels.

AOF

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