Des vendeurs plus timides mais toujours présents

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En ce milieu de semaine, l’activité des marchés a été réduite et cette situation pourrait le rester jusqu’aux prochaines réunions des banques centrales (FED le 13 juin et BCE le 14). Pour l’instant, le CAC40 reste ancré dans une zone dite d’indécision où les intervenants ne savent plus trop sur quel pied danser. Seule Wall Street tire son épingle du jeu avec notamment l’indice NASDAQ Composite (valeurs technologiques) qui a formé un nouveau sommet historique. Plus en retrait, le Dow Jones et le S&P500 montrent également des envies de progresser. On soulignera également le rebond de l’euro contre dollar à 1.1796 au plus haut (+ bas à 1.1510 le 29 mai). La devise européenne bénéficie encore de la détente ponctuelle du stress lié à l’Italie mais aussi du commentaire de Weidmann (président de la Bundesbank) qui estime plausible l’arrêt par la BCE de ses des rachats de titres cette année. A ce stade, les chances d’un fort directionnel sur l’indice parisien sont faibles. Au fixing, le CAC40 a terminé en baisse de 0.06 % à 5457.56 dans un volume de 2.300 MDE.