Coup d’arrêt à hauteur des 50 % de retracement

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Depuis la fin de séance du 5 février, les prix étaient scotchés à proximité du top annuel, ne laissant toujours pas l’opportunité d’une consolidation plus profonde largement envisageable sur le papier. Pour l’instant, on ne constate aucun de signe de faiblesse caractéristique sur l’indice parisien, tout juste un premier reflux exploité par des vendeurs aux abois. Côté valeurs du CAC40, Publicis a été lourdement sanctionnée à cause d’une croissance en panne. A noter que le titre est venu tester et enfoncer ponctuellement une ligne de cou de LT qui passe à 48.20 (+ bas à 46.84). Ce niveau majeur n’a plus été enfoncé en clôture depuis octobre 2014. A l’inverse, Pernod Ricard a sorti de solides résultats mais l’engouement est resté mesuré. On soulignera aussi des baisses sensibles sur les valeurs du secteur automobile. Sur le front de la macroéconomie, le news flow reste contrariant en Europe avec des perspectives de croissance qui s’assombrissent. Au fixing, le CAC40 a terminé en forte baisse de 1.84 % à 4985.56 dans un volume étoffé de 4.400 MDE.