Hier à Paris
Soutenu par le secteur automobile (Peugeot + 2,35 % à 14,175 et Renault + 5,25 % à 22,065) et bancaire (BNP Paribas + 2,51 % à 35,35, Société Générale + 2,97 % à 14,914 et Crédit Agricole + 3,74 % à 8,386), le marché parisien a repris de l’altitude.
L’indice du sentiment économique a moins progressé que prévu en juin (75,7 contre 80 anticipé).
A contre-courant, le titre Danone a perdu 2,11 % à 62,10 après avoir prévenu lors de son AG que les ventes de sa division Eaux seraient en baisse de 30 % au niveau mondial au deuxième trimestre. Oddo BHF a confirmé sa recommandation à Alléger et a revu à la baisse son objectif de cours de 60 à 57 euros.
L’avionneur Airbus a gagné 2,38 % à 63,35, malgré que son président exécutif, Guillaume Faury ait dit devoir réduire sa production de 40 % au cours des deux prochaines années.
Capgemini a lâché 2,47 % à 100,80, pénalisé par la dégradation d’HSBC qui est passé d’Achat à Conserver sur le titre.
Le spécialiste des services de paiement Worldline (+ 0,91 % à 75,20) envisagerait de reprendre une partie des actifs de l’allemand Wirecard (+ 154,49 % à 3,26), qui a engagé une procédure de faillite après le scandale financier qui a entraîné la démission de son directeur général. Des investisseurs privés et des fonds de capital investissements seraient également intéressés par des actifs du groupe allemand.
EDF a pris 1,96 % à 8,134, alors que la centrale nucléaire alsacienne de Fessenheim a définitivement cessé de fonctionner dans la nuit de lundi à mardi, avant d'être démantelée.
L’indice CAC40 a ainsi gagné 0,73 % à 4.945,46 points dans un volume moyen à 3,5 MDE.
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