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Wall Street se redresse, en attendant Powell et les GAFA

| Boursier | 714 | Aucun vote sur cette news

Wall Street repasse dans le vert ce mardi, après sa correction assez brutale de la veille menée par les valeurs technologiques...

Wall Street se redresse, en attendant Powell et les GAFA
Credits UzirePictures

Wall Street repasse dans le vert ce mardi, après sa correction assez brutale de la veille menée par les valeurs technologiques. Les opérateurs demeurent sur leurs gardes avant les rendez-vous monétaires de mercredi et jeudi et les résultats de plusieurs grands noms de la 'tech', en l'occurrence Meta, Apple, Amazon et Alphabet. Le S&P 500 gagne 0,64% à 4.043 pts, le Dow Jones prend 0,32% à 33.827 pts et le Nasdaq s'adjuge 0,98% à 11.505 pts. Sur le Nymex, le baril de brut WTI avance de 1,3% à 78,9$. L'once d'or progresse de 0,2% à 1.927$. L'indice dollar demeure stable face à un panier de devises.

La semaine sera très active à Wall Street, avec bien évidemment la réunion de la Fed, mais aussi de nombreuses statistiques, ainsi que les résultats de plusieurs grands noms technologiques de la cote. Ce mardi, les opérateurs suivent l'indice du coût de l'emploi, l'indice S&P Case-Shiller du prix des maisons et l'indicateur FHFA, l'indice manufacturier PMI de Chicago, ainsi que l'indice de confiance des consommateurs du Conference Board - alors que débute par ailleurs la réunion monétaire de la Fed...

L'indice du coût de l'emploi s'est établi en augmentation de 1% au quatrième trimestre 2022, contre 1,1% de consensus. Il grimpe de 5,1% sur un an. Concernant les indices des prix de l'immobilier, l'indice S&P Case-Shiller '20-City' de novembre, sur une base ajustée, a régressé de 0,5%, alors que l'indice FHFA s'est tassé de 0,1% en comparaison du mois antérieur.

L'indice manufacturier PMI de Chicago du mois de janvier 2023 s'est établi à 44,3, toujours en zone de contraction, contre 45,1 de consensus et 44,9 un mois avant.

L'indice de confiance des consommateurs du Conference Board pour le mois de janvier 2023 s'est établi à 107,1, contre 109 de consensus et 109 également pour la lecture révisée du mois antérieur.

Demain mercredi, les opérateurs suivront le rapport d'ADP sur l'emploi privé, l'indice PMI manufacturier final, l'ISM manufacturier, les dépenses de construction, le rapport JOLTS sur les ouvertures de postes, le rapport hebdomadaire sur les stocks pétroliers domestiques américains, et bien sûr le communiqué monétaire de la Fed suivi de la conférence de presse de Jerome Powell. Une nouvelle hausse de taux de 25 points de base est attendue (probabilité de... 98% selon FedWatch), ce qui porterait le taux des fed funds entre 4,5 et 4,75%.

Jeudi, les marchés suivront l'étude Challenger sur les annonces de licenciements, les inscriptions au chômage, les chiffres de la productivité non-agricole trimestrielle et des coûts unitaires du travail, ainsi que les commandes industrielles. Enfin, la semaine se terminera en beauté vendredi avec le rapport mensuel sur la situation de l'emploi aux États-Unis, l'indice PMI composite final et l'ISM des services américains.

La décision du FOMC, comité de politique monétaire de la Fed, demain mercredi, sera probablement le point culminant d'une semaine macroéconomique chargée. Les marchés s'attendent à ce que la Fed ralentisse le rythme de resserrement à 25 points de base, portant le taux des fonds fédéraux entre 4,50% et 4,75%. Cette hypothèse recueille donc l'écrasante majorité des 'suffrages' d'économistes... Les anticipations des spécialistes ont mis en évidence les attentes d'une décision unanime et n'ont signalé que des modifications mineures à la déclaration de politique. Ainsi, le communiqué de la Fed devrait réitérer les indications prospectives selon lesquelles des "augmentations continues" du taux des 'fed funds' seraient appropriées. La conférence de presse de Jerome Powell pourrait se révéler relativement belliciste. Le leader de la Fed a encore récemment indiqué que malgré le ralentissement du rythme de resserrement, la Fed avait toujours du travail à faire sur l'inflation, en particulier avec un marché du travail toujours tendu. Powell devrait aussi confirmer sa posture prudente concernant la perspective d'un assouplissement ultérieur, alors que les marchés anticipent un pivot dès le deuxième semestre. Ainsi, le dirigeant de la banque centrale américaine pourrait confirmer ses commentaires de la réunion de décembre selon lesquels la politique monétaire devait rester restrictive "pendant un certain temps". De plus, Powell pourrait noter que les points de décembre du SEP (résumé des projections économiques) restent valables malgré la traction du narratif de désinflation...

Le communiqué monétaire de la Fed sera publié demain soir à 20 heures, alors que la conférence de presse de Powell se tiendra à 20h30. Jeudi, les investisseurs suivront les annonces monétaires de la Banque d'Angleterre et de la BCE. La BCE s'apprête très probablement à relever ses taux de 50 points de base et à maintenir un message belliciste. Le consensus est également d'une hausse de 50 points de base de la part de la BoE, bien que les économistes soient divisés sur l'ampleur du mouvement dans le contexte du ralentissement économique.

En ce qui concerne les publications trimestrielles des entreprises, ExxonMobil, Pfizer, McDonald's, UPS, Caterpillar, Amgen, AMD, Chubb, Stryker, Mondelez, Marathon Petroleum, General Motors, Sysco, Electronic Arts, Spotify, Snap, International Paper, Western Digital, Match Group ou encore Moody's, dévoilent leurs chiffres ce mardi.

Demain, Meta Platforms (ex-Facebook), Thermo Fisher Scientific, T-Mobile US, Altria, Boston Scientific, Humana, Waste Management, Metlife, McKesson, Johnson Controls, Allstate ou AmerisourceBergen, seront à suivre.

Jeudi, la journée sera particulièrement animée, avec les comptes d'Apple, Alphabet et Amazon après bourse ! Eli Lilly, Merck, ConocoPhillips, Gen Digital, Bristol-Myers Squibb, Qualcomm, Honeywell, Starbucks, Gilead Sciences, Estée Lauder, Becton, Dickinson, Air Products & Chemicals, Illinois Tool Works, Intercontinental Exchange, Ford Motor, Ferrari, Sirius XM, Cognizant, Parker-Hannifin, Clorox, Cardinal Health, News Corp, Stanley Black & Decker, Harley-Davidson ou Ralph Lauren, annoncent aussi mercredi. Vendredi, Cigna, Regeneron et Zimmer Biomet publieront avant bourse.

Les valeurs

UPS (+3%), géant américain de la livraison, a annoncé pour son quatrième trimestre fiscal des revenus consolidés de 27 milliards de dollars, en repli de 2,7%. La marge opérationnelle consolidée a été de 11,8% et la marge ajustée de 14,1%. Le bénéfice dilué par action est ressorti à 3,96$, tandis que le bpa ajusté dilué a augmenté de 1% à 3,62$. Le consensus était de 3,59$ de bpa ajusté et 28,1 milliards de dollars de revenus. Pour l'exercice clos, les revenus ont augmenté de 3% à 100,3 milliards de dollars, alors que le bpa dilué ajusté a été de 12,94$. UPS déclare par ailleurs un dividende trimestriel de 1,62$ en augmentation de 7%, et autorise un nouveau programme de rachat d'actions de 5 milliards de dollars remplaçant l'autorisation existante.

La guidance est très prudente concernant l'exercice 2023, le groupe envisageant des revenus allant de 97 à 99,4 milliards de dollars, ainsi qu'une marge opérationnelle consolidée ajustée allant de 12,8 à 13,6%. Le consensus était de plus de 100 milliards de revenus.

Caterpillar (-4%), le géant américain des engins de chantier, a annoncé pour son quatrième trimestre des revenus de 16,6 milliards de dollars en augmentation de 20%, ainsi qu'un bénéfice ajusté par action de 3,86$ à comparer à un niveau de 2,69$ un an plus tôt. Le consensus était de 4,02$ de bpa ajusté pour 16,04 milliards de revenus. 'Cat' indique toutefois que le bénéfice a été impacté négativement de 41 cents par action par une charge liée aux effets de change. Sur l'exercice, le groupe a réalisé des revenus de 59,4 milliards de dollars, en progression de 17%. Sur l'ensemble de l'exercice, le cash flow opérationnel de l'entreprise a atteint 7,8 milliards de dollars.

ExxonMobil (+2%). Le géant pétrolier a enregistré un bénéfice net de 12,75 milliards de dollars, ou 3,09 dollars par action, pour le trimestre clos, contre 8,87 milliards de dollars l'année précédente, à la même époque. Le bénéfice ajusté par action s'est élevé à 3,40$, contre un consensus FactSet de 3,29$. Les revenus ont atteint 95,4 milliards de dollars contre 84,96 milliards de dollars il y a un an, en dessous du consensus FactSet qui était de 97,3 milliards.

Pfizer (stable) a publié pour l'exercice clos des revenus de plus de 100 milliards de dollars, un sommet historique reflétant une croissance opérationnelle de 30%. Hors Paxlovid et Comirnaty, les revenus n'auraient toutefois augmenté que de 2%. Les revenus du quatrième trimestre ont atteint 24,3 milliards de dollars, en hausse de 13%. Le bénéfice ajusté par action du quatrième trimestre a été de 1,14$, en augmentation de 45%. Le consensus était de 1,05$ de bénéfice ajusté par action pour 24,3 milliards de dollars de revenus. La guidance 2023 est nettement plus prudente, Pfizer anticipant des revenus allant de 67 à 71 milliards de dollars, pour un bénéfice ajusté par action allant de 3,25 à 3,45$. Les revenus 2023 hors produits Covid-19 sont attendus en hausse de 7 à 9% sur une base opérationnelle. La guidance de revenus 2023 pour Comirnaty est d'environ 13,5 milliards de dollars, alors que les revenus de Paxlovid sont attendus voisins de 8 milliards de dollars. Le consensus était de 14,4 milliards de dollars pour Comirnaty (son vaccin anti-covid) et plus de 10 milliards de dollars pour Paxlovid (traitement antiviral).

McDonald's (-2%) a publié pour son quatrième trimestre un bénéfice supérieur aux attentes, avec la hausse des prix des menus et la croissance des ventes digitales. Les ventes mondiales à comparable des magasins de la chaîne de restauration rapide ont augmenté de 12,6% au quatrième trimestre clos le 31 décembre, contre un consensus voisin de 9%. Les ventes au Royaume-Uni, en Allemagne et en France ont augmenté malgré les craintes d'une récession en Europe. Sur l'année, la croissance à comparable a aussi dépassé les 10%. Le DG Chris Kempczinski a déclaré néanmoins que McDonald's s'attendait à ce que "les pressions inflationnistes à court terme se poursuivent en 2023". La société a annoncé un bénéfice trimestriel de 2,59$ par action, soit une augmentation de 19%. Le bpa ajusté a grimpé de 16%, au même niveau. Les revenus ont été de 5,93 milliards. Le consensus était de 2,46$ de bpa ajusté pour 5,7 milliards de revenus. McDonald's a augmenté ses prix l'an dernier pour faire face à la flambée des coûts des matières premières et de la main-d'oeuvre. Le trafic a tout de même augmenté de 5% pour l'ensemble de l'année 2022.

General Motors (+8%) bondit à Wall Street. Les résultats du constructeur automobile américain ont en effet grimpé au quatrième trimestre avec l'apaisement des problèmes de chaîne d'approvisionnement. Le groupe se montre par ailleurs plutôt optimiste pour 2023. GM a enregistré un bénéfice net de 2 milliards de dollars, 1,39$ par action, sur le trimestre clos, contre 1,74 milliard de dollars un an avant. Sur une base ajustée, le groupe a gagné 2,12$ par action contre 1,35$ par action un an auparavant, tandis que les analystes tablaient en moyenne sur 1,69$. Les revenus sont passés de 33,6 milliards de dollars à 43,1 milliards de dollars, tandis que le consensus FactSet était de 39,9 milliards. Pour l'année 2023, GM envisage un bénéfice ajusté par action de 6$ à 7$, alors que le consensus FactSet était de 5,57$. Le constructeur a enfin annoncé qu'il allait travailler avec Lithium Americas Corp pour investir conjointement dans le développement de la mine de lithium de Thacker Pass dans le Nevada.

Moody's (+2%) a dévoilé pour son quatrième trimestre un bénéfice ajusté par action de 1,60$ pour des revenus de 1,29 milliard. Le consensus était de 1,44$ de bpa ajusté pour 1,26 milliard de dollars de revenus. Pour l'exercice 2023, la maison-mère de l'agence de notation Moody's Investors Service envisage un bénéfice par action allant de 9 à 9,5$, guidance entourant le consensus des analystes de la place.

Spotify (+9%) grimpe à Wall Street, alors que le service suédois de streaming musical a fait état d'une forte augmentation de ses abonnements. Dans le même temps, le groupe a néanmoins creusé ses pertes avec les investissements podcast. Spotify a donc annoncé ce mardi des résultats du quatrième trimestre supérieurs aux attentes en termes d'utilisateurs actifs et d'abonnés, et prévoit que le nombre d'auditeurs atteindra les 500 millions sur le prochain trimestre. Le nombre d'utilisateurs actifs mensuels est passé à 489 millions au cours du trimestre, dépassant les prévisions des analystes. Les abonnés Premium, qui représentent la majeure partie des revenus, ont augmenté de 14% pour atteindre 205 millions. Spotify s'attend à ce que les abonnés premium atteignent 207 millions sur le trimestre en cours, pour un chiffre d'affaires de 3,1 milliards d'euros. Sur la période close, le chiffre d'affaires a représenté 3,2 milliards d'euros, légèrement au-dessus des estimations des analystes. La perte nette du quatrième trimestre atteint 270 millions d'euros, contre 39 millions un an avant.

Bed Bath & Beyond (-6%), qui était encore il y a peu l'une des valeurs vedettes des petits porteurs américains, se prépare à demander la protection de la loi sur les faillites dès cette semaine et a désigné des liquidateurs pour fermer des magasins supplémentaires à moins qu'un acheteur de dernière minute n'émerge, ont déclaré hier lundi à Reuters quatre personnes proches du dossier. Les conseillers du détaillant américain explorent tout de même les options restantes pour éviter l'inscription en faillite, a déclaré une autre personne proche du dossier, mais il semble que l'issue soit plus que probable. Bed Bath & Beyond négocie d'ailleurs un prêt pour l'aider à naviguer dans la procédure de faillite. La société d'investissement Sixth Street est en pourparlers pour fournir un financement, ont déclaré deux personnes à Reuters.

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