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Wall Street reste prudente après de nouveaux signaux négatifs sur l'inflation

| Boursier | 350 | Aucun vote sur cette news

Wall Street a encore peiné à trouver sa tendance mercredi, alors que les places européennes ont effacé leurs gains du jour à la suite de nouveaux...

Wall Street reste prudente après de nouveaux signaux négatifs sur l'inflation
Credits Reuters

Wall Street a encore peiné à trouver sa tendance mercredi, alors que les places européennes ont effacé leurs gains du jour à la suite de nouveaux chiffres inquiétants de l'inflation allemande en février. Le S&P 500 perd 0,47% à 3.951 pts, alors que le Dow Jones est stable (+0,02%) à 32.661 pts. Le Nasdaq abandonne 0,66% à 11.379 pts. Sur le Nymex, le baril de brut WTI est remonté de 0,7% à 77,65$. L'indice dollar cède 0,2% face à un panier de devises.
Le narratif n'a pas vraiment évolué sur les marchés. Les indices européens ont bénéficié initialement de bons chiffres venus de la Chine, qui ont soutenu notamment le secteur du luxe, mais les chiffres de l'inflation en Allemagne sont venus casser l'ambiance - il est vrai fragile... La thématique de la réouverture chinoise constitue un rare élément positif, alors que dans le même temps, les chiffres d'inflation aux États-Unis et en Europe demeurent donc préoccupants, ce qui ne devrait pas tempérer les ardeurs des banquiers centraux. D'ailleurs, l'indice des prix rattaché à l'ISM manufacturier US du jour surprend en hausse. Neel Kashkari de la Fed livre pour sa part des commentaires particulièrement prudents, comme de coutume.

Une série de données macroéconomiques solides au cours des dernières semaines a ébranlé le récit de désinflation, tandis que les commentaires plus bellicistes de la part de responsables de la Fed annoncent la couleur, avec un taux final attendu plus élevé, plus longtemps, l'outil FedWatch du CME Group pointant vers une fourchette de 4,75 à 5% le 22 mars, de 5 à 5,25% début mai, puis de 5,25 à 5,5% à mi-juin. Un pic des taux dans une fourchette de 5,5 à 5,75% est jugé désormais envisageable, même si l'hypothèse la plus probable demeure dans une fourchette de 5,25 à 5,5%. Un tel niveau des taux pourrait par ailleurs être maintenu jusqu'à la fin de l'année. Ainsi, les marchés tablent sur un durcissement accru de la politique monétaire, tandis que les inversions continues de la courbe des taux augmentent le risque d'erreur politique.

Neel Kashkari, le président de la Fed de Minneapolis, intervenant ce mercredi, a estimé que l'inflation devait revenir vers l'objectif de 2% aux États-Unis, même s'il fallait pour cela que le durcissement monétaire provoque une récession. Il se dit aujourd'hui préoccupé par le fait que les augmentations successives et importantes des taux n'aient pas encore réduit l'inflation des services. En outre, la croissance des salaires est actuellement trop élevée d'après le responsable, pour une inflation à 2%. Selon lui, il ne faut pas crier victoire trop rapidement, car cela créerait "un flot d'exubérance" qui obligerait ensuite à en faire encore plus. Kashkari se dit ouvert au sujet de la décision du comité monétaire de mars, qui pourrait mener à une hausse de taux supplémentaire de 25 ou 50 points de base. Il ajoute qu'alors que la Fed aimerait éviter une récession, ramener l'inflation sous contrôle demeure "le travail numéro un". Ainsi, Kashkari n'est pas sûr qu'un atterrissage en douceur soit réalisable. A ce stade, la politique monétaire a eu le mérite, d'après le leader de la Fed de Minneapolis, de freiner l'économie. Kashkari juge enfin que le bilan de la Fed est encore trop important.

L'indice Markit PMI manufacturier américain final du mois de février 2023 est ressorti à 47,3, contre une lecture préliminaire de 47,8 et un consensus équivalent. L'indicateur traduit ainsi une contraction assez nette de l'activité manufacturière nationale américaine pour le mois passé.

L'ISM manufacturier américain du mois de février s'est affiché à 47,7, contre 47,8 de consensus de marché et 47,4 un mois auparavant. L'indicateur des prix rattaché à cet ISM manufacturier s'établit quant à lui à 51,3, au plus haut de cinq mois, contre un consensus de... 45 et une lecture antérieure de 44,5.

Les dépenses américaines de construction du mois de janvier, qui viennent aussi d'être dévoilées, ont décliné de 0,1% en comparaison du mois antérieur, contre +0,2% de consensus et -0,7% pour la lecture révisée de décembre.

Les cours pétroliers progressent, alors que les réserves d'or noir aux États-Unis ont légèrement crû la semaine passée. D'après le Département américain à l'Energie, les stocks domestiques de brut, hors réserve stratégique, ont augmenté de 1,2 millions de barils sur la semaine close le 24 février à 480,2 mb. Le consensus tablait sur une hausse de 0,5 mb. Les stocks d'essence ont eux diminué de 0,9 mb, et ceux de produits distillés ont progressé de 0,2 million de barils.

Les indices boursiers sont tout de même aidés par de meilleures données PMI chinoises. L'indice CFLP PMI manufacturier chinois de février s'est établi à 52,6 contre 50,7 de consensus FactSet. L'indicateur CFLP non manufacturier est ressorti à 56,3 contre 54,5 de consensus. Le PMI manufacturier Markit / Caixin est également en territoire d'expansion pour la première fois en sept mois, à 51,6 contre 51 de consensus.

Les indices PMI manufacturiers finaux européens ont aussi été publiés : L'indice espagnol atteint 50,7 contre 49,1 de consensus. L'indicateur italien se situe à 52 contre 51 de consensus de marché. L'indicateur français ressort à 47,4 contre 47,9 pour sa lecture flash et pour le consensus. L'indice allemand est lui aussi un peu court, à 46,3 contre 46,5 en données préliminaires. L'indice PMI manufacturier européen final de février ressort conforme aux anticipations de marché à 48,5. Le taux de chômage allemand de février est lui aussi 'en ligne' avec les attentes à 5,5%. Enfin, l'indice manufacturier PMI CIPS britannique de février s'affiche à 49,3, très proche du consensus.

Après la France et l'Espagne, l'Allemagne a annoncé à son tour des données sur l'inflation plus élevées que prévu. Selon les chiffres préliminaires de Destatis, le taux d'inflation annuel calculé aux normes européennes atteindrait 9,3% en février, après 9,2% en janvier, et contre 9% de consensus. En séquentiel, les prix augmenteraient de 1%, après +0,5% le mois précédent, et contre un consensus de 0,7%. Aux normes nationales, l'inflation annuelle se maintiendrait à 8,7%, contre 8,5% attendus par les économistes. Les données pour l'ensemble de la zone euro seront dévoilées demain matin. Tout porte à croire qu'elles seront également plus élevées qu'anticipé par le marché.

Jeudi outre-Atlantique, les inscriptions hebdomadaires au chômage et les chiffres de la productivité trimestrielle non-agricole sont attendus. Vendredi, enfin, l'indice PMI composite final américain et l'ISM des services seront communiqués, tandis que Raphael Bostic et Thomas Barkin de la Fed interviendront.

Les valeurs

Novavax, le laboratoire biotechnologique américain, s'effondre de 25,9%. "Alors que nos prévisions actuelles de flux de trésorerie pour la période prospective de continuité d'exploitation d'un an estiment que nous disposons de suffisamment de capital disponible pour financer les opérations, cette prévision est soumise à une incertitude importante, notamment en ce qui concerne les revenus de 2023, le financement du gouvernement américain et les attentes d'arbitrage", a déclaré le groupe. Compte tenu de ces incertitudes, un doute important existe donc concernant la capacité du groupe à poursuivre ses opérations d'ici un an. A fin 2022, le groupe disposait de 1,34 milliard de dollars de cash et équivalents. La perte nette du quatrième trimestre s'est élevée à 182 millions de dollars soit 2,28$ par titre, contre 846 millions de dollars un an plus tôt.

Tesla (-1,4%) tient sa journée investisseurs en soirée. Le groupe doit informer les marchés de sa stratégie. Tesla présentera sa troisième version du 'Master Plan' d'Elon Musk. Le constructeur de voitures électriques décrira "la voie vers un avenir énergétique entièrement durable pour la Terre". Tesla a déjà précisé que ses plans d'expansion et sa plateforme de nouvelle génération pour les véhicules moins chers seraient à l'ordre du jour. Musk avait dévoilé son premier 'Master Plan' pour Tesla en 2006, décrivant les ambitions de construire une voiture de sport haute performance et d'utiliser les recettes de ce produit pour construire progressivement des véhicules électriques plus abordables. Dix ans plus tard, il avait présenté la deuxième version du plan, qui détaillait les ambitions de construire des toits solaires, de s'étendre à tous les principaux segments automobiles et de développer la capacité de conduite autonome de Tesla.

Rivian (-18,3%), le concepteur américain de voitures électriques soutenu par Amazon (-2,2%), plonge à Wall Street. Le groupe a raté en effet le consensus de revenus sur le trimestre clos. De plus, il table sur une production de 50.000 véhicules cette année, ce qui ressort nettement inférieur aux attentes des analystes. RJ Scaringe, le patron du groupe, évoque la contrainte de l'offre, qui resterait de loin la plus importante, avec des problèmes persistants de chaîne d'approvisionnement et de coûts d'expédition des pièces. Ces challenges pourraient persister cette année. Sur son quatrième trimestre fiscal, le constructeur affiche une perte de 1,7 milliard de dollars et 1,87$ par titre, contre 2,5 milliards de dollars un an plus tôt. Les revenus sont ressortis à 663 millions de dollars, contre 54 millions un an avant. Le consensus FactSet était de 724 millions de revenus et 1,96$ de perte par action. Sur l'ensemble de l'année 2022, Rivian a affiché un déficit de 6,7 milliards de dollars.

Nio Inc (-5,9%), le constructeur chinois de voitures électriques, coté à Wall Street, décline suite à sa publication trimestrielle. Pour son quatrième trimestre fiscal, les revenus ont dépassé les 16 milliards de yuans, soit 2,33 milliards de dollars, avec des livraisons record de 40.052 unités. Les revenus annuels représentent l'équivalent de 7,14 milliards de dollars, avec 122.486 voitures livrées. La perte nette s'est élevée à 5,8 milliards de yuans (839 millions de dollars) au quatrième trimestre 2022, pratiquement trois fois plus élevée qu'au quatrième trimestre 2021 et en augmentation de 41% par rapport au troisième trimestre 2022. Hors charges de rémunération fondée sur des actions, la perte nette ajustée (non-GAAP) a représenté 5,06 milliards de yuans (734 M$) au quatrième trimestre 2022, soit une augmentation de 190% par rapport au quatrième trimestre 2021. Bref, le groupe a quasiment triplé ses pertes, lors que le niveau de cash et équivalents à fin décembre ressortait à 6,6 milliards de dollars. La perte nette diluée par ADS a été de 51 cents, ou 44 cents sur une base ajustée.

AMC (+0,1%). Pour le trimestre clos, celui des fêtes de fin d'année, la chaîne a affiché un déficit de 288 millions de dollars soit 26 cents par titre. La perte ajustée par action a été de 14 cents, alors que les analystes tablaient sur 19 cents selon FactSet. Les revenus trimestriels ont été de 991 millions de dollars, alors que le consensus était de 978 millions de dollars. Sur l'ensemble de l'exercice, AMC a déploré une perte de 974 millions de dollars et 93 cents par action, pour des revenus d'environ 3,9 milliards de dollars. "Avec plus de films majeurs à venir en 2023, nous sommes très confiants que notre reprise continuera à montrer des progrès considérables cette année", a déclaré le directeur général Adam Aron, dont le groupe affiche sa quatrième année consécutive de pertes. Aron insiste tout de même sur la nécessité "de rester viable" en levant des fonds et en réduisant la charge de la dette. AMC a terminé l'année avec 843 millions de dollars de liquidités.

HP Inc (-2,2%) a dépassé les attentes de profits malgré la chute de ses ventes sur le trimestre clos. En outre, le groupe envisage pour son deuxième trimestre fiscal un bénéfice ajusté supérieur aux anticipations, et maintient ses estimations annuelles de bénéfices, avec la reprise chinoise et les réductions de coûts. Pour le premier trimestre fiscal 2023, période juste close, les revenus ont été de 13,8 milliards de dollars, en baisse de 19% en glissement annuel, pire performance en sept ans, alors que le consensus était de 14,1 milliards de dollars. En revanche, le bénéfice ajusté par action a été de 75 cents, contre 74 cents de consensus. Le management évoque un ralentissement des commandes des entreprises, bien plus prudentes désormais dans la gestion de leurs budgets. Néanmoins, la situation évolue très favorablement en Chine. HP table, pour le deuxième trimestre, sur un bpa ajusté allant de 73 à 83 cents, à comparer à un consensus de 76 cents. La guidance annuelle allant de 3,2 à 3,6$ est maintenue.

Monster Beverage, le groupe américain spécialiste des boissons énergisantes, perd 2,5%. Le groupe va devoir procéder à des hausses de prix, alors que ses bénéfices et ventes du trimestre clos ont raté le consensus. Monster prévoit aussi un split de son action. Pour le quatrième trimestre fiscal, le groupe a affiché un bénéfice net de 302 millions de dollars soit 57 cents par titre, contre 60 cents un an avant. Les revenus ont totalisé 1,51 milliard de dollars, en croissance de 6% en glissement annuel. Le consensus était de 63 cents de bpa pour 1,6 milliard de dollars de revenus. Des hausses de prix supplémentaires seront mises en place dès le premier semestre, afin de compenser les coûts de l'inflation et de l'énergie en particulier en zone EMEA. Notons tout de même que les ventes du quatrième trimestre ont atteint un record, et que la croissance aurait été de près de 12% hors effets de change adverses.

Agilent, le géant américain des instruments de mesure et solutions scientifiques, dédiés notamment aux laboratoires et cliniques, recule de 3,1%. Hier soir, le groupe a publié pour son premier trimestre fiscal 2023 un bénéfice ajusté par action de 1,37$, à comparer à un consensus de 1,31$ et un niveau de 1,21$ un an avant. Les revenus trimestriels ont été de 1,76 milliard de dollars, près de 4% supérieurs au consensus, contre 1,67 milliard pour la période correspondante, l'an dernier. Le bénéfice net GAAP a été de 352 millions de dollars, tandis que le bénéfice net ajusté a atteint 406 millions de dollars, en croissance de 13%. Pour l'exercice 2023, Agilent envisage des revenus allant de 7,03 à 7,1 milliards de dollars, en augmentation de 2,7 à 3,7%, soit une guidance relevée, avec une croissance organique de 5,5 à 6,5%. Le bpa ajusté sur la période est attendu entre 5,65 et 5,7$.

Ross Stores (+0,1%), le groupe américain de distribution discount, a publié pour son quatrième trimestre fiscal un bénéfice ajusté par action de 1,31$, contre 1,23$ de consensus et 1,04$ un an plus tôt. Les revenus se sont élevés à 5,21 milliards de dollars, 2% de mieux que le consensus, alors qu'ils étaient de 5,02 milliards de dollars pour la période comparable de l'année antérieure. Le groupe livre toutefois une guidance inférieure aux anticipations de marché, alors que l'inflation affecte les consommateurs à plus bas revenus. Si les ventes s'affichent conformes au plan, le groupe prévoit que le bénéfice par action pour les 53 semaines se terminant le 3 février 2024 devrait se situer entre 4,65 et 4,95$.

Lowe's (-5,5%), le groupe américain de distribution de produits 'd'amélioration de la maison' et de jardinage, a annoncé des profits trimestriels supérieurs aux anticipations, mais les revenus ressortent un peu courts. Sur le quatrième trimestre fiscal 2023, clos début février, le bénéfice net est ressorti à 957 millions de dollars soit 1,58$ par titre, contre 1,78$ par action un an avant. Le bpa dilué ajusté, hors coûts associés à la cession des opérations canadiennes de détail, a progressé de 28% à 2,28$, contre un consensus FactSet de 2,21$. Les ventes totales ont été de 22,4 milliards de dollars sur le trimestre, contre 21,3 milliards un an avant. Les ventes à comparable ont décliné de 1,5%, avec un repli de 0,7% aux États-Unis. Le consensus de revenus était de 22,7 milliards. La firme prévoit un chiffre d'affaires de 80 à 90 milliards de dollars pour l'ensemble de l'exercice entamé, tandis que les analystes modélisaient 90,4 milliards de dollars. Lowe's s'attend à ce que les ventes comparables soient stables ou en baisse jusqu'à -2%. Le consensus FactSet visait -1,2%.

Dollar Tree (+1,9%). Le détaillant discount américain vient de publier un bénéfice trimestriel supérieur aux attentes mais une guidance un peu légère. Pour son quatrième trimestre fiscal, le groupe a réalisé un bénéfice dilué de 2,04$ par action, en hausse de 2%, un bénéfice opérationnel en croissance de 7% à 618 millions de dollars, et des revenus de 7,72 milliards de dollars en augmentation de 9%. Le consensus sur le trimestre était de 2,02$ de bpa et 7,6 milliards de dollars de chiffre d'affaires. Les revenus annuels s'établissent en hausse de 7,6% à 28,3 milliards, tandis que le bpa dilué grimpe de 24% à 7,21$. Pour l'exercice fiscal 2023, le groupe envisage un bénéfice allant de 6,3 à 6,8$ par titre, une croissance de 1-4% à comparable de l'activité de l'enseigne Dollar Tree et une hausse de 5% environ pour Family Dollar.

Kohl's (-1,9%), la chaîne américaine de distribution, a affiché une perte nette de 273 millions de dollars, ou 2,49 dollars par action au quatrième trimestre fiscal, contre un bénéfice net de 299 millions de dollars un an avant. Les ventes ont chuté de 7,2% à 5,8 milliards de dollars, également en deçà des prévisions des analystes, qui étaient d'environ 6 milliards de dollars. Le groupe dit s'attendre à un bénéfice ajusté de 2,10$ à 2,70$ par action pour 2023, en dessous de l'estimation moyenne des analystes de 3,17$ par action. Le DG de Kohl, Tom Kingsbury, a déclaré que les résultats reflétaient "les mesures proactives significatives" prises pour mieux positionner l'entreprise pour 2023, ainsi que la pression sur les ventes entraînée par l'environnement inflationniste persistant.

General Motors (stable), géant automobile traditionnel américain, a annoncé son intention de supprimer plusieurs centaines de postes de haut niveau, afin de réduire les coûts et de rationaliser ses opérations.

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