Votre navigateur (${ userBrowser.name + ' ' + userBrowser.version }) est obsolète. Pour améliorer la sécurité et la navigation sur notre site, prenez le temps de mettre à jour votre navigateur.      
7 552.38 PTS
+1. %
7 564.50
+1.04 %
SBF 120 PTS
5 728.86
+1.15 %
DAX PTS
19 115.52
+0.53 %
Dow Jones PTS
42 150.41
+0.33 %
19 859.13
+0.33 %
1.098
-0.52 %

Wall Street : nouvelle séance de hausse

| Boursier | 281 | Aucun vote sur cette news

Wall Street qui avait nettement rebondi mercredi soir est resté dans le vert ce jour, alors que les derniers chiffres de l'inflation outre-Atlantique...

Wall Street : nouvelle séance de hausse
Credits PivèsPictures

Wall Street qui avait nettement rebondi mercredi soir est resté dans le vert ce jour, alors que les derniers chiffres de l'inflation outre-Atlantique n'ont pas vraiment offert de réelle surprise aux analystes en dehors d'une petite accélération des prix à la production. Le Dow Jones progresse de 0,56% à 41.092 pts, le S&P500 monte de 0,71% à 5.593 pts. Le Nasdaq prend 0,93% à 17.556 pts.
La Banque centrale européenne a comme prévu abaissé ses taux de 0,25 point, après son premier assouplissement d'une même ampleur opéré en juillet dernier. La BCE est la première des principales banques centrales à avoir annoncé sa décision sur ses taux : les marchés vont se focaliser désormais sur la décision de la Réserve fédérale, attendue le 18 septembre, mais aussi sur celle de la Banque d'Angleterre le 19 septembre, et celle de la Banque du Japon le 20 septembre prochain.

Côté indicateurs économiques outre-Atlantique, les prix à la production ont légèrement remonté en août aux Etats-Unis selon les statistiques publiées jeudi par le département du Travail. Ce dernier a annoncé que le PPI avait ainsi progressé de 0,2% le mois dernier après avoir été stable en juillet (révisé d'une hausse de 0,1%). Sur une base annuelle, la croissance des prix à la production a ralenti à 1,7% en août après 2,1% (révisé) en juillet. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 0,1% en rythme mensuel et de 1,8% en rythme annuel. L'indice des prix à la production hors énergie, alimentation et services commerciaux a progressé de 0,3% sur un mois en août après une hausse similaire en juillet, tandis qu'en rythme annuel, la hausse a été de 3,3%, contre 3,2% en juillet.

L'indice américain des prix à la consommation était ressorti hier, comme attendu, en augmentation de 0,2% d'un mois sur l'autre et de 2,5% sur un an (2,6% de consensus). Hors alimentaire et énergie, l'IPC d'août a progressé de 0,3% par rapport au mois précédent (0,2% de consensus) et de 3,2% sur un an. Le salaire horaire final d'août a augmenté de 0,4% d'un mois sur l'autre, contre 0,3% de consensus. Il progresse de 3,8% sur un an.

Les inscriptions au chômage ont de leur côté diminué aux Etats-Unis lors de la semaine au 7 septembre, à 230.000 contre 228.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 230.000 inscriptions au chômage.
Les inscriptions de la semaine au 31 août ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 227.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 230.750 contre 230.250 (révisé) la semaine précédente. Le nombre de personnes percevant régulièrement des indemnités s'est élevé à 1,850 million lors de la semaine au 31 août, contre 1,845 million la semaine précédente.

Les cours pétroliers remontent à 71,50$ le brent après l'annonce d'une petite hausse des réserves de brut aux Etats-Unis la semaine passée et des perturbations météo dans le Golfe du Mexique. D'après le Département américain à l'Energie, les stocks domestiques de brut, hors réserve stratégique, ont progressé de 0,8 million de barils sur la semaine close le 6 septembre, à 419,1 millions de barils précisément. Le consensus tablait sur une hausse de 0,9 million. Les stocks d'essence ont grimpé de 2,3 millions de barils et ceux de produits distillés ont aussi augmenté de 2,3 millions.

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a par ailleurs annoncé réduire sa prévision de croissance de la demande de pétrole pour cette année de 70.000 barils par jour (bpj), soit environ 7,2%, pour la ramener à 900.000 bpj, montre son rapport mensuel publié jeudi.
L'organisation internationale, basée à Paris, cite le ralentissement de la demande chinoise comme le principal facteur du ralentissement de la croissance de la demande mondiale. L'AIE s'attend désormais à ce que la demande chinoise n'augmente que de 180.000 bpj en 2024, le ralentissement macroéconomique coïncidant avec l'adoption accrue de véhicules électriques.
"La croissance de la demande de pétrole en Chine semblant s'essouffler, et la plupart des autres pays ne connaissant que des augmentations modestes ou des baisses, les tendances actuelles nous confortent dans l'idée que la demande mondiale atteindra un plateau d'ici la fin de la décennie", écrit l'AIE.

Selon l'organisation internationale basée à Paris, la consommation d'essence aux Etats-Unis, le plus gros client au monde, a diminué d'une année sur l'autre au cours de cinq des six premiers mois de l'année, indique l'AIE. "En dehors de la Chine, la croissance de la demande de pétrole est, au mieux, timide", note encore l'AIE.
L'agence a laissé inchangée sa prévision de croissance de la demande en 2025 à environ 950.000 bpj, mais a laissé entendre que le marché mondial du pétrole pourrait souffrir d'une surabondance l'année prochaine si le groupe des producteurs de l'Opep+ met en oeuvre son plan d'annulation des réductions volontaires de la production.

Les rendements obligataires varient après les annonces de la Banque centrale européenne. Le taux du Bund allemand à dix ans progresse de 1,5 point de base, à 2,11%, pratiquement inchangé. L'euro avance de 0,14% face au dollar, à 1,1026.

Les valeurs

US Bancorp (-2,1%) a annoncé ce jeudi un programme de rachat d'actions de 5 Milliards de dollars et une augmentation de son dividende trimestriel malgré une baisse de son bénéfice ajusté trimestriel, affecté par les coûts de dépôts. L'établissement américain de crédit basé dans le Minnesota a ainsi publié le mois dernier un bénéfice net ajusté part du groupe de 1,62 milliard de dollars et 98 cents par action, contre 1,79 milliard de dollars et 1,12$ par titre un an avant.
Le management estime que les métriques de crédit sur la période s'affichent en ligne avec les anticipations et que les niveaux des réserves sont appropriées... La marge nette d'intérêt sur la période, mesure de la rentabilité des crédits, s'est tassée à 2,67% contre 2,90% un an auparavant.
Le revenu net d'intérêts est attendu stable sur le trimestre entamé, en comparaison du deuxième trimestre juste clos. Ce "NII" a décliné de 9% à 4,05 Milliards de dollars en glissement annuel au deuxième trimestre. Les coûts plus élevés de rétention des dépôts ont pesé, alors que la demande de crédit est restée mitigée.

Microsoft (+0,8%) piloterait la suppression de 650 emplois dans sa division Xbox, troisième vague de licenciements de ce type cette année, alors que la société tente de maîtriser ses coûts et d'intégrer Activision Blizzard, rapporte Bloomberg News ce jeudi.
Pour le trimestre clos fin juin, rappelons que Microsoft a réalisé des revenus de 64,7 milliards de dollars en augmentation de 15% en glissement annuel, à comparer à un consensus de 64,5 milliards. Le bénéfice ajusté par action s'est établi à 2,95$, un petit cent de mieux que le consensus. De plus, avec l'acquisition d'Activision Blizzard, l'activité jeux vidéo a affiché une croissance de plus de 60% de ses revenus de contenus et services. Au total, les revenus se sont appréciés de 16% à devises constantes pour le trimestre écoulé, alors que le bénéfice opérationnel a augmenté de 16% lui aussi à 27,9 milliards de dollars. Le bénéfice net, de 22 milliards de dollars, a grimpé de 10% en données publiées et de 11% à devises constantes. Le bénéfice dilué par action affiche une hausse similaire.
Sur l'exercice clos, les revenus ont progressé de 16% à 245 milliards de dollars, alors que le bénéfice net a augmenté de 22% à 88 milliards de dollars, 11,80$ par action.
Alors que le géant software de Redmond a pourtant dépassé les attentes pour le trimestre clos en matière de revenus et de profits, les investisseurs se sont surtout concentrés récemment sur la déception des revenus cloud, s'inquiétant d'un éventuel ralentissement d'Azure, alors que les valorisations boursières sont très exigeantes dans l'IA. Les revenus d'Azure ont tout de même augmenté de 29% en glissement annuel pour le quatrième trimestre fiscal (+30% à devises constantes), contre 31% sur le trimestre antérieur. La part de l'IA dans cette croissance atteindrait désormais 8%, un peu plus que sur le précédent trimestre...

IBM (+0,8%) a déclaré s'attendre à supporter une charge exceptionnelle d'environ 2,7 milliards de dollars avant impôts au troisième trimestre, dans le cadre d'un accord de transfert de régime de retraite avec Prudential.
Pour son deuxième trimestre fiscal, rappelons que le groupe informatique avait dégagé un bénéfice ajusté par action de 2,43$ à comparer à un consensus de 2,20$. Les revenus ont totalisé quant à eux 15,8 milliards de dollars, contre 15,6 milliards de dollars de consensus. Ainsi, les revenus ont augmenté de 2% en données consolidées et de 4% à devises constantes, avec en particulier une progression de 7% des recettes software. Les revenus de consulting ont reculé de 1%, alors que ceux d'infrastructure ont augmenté de 1%.
Pour l'ensemble de l'année 2024, le groupe envisage un chiffre d'affaires en croissance en devises constantes en ligne avec son modèle "à un chiffre moyen". Le flux de trésorerie disponible est donc désormais attendu à plus de 12 milliards de dollars...

Eli Lilly (+1,6%) va investir 1,8 Milliard de dollars sur deux sites de production en Irlande pour augmenter la production de son médicament contre l'obésité et d'un traitement contre la maladie d'Alzheimer, a déclaré le fabricant de médicaments américain ce jeudi.
Rappelons que le géant américain vend désormais aux Etats-Unis depuis peu des flacons unidoses du Zepbound, son traitement anti-obésité, à l'intention des patients qui ne peuvent pas obtenir le remboursement du médicament par leur régime d'assurance-maladie... Les flacons sont vendus 399$ par mois.
Les patients disposant d'une ordonnance pour Zepbound peuvent acheter un approvisionnement mensuel de flacons à usage unique via le site internet de la société LillyDirect. Le prix des flacons est environ la moitié de celui du traitement par injection. Le Zepbound est généralement vendu dans un stylo auto-injecteur. Avec les flacons, les patients doivent remplir les seringues eux-mêmes, mais cela permet à Lilly de gagner du temps de production, ce qui permet à davantage de patients d'obtenir le médicament...
Cette initiative fait partie de l'effort de Lilly visant à "mettre tout le monde sur le pont" pour augmenter l'approvisionnement en Zepbound et un médicament similaire contre le diabète appelé Mounjaro dans un contexte de pénuries généralisées, a déclaré à 'Bloomberg' le vice-président exécutif Patrik Jonsson. Lilly et son rival Novo Nordisk ont tous deux du mal à répondre à la demande pour leurs médicaments contre l'obésité, un marché qui devrait atteindre 130 milliards de dollars d'ici la fin de la décennie. Wegovy et Zepbound ont connu des ruptures de stock depuis leur lancement, et la Food and Drug Administration américaine les considère toujours comme en pénurie.
"Nous sommes convaincus que les auto-injecteurs et les flacons nous permettront de répondre aux besoins du marché américain", avait souligné le patron de la firme d'Indianapolis, ajoutant qu'une grande partie des patients ne passent pas à des doses de Zepbound supérieures à 5 mg au cours du traitement.

Johnson & Johnson (-0,1%) La Food and Drug Administration américaine (FDA) vient d'autoriser l'utilisation élargie du médicament produit par le groupe américain, Tremfya, afin de soigner les adultes atteints d'un type de maladie inflammatoire chronique de l'intestin.
Le groupe pharmaceutique avait annoncé pour son deuxième trimestre 2024 des ventes en hausse de 4,3% à 22,4 milliards de dollars, avec une croissance opérationnelle de 6,6%. La progression opérationnelle de l'activité hors vaccins Covid-19 a atteint 7,1%... Le bénéfice par action a été de 1,93$ sur la période, en repli de 6%, tandis que le bpa ajusté a augmenté de 10% à 2,82$. Ainsi, J&J a dépassé les attentes de profits et de revenus sur la période, avec de fortes ventes, notamment, du traitement du cancer Darzalex et de celui du psoriasis Stelara. Les revenus étaient anticipés à 22,3 milliards et le bpa ajusté était attendu à 2,70$. Stelara a affiché une croissance de 3% à 2,9 milliards de dollars, au-dessus des attentes. Darzalex a progressé de 18% à 2,9 milliards de dollars également, en ligne avec les anticipations des brokers.
Le groupe du New Jersey table désormais sur des revenus annuels 2024 logés entre 89,2 et 89,6 milliards de dollars, soit une révision en hausse de la guidance. J&J a en revanche abaissé ses estimations de bpa entre 10 et 10,10$, contre 10,60 à 10,75$ auparavant, afin de tenir compte d'une hausse de 5 cents due à l'amélioration des performances et d'un ajustement en baisse de 68 cents lié aux coûts de fusions et acquisitions, y compris de son acquisition pour 13 milliards de dollars de Shockwave.

General Mills (-0,1%) va céder son activité de yaourts en Amérique du Nord ! Les géants laitiers français Lactalis et Sodiaal vont racheter les activités yaourt du groupe américain valorisées à 2,1 Milliards de dollars. Lactalis va acquérir la branche américaine, tandis que la coopérative Sodiaal absorbera l'unité canadienne. Lactalis et General Mills s'attendent à finaliser l'opération courant 2025.
Cette vente s'inscrit dans un contexte de rationalisation pour les fabricants de produits alimentaires, désireux de se séparer des branches les moins performantes. La cession doit ainsi permettre à General Mills, qui possède entre autres Häagen-Dazs et Old El Paso, de se concentrer sur ses marques clés, qui dégagent des marges plus importantes, a expliqué son directeur général Jeff Harmening.
Le groupe américain cède une activité confrontée à une forte concurrence aux Etats-Unis, Yoplait rivalisant avec la marque de yaourt Chobani, ainsi que Danone. L'activité yaourt américaine de General Mills a contribué à hauteur d'environ 1,5 Milliard de dollars au chiffre d'affaires net du groupe pour l'exercice 2024.

Mastercard (+0,8%) a validé le rachat de la société de renseignements Recorded Future pour 2,65 Milliards de dollars ce jeudi. L'opération est réalisée auprès de la société de capital-investissement Insight Partners. Cette acquisition permettra à la société de paiement basée à New York de disposer de capacités accrues en matière de renseignements sur les menaces en ligne. L'adoption rapide des nouvelles technologies a accru le risque de cybermenaces, les entreprises étant de plus en plus souvent confrontées à des attaques de piratage ou de ransomware. .
Le groupe US collabore déjà avec Recorded Future, qui utilise des analyses basées sur l'IA pour identifier les menaces potentielles, sur un service qui alerte les institutions financières lorsqu'une carte est susceptible d'être compromise. Depuis le lancement de ce service en début d'année, le taux d 'identification des cartes compromises a doublé par rapport à l'année dernière, a indiqué Mastercard. L'accord final devrait être conclu d'ici le premier trimestre 2025.
Rappelons que le groupe américain Mastercard a publié pour son deuxième trimestre 2024 un bénéfice net de 3,3 milliards de dollars et un bénéfice dilué par action de 3,50$. Le bénéfice ajusté par action a été de 3,59$. Les revenus ont atteint quant à eux environ 7 milliards de dollars, en augmentation de 11% en glissement annuel et 13% à devises constantes. Le consensus était de 3,51$ de bénéfice ajusté par action pour 6,85 milliards de dollars de revenus.
Le volume brut en dollars du deuxième trimestre a progressé de 9% et le volume d'achat de 10% à devises locales. Un an avant, le groupe avait réalisé des revenus de 6,3 milliards de dollars et un bénéfice net de 2,8 milliards de dollars.

 ■

Les informations et conseils rédigés par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Ces contenus n'ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d'erreur, d'omission ou d'investissement inopportun.

Votez pour cet article
0 avis
Note moyenne : 0
  • 0 vote
  • 0 vote
  • 0 vote
  • 0 vote
  • 0 vote
Actions les plus vues

Classement des actions les plus vues, pour la période du vendredi 27 septembre 2024 au jeudi 03 octobre 2024, des marchés Euronext Paris, Bruxelles, Amsterdam, Growth Paris, NASDAQ et NYSE sur le site et l'application Bourse Direct.

Jusqu'à
170€ de prime offerte*

Pour toute 1ère adhésion avant le 31 octobre 2024 inclus, avec un versement initial investi à 30 % minimum sur un (ou des) support(s) d'investissement en unités de compte, non garanties en capital.
*SOUS CONDITIONS

Ces contrats présentent un risque de perte en capital.
Information publicitaire à caractère non contractuel.

CONTENUS SPONSORISÉS
SUR LE MÊME SUJET
Publié le 04/10/2024

Wall Street progresse plus nettement désormais avant bourse ce vendredi, le S&P 500 s'accordant 0,1% et le Nasdaq 0,2%, contre un gain de quelques...

Publié le 04/10/2024

La Bourse de New York a clôturé en baisse jeudi, dans un contexte d'escalade du conflit au Proche-Orient et dans l'attente de la publication du rapport mensuel sur l'emploi aux États-Unis. 

Publié le 03/10/2024

Wall Street a consolidé jeudi soir sur fond de crise et de risque d'embrasement général au Moyen-Orient...

Publié le 03/10/2024

Wall Street consolide ce jeudi, toujours hésitant sur fond de crise et de risque d'embrasement supplémentaire au Moyen-Orient...

Publié le 03/10/2024

Wall Street consolide marginalement avant bourse ce jeudi, toujours hésitant sur fond de crise et de risque d'embrasement supplémentaire au...

À LIRE AUSSI SUR BOURSE DIRECT
Publié le 04/10/2024

Le message est très négatif sur l'indice parisien qui rompt ses niveaux d'alerte de court terme, tandis que les titres faibles tels que Stellantis poursuivent leur repli. #Cac40 #investir #bourse…

Publié le 04/10/2024

Sur le plan statistique : France : 8H45 Indice de la production industrielle d'août (+0,4% attendu après -0,5) Zone euro : 11H00 Balance des paiements du 2ème…

Publié le 04/10/2024

Le marché est soulagé...

Publié le 04/10/2024

La Bourse de Paris a de nouveau reculé, le risque géopolitique prenant désormais le dessus sur les préoccupations liées au rythme de la baisse des taux d'intérêt en Europe et aux États-Unis.

Votre compte bourse direct

L'ouverture de votre compte Bourse Direct est gratuite et s'effectue en ligne en quelques minutes.
Dans le cas d'un transfert de compte, Bourse Direct prend en charge 100% de vos frais, à hauteur de 200 € par compte.

  • Pas de dépôt minimum
  • 0€ de droits de garde
  • 0€ d'abonnement
  • 0€ de frais de tenue de compte,

Demande de documentation

Ouvrir mon compte Bourse Direct en ligne

RETAIL DAY

À la rencontre des pépites Small & Mid Caps

Le nouveau rendez-vous digital des investisseurs

S'inscrire