Votre navigateur (${ userBrowser.name + ' ' + userBrowser.version }) est obsolète. Pour améliorer la sécurité et la navigation sur notre site, prenez le temps de mettre à jour votre navigateur.      
7 941.02 PTS
-1.29 %
7 956.00
-1.12 %
SBF 120 PTS
6 011.24
-1.18 %
DAX PTS
17 827.87
-1.1 %
Dow Jones PTS
37 735.11
-0.65 %
17 706.83
-1.65 %
1.063
+0.08 %

Wall Street : Nasdaq et S&P sous pression

| Boursier | 423 | Aucun vote sur cette news

La cote américaine fléchit prudemment ce mardi, le S&P 500 abandonnant 0,38% à 4...

Wall Street : Nasdaq et S&P sous pression
Credits Reuters

La cote américaine fléchit prudemment ce mardi, le S&P 500 abandonnant 0,38% à 4.122 pts, le Dow Jones 0,1% à 33.584 pts et le Nasdaq 0,45% à 12.201 pts. Sur le Nymex, le baril de brut WTI abandonne 1,3% à 72,2$. L'once d'or grappille 0,1% à 2.034$. L'indice dollar gagne 0,3% face à un panier de devises de référence.

Les marchés font preuve de prudence, après des statistiques chinoises plus mitigées, et à la veille des chiffres américains de l'inflation. Les chiffres du commerce extérieur chinois ont en effet montré une contraction inattendue des importations en avril, à -7,9%. Cela tempère les ardeurs des opérateurs jouant la réouverture chinoise. En outre, une nouvelle hausse de taux de la Fed n'est pas totalement exclue le 14 juin, avec une probabilité d'environ 12% d'un mouvement de 25 points de base selon l'outil FedWatch. Par ailleurs, la BCE devra pour sa part peut-être encore augmenter ses taux après le mois de juillet, alors que les inquiétudes persistent concernant la pression inflationniste persistante. Les commentaires de la BCE sont restés bellicistes, soulignant ce potentiel de hausse des taux au-delà de juillet.

Le gouverneur de la Fed Philip Jefferson a livré ce jour des commentaires optimistes concernant le système bancaire américain, suite à la résurgence récente du 'stress bancaire' dans le sillage de l'effondrement de First Republic, dont les actifs seront repris par JP Morgan. Jefferson ne s'alarme pas et estime au contraire que "le système bancaire est sain et résilient". Le gouverneur de la Fed admet que la disponibilité de crédit s'est contractée, alors que les banques ont resserré leurs standards de prêt, mais il ajoute qu'il s'agit "d'une partie naturelle" de la transmission de la politique monétaire. Jefferson dit espérer toujours une poursuite de la croissance économique. A l'occasion d'un forum ce jour, Jefferson indique que l'économie américaine "ralentit de manière ordonnée", ce qui devrait permettre, selon lui, un déclin de l'inflation tout en poursuivant la croissance de l'activité.

Certaines études ont signalé un potentiel pour une lecture plus élevée que prévu de l'indice américain des prix à la consommation d'avril demain mercredi - alors que le consensus FactSet est de +0,4% en comparaison du mois antérieur et +5% sur un an (ou +0,3% et +5,4% hors alimentaire et énergie).

Les pauses de la Fed ont eu généralement tendance à offrir un signal haussier pour les actifs à risque, bien que certains stratèges aient relevé que ce signal disparaissait dans un environnement d'inflation élevée. Alors que les tendances des bénéfices et des prévisions des entreprises sont quant à elles meilleures que prévu, des inquiétudes subsistent quant au risque lié à la diminution du pouvoir de fixation des prix et au durcissement 'macro'.

La situation des banques régionales américaines ne semble quant à elle toujours pas réellement stabilisée, avec la possibilité d'un resserrement des conditions de crédit et d'un nouvel impact lié à l'immobilier commercial.

La question du plafond de la dette américaine devrait quant à elle être finalement résolue, mais le risque persiste pour l'heure car la voie vers un accord semble comme toujours compliquée. Le président Biden va rencontrer dans l'immédiat les dirigeants du Congrès au sujet du plafond de la dette, sans qu'un accord immédiat ne soit attendu. Janet Yellen, Secrétaire US au Trésor, a contacté des dirigeants pour les avertir du risque croissant de ce point de vue et les amener à faire pression sur le Congrès.

Les valeurs

Palantir, dont les logiciels équipent notamment les services US de renseignement, bondit de 20% à Wall Street, sur des prévisions et résultats solides. Le management, surfant sur la vague de l'IA, évoque par ailleurs une demande sans précédent pour son nouvel outil d'intelligence artificielle. Palantir a affiché un bénéfice inattendu sur le premier trimestre fiscal, et l'année 2023 pourrait être son premier exercice rentable. Alex Karp, directeur général de l'affaire, a par ailleurs insisté hier soir sur la thématique de l'IA, ce qui a enthousiasmé les marchés. Selon Karp, la stratégie de Palantir est tout simplement de "prendre tout le marché", en s'appuyant sur son "software unique". La première version de la plateforme IA du groupe sera mise à disposition d'une sélection de clients ce mois.

Le groupe a affiché au premier trimestre fiscal un bénéfice d'un cent par titre, alors que le consensus était d'un cent de perte par action. Les revenus des activités gouvernementales sur la période ont augmenté de 20% à 289 millions de dollars, contre 286 millions de consensus. Les revenus trimestriels totaux ont progressé de 18% à 525 millions de dollars, contre 506 millions de consensus. Pour l'année 2023, le groupe table sur un bénéfice ajusté des opérations allant de 506 à 556 millions de dollars, ce qui dépasserait également le consensus.

PayPal décroche de 11% à Wall Street. Pour son premier trimestre fiscal, le groupe a pourtant battu le consensus. Le bénéfice ajusté par action a été de 1,17$, contre 1,1$ de consensus de marché et 88 cents un an avant. Les revenus ont été de 7,04 milliards de dollars, contre 6,48 milliards pour la période correspondante de l'année antérieure. Le volume des paiements PayPal sur une base de change neutre s'est élevé à 354,5 milliards de dollars au premier trimestre clos le 31 mars, contre 357,4 milliards de dollars au quatrième trimestre.

Le fournisseur américain de services de paiement en ligne a abaissé ses prévisions de marge opérationnelle ajustée annuelle, tablant sur une expansion de 100 points de base, contre une guidance antérieure de 125 points de base. Cependant, la compagnie a aussi relevé ses prévisions de bénéfice ajusté pour l'ensemble de l'année, avec les réductions de coûts. PayPal s'attend à une croissance du bpa ajusté d'environ 20% à 4,95$ par action, au-dessus du consensus. Le groupe a souligné hier soir sa poussée dans l'intelligence artificielle, et s'attend à ce que de nouvelles avancées dans l'IA générative contribuent à accélérer ses initiatives de productivité.

McKesson (+7%), le groupe pharmaceutique et médical américain, a annoncé pour son quatrième trimestre fiscal un bénéfice ajusté par action de 7,19$, à comparer à un consensus de 7,16$ et un niveau de 5,83$ un an avant. Les revenus ont totalisé quant à eux 68,9 milliards de dollars sur la période close, contre 66,1 milliards un an plus tôt. McKesson améliore donc de 4% ses revenus totaux, pour un bénéfice dilué des opérations continues plus que doublé et un bénéfice ajusté par action en croissance quant à lui de 23%. Le groupe table pour l'exercice entamé (2024) sur un bénéfice ajusté par action allant de 26,1 à 26,9$, ce qui marquerait une légère croissance de 1 à 4%.

International Flavors & Fragrances (-9%), groupe basé à New York, actif dans l'industrie de la parfumerie et des arômes, perd du terrain à Wall Street. IFF a publié hier soir des comptes inférieurs aux attentes de marché pour son premier trimestre, affichant un bpa ajusté de 87 cents à comparer à un consensus de 89 cents et un niveau de 1,69$ un an auparavant. Les revenus ont été de 3,03 milliards de dollars, contre 3,23 milliards sur la période comparable, l'année précédente. La perte nette trimestrielle a été de 9 millions de dollars, avec l'inflation des coûts, alors que le groupe avait réalisé sur la période correspondante, l'an dernier, un bénéfice net de 246 millions de dollars. International Flavors & Fragrances a par ailleurs abaissé ses estimations de ventes annuelles à 12,3 milliards de dollars, hors désinvestissements attendus de Savory Solutions et Flavor Specialty Ingredients.

Lucid trébuche encore de 9% à Wall Street. Le petit constructeur américain de véhicules électriques a raté le consensus de revenus et de résultat pour le trimestre clos. Le groupe vise les 10.000 unités produites cette année, "pivotant" vers de plus hauts volumes. Pour la période close, la firme californienne a affiché des revenus de 149 millions de dollars, contre près de 200 millions espérés par les analystes et 257 millions un trimestre avant. La perte ajustée par action a été de 43 cents, contre -40 cents de consensus. Lucid consomme toujours beaucoup de cash. Le constructeur a terminé le trimestre avec 4,1 milliards de dollars de liquidité totale, ce qui permettrait de financer les opérations jusqu'au deuxième trimestre 2024... Dans le secteur, Fisker perd aussi 5% après avoir réduit ses estimations annuelles de production.

Western Digital (-3%) a affiché une perte au troisième trimestre fiscal, mais ses revenus ont dépassé les attentes de marché à Wall Street. Le concepteur de disques durs se montre prudent, tablant pour son quatrième trimestre sur des revenus allant de 2,4 à 2,6 milliards de dollars, alors que le consensus était de près de 2,9 milliards. La perte ajustée par action sur la période est anticipée entre 1,9 et 2,2$, contre -1,2$ de consensus. Néanmoins, pour le troisième trimestre, le groupe a réalisé des ventes de 2,8 milliards de dollars à comparer à un consensus de 2,7 milliards. Un an plus tôt, les recettes atteignaient 4,4 milliards de dollars. La perte ajustée par action sur le trimestre clos a été de 1,37$, contre un bpa ajusté positif de 1,65$ un an auparavant. Western Digital étudie par ailleurs une scission, sous la pression de l'investisseur activiste Elliott.

Duke Energy (-1%), le producteur et distributeur américain d'électricité, a raté le consensus de profit pour le trimestre clos avec le temps clément, qui a pesé sur l'usage énergétique. Les revenus trimestriels ont été de 7,3 milliards de dollars, battant le consensus, mais le bpa ajusté a représenté 1,20$ seulement. Le consensus de place était de 1,26$ de bénéfice ajusté par action pour 6,56 milliards de dollars de revenus. Le groupe maintient une guidance annuelle de bpa ajusté allant de 5,55 à 5,75$, entourant les estimations de brokers.

Air Products & Chemicals (-5%), le spécialiste américain des gaz industriels et médicaux, a publié pour son deuxième trimestre fiscal un bénéfice GAAP par action de 1,97$ et un bénéfice ajusté de 2,74$ par titre. Les revenus sur ce trimestre clos fin mars ont été de 3,2 milliards de dollars, contre 2,95 milliards sur la période comparable de l'année antérieure. Le consensus était de 2,64$ de bpa ajusté pour 3,06 milliards de dollars de revenus. Le bénéfice net consolidé a été de 450 millions de dollars, en repli de 16% en glissement annuel. L'Ebitda ajusté a été de 1,15 milliard de dollars, en augmentation de 13%. Le groupe renforce sa guidance de bpa ajusté 2023 entre 11,3 et 11,5$, ce qui représenterait une augmentation de 10 à 12%.

Apollo Global Management (+2%), géant américain de la gestion alternative, a annoncé pour son premier trimestre fiscal un bénéfice net ajusté en décroissance de 8% en comparaison de l'an dernier, à 845 millions de dollars contre 917 millions de dollars. Le bénéfice ajusté par action a été de 1,42$, contre un consensus de marché de 1,47$. Les bénéfices de commissions sur la période ont approché des 400 millions de dollars, un record trimestriel, en augmentation de 28% en comparaison de l'an dernier. En normes GAAP, Apollo a affiché un bénéfice net d'un milliard de dollars, contre 401 millions de dollars de pertes un an avant. Le niveau total des actifs sous gestion en fin de période s'élève à 598 milliards de dollars.

GlobalFoundries (-6%), le fabricant californien de semi-conducteurs, a annoncé des revenus et des bénéfices supérieurs aux anticipations, mais une guidance jugée trop courte. La firme a généré un bénéfice net de 254 millions de dollars au premier trimestre, ou 46 cents par action, contre 178 millions de dollars l'année précédente. Sur une base ajustée, GlobalFoundries a gagné 0,52$ par action, contre 0,42$ par action un an avant et 0,49$ de consensus. Les revenus ont décliné de 1,94 milliard à 1,84 milliard de dollars. Pour le trimestre en cours, GlobalFoundries prévoit un bénéfice ajusté de 50 cents par action et des ventes de 1,83 milliard de dollars, sur la base du milieu de fourchette de la guidance. Wall Street modélisait un bénéfice de 51 cents par action sur des ventes de 1,85 milliard de dollars. Au cours de la période correspondante de l'année précédente, le groupe avait gagné 58 cents par titre sur une base ajustée pour des ventes de 1,99 milliard de dollars.

Warner Music Group (-10%), la maison de disques new-yorkaise, a publié pour son deuxième trimestre fiscal, clos fin mars 2023, des revenus de 1,4 milliard de dollars en augmentation de 2% en comparaison de l'an dernier, et des revenus digitaux en progression de 1% à 942 millions. Le bénéfice opérationnel ajusté a augmenté de 10% à 203 millions de dollars. Le bénéfice net consolidé a corrigé de 60% à 37 millions de dollars. Le bénéfice net ajusté a grimpé de 5% à 116 millions. Le bénéfice ajusté par titre a été de 20 cents. Le consensus était de 18 cents de bénéfice ajusté par action pour 1,37 milliard de dollars de revenus.

Coty (-3%), le groupe new-yorkais, acteur majeur des produits de beauté et de soins, a livré pour son troisième trimestre fiscal 2023 des résultats supérieurs aux attentes, dopant dans la foulée ses estimations. Les revenus trimestriels se sont améliorés de 9% à 1,29 milliard de dollars, contre 1,22 milliard de consensus. Le bénéfice ajusté par action a été de 19 cents, contre 3 cents de consensus. Le groupe envisage désormais, pour l'exercice 2023 un bénéfice ajusté par action allant de 38 à 39 cents, contre 35 à 36 cents précédemment envisagé. Notons que le groupe envisage une double cotation, avec une introduction prochaine à Paris.

Boeing (+2%) grimpe à Wall Street, alors que l'Irlandais Ryanair a dévoilé un deal multimilliardaire portant sur plusieurs centaines d'appareils. Le transporteur aérien 'low cost' a placé une commande ferme sur 150 appareils 737 MAX 10, avec des options sur 150 autres. Ryanair estime que cette commande majeure lui permettra de pratiquement doubler son trafic à 300 millions de passagers par an d'ici mars 2034. L'accord apporte par ailleurs un beau soutien à la version la plus grande du 737 MAX.

Novavax s'envole de 45% à Wall Street, alors que le laboratoire américain va se séparer de 25% de ses effectifs, dans un contexte d'apaisement de la crise sanitaire. Le fabricant de vaccins va également consolider ses installations et ses infrastructures dans le cadre d'un plan de réduction des coûts. Novavax comptait un peu moins de 2.000 employés à la fin de l'année dernière. Le chiffre d'affaires du groupe pour le premier trimestre a représenté 81 millions de dollars seulement, contre 704 millions de dollars il y a un an. Les analystes avaient estimé les ventes à 85 millions de dollars. La société s'attend à ce que les ventes pour l'année complète se situent entre 1,4 et 1,6 milliard de dollars, ce qui dépasserait nettement les attentes. La perte nette par action a été de 3,41$. Le niveau de cash et équivalents en fin de période était de 637 millions de dollars, contre 1,3 milliard de dollars à fin décembre.

 ■

Les informations et conseils rédigés par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Ces contenus n'ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d'erreur, d'omission ou d'investissement inopportun.

Votez pour cet article
0 avis
Note moyenne : 0
  • 0 vote
  • 0 vote
  • 0 vote
  • 0 vote
  • 0 vote
Actions les plus vues

Classement des actions les plus vues, pour la période du mardi 09 avril 2024 au lundi 15 avril 2024, des marchés Euronext Paris, Bruxelles, Amsterdam, Growth Paris, NASDAQ et NYSE sur le site et l'application Bourse Direct.

Jusqu'à
170€ de prime offerte*

Pour toute 1ère adhésion avant le 30 avril 2024 inclus, avec un versement initial investi à 30 % minimum sur un (ou des) support(s) d'investissement en unités de compte, non garanties en capital.
*SOUS CONDITIONS

Ces contrats présentent un risque de perte en capital.
Information publicitaire à caractère non contractuel.

CONTENUS SPONSORISÉS
SUR LE MÊME SUJET
Publié le 17/04/2024

x

Publié le 16/04/2024

La Bourse de New York a fini en forte baisse lundi, les inquiétudes concernant le Moyen-Orient et la hausse des rendements obligataires ayant éclipsé les bons résultats des ventes au détail…

Publié le 15/04/2024

Les marchés plient outre-Atlantique...

Publié le 15/04/2024

La Bourse de New York a fini en baisse vendredi, les tensions géopolitiques et l'inflation ont déprimé les investisseurs, tandis que les banques ont lancé sans brio la saison trimestrielle des…

Publié le 12/04/2024

Les tensions diplomatiques brident la confiance des marchés...

À LIRE AUSSI SUR BOURSE DIRECT
Publié le 16/04/2024

La Bourse de New York a fini en forte baisse lundi, les inquiétudes concernant le Moyen-Orient et la hausse des rendements obligataires ayant éclipsé les bons résultats des ventes au détail…

Publié le 16/04/2024

Après quatre séances consécutives de baisse et un week-end très agité sur le plan géopolitique, la Bourse de Paris s’est ressaisie, les opérateurs ayant pris en compte le calme relatif au…

Publié le 16/04/2024

Metavisio réduit sa dette convertible à environ 3,9 ME, soit une baisse de 45% par rapport à la dette variable à effet dilutif du 31 décembre 2022...

Publié le 16/04/2024

Johnson & Johnson est attendu en baisse en pré-marché à Wall Street malgré un bénéfice par action ajusté supérieur aux attentes à 2,71 dollars contre 2,64 dollars attendus. Il a progressé de…

Publié le 16/04/2024

SLB a remporté trois contrats auprès de Petrobras pour la fourniture de matériel et de services d'achèvement pour un maximum de 35 puits sous-marins, dans le cadre du développement du champ…

Votre compte bourse direct

L'ouverture de votre compte Bourse Direct est gratuite et s'effectue en ligne en quelques minutes.
Dans le cas d'un transfert de compte, Bourse Direct prend en charge 100% de vos frais, à hauteur de 200 € par compte.

  • Pas de dépôt minimum
  • 0€ de droits de garde
  • 0€ d'abonnement
  • 0€ de frais de tenue de compte,

Demande de documentation

Ouvrir mon compte Bourse Direct en ligne

Séjour Coaching
2 jours All Inclusive

Découvrez notre coaching intensif de 2 jours tout compris, dans un lieu d'exception