Wall Street : le Nasdaq s'envole avec Nvidia !
Wall Street s'est offert un gros rebond emmené par AMD et surtout Nvidia mercredi, malgré Microsoft qui demeure sous pression après avoir déçu dans le...

Wall Street s'est offert un gros rebond emmené par AMD et surtout Nvidia mercredi, malgré Microsoft qui demeure sous pression après avoir déçu dans le cloud... La réunion de la Fed et la conférence de presse de Jerome Powell ont comme prévu balisé le terrain en direction d'une possible baisse des taux US en septembre. Le S&P 500 se redresse de 1,58% à 5.522 pts, alors que le Dow Jones prend 0,24% à 40.842 pts. Le Nasdaq bondit de 2,64% à 17.599 pts. La volatilité risque de rester forte, alors qu'il reste tout de même trois des 'Mag 7', Meta, Apple et Amazon, sur le calendrier des publications cette semaine...
Sur le Nymex, le baril de brut WTI remonte de 4% à 78,70$ en raison des derniers événements au Moyen-Orient. D'après le Département américain à l'Energie, les stocks domestiques de brut, hors réserve stratégique, ont reculé de 3,4 millions de barils sur la semaine close le 26 juillet, à 433 millions de barils. Le consensus tablait sur une baisse de 1,6 mb. Les stocks d'essence ont diminué de 3,7 mb et ceux de produits distillés ont progressé de 1,5 mb.
L'indice dollar perd 0,5% face à un panier de devises.
La Réserve fédérale américaine a, comme prévu, maintenu l'objectif des taux des "fed funds" à 5,25%-5,50% pour la huitième fois consécutive, mais son président, Jerome Powell, a souligné que la première baisse de taux se rapprochait à grands pas... "Au sein du comité de politique monétaire de la Fed, nous estimons que nous nous rapprochons du moment où les taux baisseront, mais que nous n'y sommes pas encore", a expliqué en conférence de presse le président de la banque centrale, ajoutant que les chiffres sur l'inflation au deuxième trimestre avaient donné davantage de confiance dans le ralentissement de la dynamique des prix. "Une baisse pourrait être sur la table lors de la réunion de septembre", a même précisé Jerome Powell, soulignant toutefois que la Fed resterait dépendante des données. "Davantage de bonnes données nous donneront davantage de confiance", a-t-il dit...
Signe que le débat s'intensifie au sein de la banque centrale, le président de la Fed a expliqué qu'une baisse des taux avait été évoquée durant la réunion. Par ailleurs, le marché du travail se normalise et a retrouvé sa situation d'avant la pandémie de COVID, "solides mais pas en surchauffe", a-t-il encore détaillé.
Dans le communiqué publié à l'issue de sa réunion de politique monétaire, la Fed a souligné que les risques sur les deux mandats "continuaient" de s'équilibrer. La banque centrale juge que l'inflation est désormais "plutôt élevée", un changement important par rapport aux précédents communiqués dans lesquels elle faisait état d'une inflation "élevée".
De fait, l'inflation PCE, la mesure utilisée par la Fed dans le cadre de son objectif d'inflation de 2%, a atteint 2,5% en juin, tandis que le dernier rapport mensuel sur l'emploi a mis en évidence la hausse du chômage.
Les opérateurs estiment désormais dans leur majorité que la Fed baissera ses taux à chacune de ses réunions cette année, soit trois baisses de taux de 25 points de base chacune.
Côté statistiques, selon le dernier rapport d'ADP pour le mois de juillet, les créations de postes aux Etats-Unis dans le privé ont été au nombre de 122.000, à comparer à un consensus de 150.000. La lecture du mois de juin a été révisée quant à elle à 155.000, contre 150.000 auparavant. "Avec le ralentissement de la croissance des salaires, le marché du travail suit les efforts de la Fed pour ralentir l'inflation", a déclaré Nela Richardson, économiste en chef d'ADP. "Si l'inflation remonte, ce ne sera pas à cause du travail". Par secteur en juillet, la production de biens a généré 37.000 emplois aux USA et les services en ont créé 85.000. Les moyennes entreprises (+70.000 postes) et grandes entreprises (+62.000) ont créé de l'emploi, alors que les "petits établissements" de 1 à 49 employés ont détruit 7.000 postes en juillet.
L'indice du coût de l'emploi du deuxième trimestre a augmenté de 0,9% d'un trimestre sur l'autre contre +1% de consensus.
L'indice manufacturier régional PMI de Chicago du mois de juillet 2024 s'est affiché à 45,3, contre un consensus de place de 44 et une lecture de 47,4 un mois auparavant. Néanmoins, l'indicateur reste nettement inférieur à la barre des 50, en zone de contraction.
L'indice des promesses de ventes de logements aux États-Unis mesuré par la NAR pour le mois de juin s'est affiché en croissance de 4,8% d'un mois sur l'autre, contre +1,1% de consensus et -2,1% en mai.
Jeudi, les investisseurs suivront l'étude Challenger, Gray & Christmas relative aux annonces de licenciements, les inscriptions hebdomadaires au chômage pour la semaine close le 27 juillet, ainsi que les chiffres trimestriels de la productivité, les indices PMI et ISM manufacturiers ou les dépenses de construction. La semaine se terminera en beauté vendredi avec les commandes industrielles américaines et surtout le rapport mensuel sur la situation de l'emploi pour le mois de juillet (consensus 180.000 créations de postes non-agricoles pour 4,1% de taux de chômage).
Les valeurs
AMD (+4,3%). Alors que Wall Street tanguait la veille suite à une performance inférieure aux attentes de Microsoft dans le cloud, le concepteur de microprocesseurs et puces d'IA a quant à lui agréablement surpris par ses résultats trimestriels et perspectives. Nvidia (+12,8%), n'est pas en reste, tandis que Broadcom prend aussi 12%.
La forte demande en puces d'IA a dopé les comptes d'AMD, qui affiche par ailleurs de solides perspectives. Les revenus du troisième trimestre fiscal sont attendus à 6,7 millions de dollars, plus ou moins 300 millions de dollars, à comparer à un consensus de 6,6 milliards. Le groupe a relevé ses prévisions concernant les accélérateurs IA utilisés pour le développement de modèles d'intelligence artificielle. Lisa Su, directrice général d'AMD, a indiqué que le groupe devrait générer plus de 4,5 milliards de dollars de ventes avec ses produits MI300 dès cette année, alors que la guidance antérieure était de 4 milliards de dollars. Il était toutefois nécessaire qu'AMD rehausse cette prévision, dans la mesure où le consensus s'approchait déjà des 5 milliards de dollars.
Les prévisions solides reflètent l'effort du groupe pour accroître sa production alors que les approvisionnements restent limités. Su a aussi rassuré quelque peu concernant le caractère durable de la demande et le vaste potentiel de l'IA. Le chiffre d'affaires des puces MI300 a dépassé le milliard de dollars au deuxième trimestre et AMD, suivant l'exemple de Nvidia, s'est engagé à déployer de nouveaux processeurs d'IA une fois par an. Sur les segments PC et serveurs, le groupe constate aussi des signaux d'amélioration de la demande.
Pour le deuxième trimestre fiscal juste clos, le groupe AMD a réalisé des revenus en croissance de 9% à 5,84 milliards de dollars, contre 5,7 milliards de consensus, tandis que son bénéfice ajusté par action, à 69 cents, a lui aussi battu de peu le consensus (68 cents). Les ventes de l'activité centres de données ont totalisé 2,83 milliards de dollars sur la période, plus du double de l'an dernier.
Microsoft limite la casse en baisse de 1%. Alors que le géant software de Redmond a dépassé les attentes pour le trimestre clos en matière de revenus et de profits, les investisseurs se sont concentrés sur la déception des revenus cloud, s'inquiétant d'un éventuel ralentissement d'Azure. Alors que les valorisations boursières devenaient très exigeantes dans l'IA, cette légère faute a été durement sanctionnée. Les revenus d'Azure ont tout de même augmenté de 29% en glissement annuel pour le quatrième trimestre fiscal (+30% à devises constantes), contre 31% sur le trimestre antérieur. La part de l'IA dans cette croissance atteindrait désormais 8%, un peu plus que sur le précédent trimestre.
L'accélération propre à l'intelligence artificielle n'est donc pas forcément remise en cause, alors que les équipes de Satya Nadella ont oeuvré à intégrer les technologies IA d'OpenAI dans les produits du groupe dont l'assistant Copilot. Microsoft commerciale aussi des abonnements Azure offrant les produits d'OpenAI, startup vedette de l'IA dans laquelle le groupe a investi des milliards de dollars... Le CEO du groupe a notamment indiqué que le nombre de personnes utilisant Copilot au travail aurait doublé d'un trimestre sur l'autre.
Pour le trimestre clos fin juin 2024, Microsoft a réalisé des revenus de 64,7 milliards de dollars en augmentation de 15% en glissement annuel, à comparer à un consensus de 64,5 milliards. Le bénéfice ajusté par action s'est établi à 2,95$, un petit cent de mieux que le consensus. De plus, avec l'acquisition d'Activision Blizzard, l'activité jeux vidéo a affiché une croissance de plus de 60% de ses revenus de contenus et services. Au total, les revenus se sont appréciés de 16% à devises constantes pour le trimestre écoulé, alors que le bénéfice opérationnel a augmenté de 16% lui aussi à 27,9 milliards de dollars. Le bénéfice net, de 22 milliards de dollars, a grimpé de 10% en données publiées et de 11% à devises constantes. Le bénéfice dilué par action affiche une hausse similaire.
Starbucks (+2,6%) a affiché une performance sans relief sur le trimestre clos, mais le titre progressait tout de même de 3,6% après bourse à Wall Street. La chaîne de cafés a raté pourtant le consensus en termes de revenus au troisième trimestre, avec un repli de 1% de l'activité à 9,1 milliards de dollars, à comparer à un consensus de 9,2 milliards. Les ventes à comparable dans le monde ont baissé pour le deuxième trimestre consécutif, en retrait de 3%, tandis que le trafic a chuté de 5%. Aux Etats-Unis, les ventes à comparable ont baissé de 2% et le trafic a reculé de 6%. Le bénéfice ajusté par action, de 93 cents, a tout de même dépassé de peu le consensus. Laxman Narasimhan, directeur général du groupe, a évoqué un environnement complexe de consommation, mais se dit confiance dans le potentiel de long terme de Starbucks à travers le monde. Pour l'exercice, le groupe envisage à comparable des ventes stables ou en baisse à un chiffre bas.
Mondelez (+1,9%) a raté le consensus en termes de ventes pour le trimestre clos, sur fond de faiblesse de la demande. Le groupe alimentaire américain a vu ses volumes régresser de 2,2%, alors que ses prix ont augmenté de 4,7%. Les revenus totaux ont été de 8,34 milliards de dollars sur ce trimestre clos fin juin, alors que le consensus était de 8,4 milliards. Le bénéfice ajusté par action a représenté 86 cents, quant à lui largement supérieur aux attentes. Le bénéfice net a dépassé les 600 millions de dollars. La maison-mère de Cadbury met en place de nouvelles promotions ciblées en Amérique du Nord. Le groupe aux marques Oreo ou Ritz maintient par ailleurs ses prévisions annuelles de croissance organique et de profits.
Electronic Arts (+1,2%) a délivré un début d'année fiscale 2025 mitigé, mais les marchés misent sur une recovery. Le net bookings sur le trimestre clos a représenté 1,26 milliard de dollars, au-dessus du haut de fourchette des anticipations du groupe, avec Madden NFL 24, FC Online et FC Mobile. Il reste un peu court en comparaison du consensus, mais les perspectives sont plus réjouissantes. Les revenus ont totalisé 1,66 milliard de dollars, alors que le cash flow des activités opérationnelles a représenté 120 millions de dollars. Le bénéfice net s'est tassé à 280 millions de dollars contre 402 millions un an avant, tandis que le bénéfice dilué par action a reculé à 1,04$. Le bpa ajusté, de 52 cents, a dépassé les attentes de marché.
Après la fin du trimestre, EA Sports College Football 25 a accueilli 5 millions de joueurs uniques pour sa première semaine et plus de 500.000 autres joueurs via l'essai EA Play. Une performance notable qui laisse espérer une reprise. EA table pour son deuxième trimestre fiscal sur un net bookings allant de 1,95 à 2,05 milliards de dollars, au-dessus des anticipations.
Pinterest décroche de 14,4%, alors que les prévisions du groupe pour son troisième trimestre ont déçu. Sur la période, le groupe envisage des revenus allant de 885 à 900 millions de dollars, à comparer à un consensus de 908 millions. Pour le deuxième trimestre fiscal, le bénéfice ajusté par action a légèrement dépassé le consensus à 29 cents, tandis que les revenus, de 854 millions de dollars, ont été également meilleurs que prévu. Le groupe de San Francisco a dégagé un bénéfice trimestriel de près de 9 millions de dollars, soit un bénéfice par action symbolique d'un cent. Le moteur de découverte visuelle n'a donc pas démérité sur le trimestre clos, mais demeure prudent en termes de prévisions.
Match, la maison-mère de Tinder, bondit de 13,2%, alors que le groupe a publié pour son deuxième trimestre fiscal un bénéfice de 133 millions de dollars soit 48 cents par titre, en ligne avec les attentes, pour des revenus de 864 millions de dollars (+4%) quant à eux meilleurs que prévu. Le groupe entend par ailleurs supprimer environ 6% de ses effectifs tout en séparant ses activité de live-streaming des applications de rencontre. Le nombre d'utilisateurs payants de Tinder a reculé de 8% à 9,6 millions, après une chute de 9% sur le précédent trimestre. Les investisseurs activistes Elliott Investment Management et Anson Funds Management ont poussé cette année pour obtenir des changements chez Match, ce qui semble se produire compte tenu des coupes annoncées. Match anticipe, pour son troisième trimestre, des revenus allant de 895 à 905 millions, légèrement inférieurs aux attentes.
DuPont (+4%), le concepteur américain de matériaux industriels, a rehaussé ses prévisions financières ce mercredi avec la demande en produits servant les marchés de l'IA. Le groupe, qui doit scinder en mai ses segments électronique et eau, prévoit de finaliser ce processus sous 18 à 24 mois. DuPont envisage désormais un bénéfice ajusté par action 2024 allant de 3,70 à 3,80$, contre une fourchette antérieure allant de 3,45 à 3,75$. Les revenus sont anticipés entre 12,4 et 12,5 milliards de dollars, soit ici encore une révision à la hausse. L'Ebitda opérationnel est attendu entre 3,06 et 3,11 milliards de dollars. Pour le trimestre clos, le groupe de Wilmington a affiché un bénéfice ajusté par action de 97 cents, contre 85 cents de consensus. Les revenus ont progressé de 2% à 3,2 milliards de dollars.
Marriott (-4,8%), le groupe hôtelier américain, a réduit ses estimations de revenu par chambre disponible (RevPAR), tablant désormais sur une croissance de 3 à 4% cette année, contre une croissance de 3 à 5% prévue précédemment. Les voyages intérieurs aux États-Unis sont faibles depuis le début de l'année, alors que le groupe est aussi affecté par un environnement plus faible en Grande Chine. Sur le trimestre clos fin juin, les revenus totaux ont été de 6,4 milliards de dollars, en augmentation de 6%, alors que le bénéfice net a été de 772 millions de dollars ou 2,69$ par action. Le bénéfice ajusté par action a représenté 2,5$, très légèrement au-dessus du consensus. Les revenus sont en revanche moins solides que prévu. Sur le trimestre entamé, le bpa est attendu entre 2,27 et 2,33$. Pour l'exercice, il est anticipé entre 9,23 et 9,40$.
Boeing (+2%) a dévoilé une lourde perte trimestrielle, plombé par sa branche Défense, Espace et Sécurité et une moindre production d'appareils dans sa division 'aviation commerciale' avec la crise du 737 MAX. Sur les trois mois clos fin juin, la firme essuie ainsi une perte nette de 1,44 milliard de dollars (-149 M$ un an plus tôt) pour des revenus de 16,87 Mds$ (-15%). Boeing a brûlé 4,33 Mds$ de cash sur la période, en ligne avec les attentes du marché, tandis que la perte ajustée par action atteint 2,90$. "Malgré un trimestre difficile, nous réalisons des progrès substantiels dans le renforcement de notre système de gestion de la qualité et le positionnement de notre entreprise pour l'avenir", déclare le DG sortant, Dave Calhoun.
Le groupe a livré 92 appareils sur la période contre 136 un an plus tôt. Il espère toujours produire 38 B737 par mois d'ici la fin de l'année ainsi que 5 B787... Le géant américain a par ailleurs nommé Robert K."Kelly" Ortberg au poste de PDG de la société, à compter du 8 août prochain. M. Ortberg siégera également au Conseil d'administration de Boeing. Il succédera à Dave Calhoun, qui a annoncé plus tôt cette année son intention de quitter la barre, après avoir occupé le poste de PDG depuis janvier 2020 et siégé au Conseil d'administration depuis 2009.
Mastercard (+3,6%) a publié pour son deuxième trimestre 2024 un bénéfice net de 3,3 milliards de dollars et un bénéfice dilué par action de 3,50$. Le bénéfice ajusté par action a été de 3,59$. Les revenus ont atteint quant à eux environ 7 milliards de dollars, en augmentation de 11% en glissement annuel et 13% à devises constantes. Le consensus était de 3,51$ de bénéfice ajusté par action pour 6,85 milliards de dollars de revenus. Le volume brut en dollars du deuxième trimestre a progressé de 9% et le volume d'achat de 10% à devises locales. Un an avant, le groupe avait réalisé des revenus de 6,3 milliards de dollars et un bénéfice net de 2,8 milliards de dollars.
Intel (+2%) envisagerait selon Bloomberg des réductions majeures d'effectifs, afin de réduire ses coûts et d'alimenter son redressement. Les mesures pourraient être annoncées dès cette semaine, alors que le groupe sort d'une période de recul des résultats et de pertes de parts de marché. Intel emploie actuellement 110.000 personnes environ, hors effectifs d'unités dont les scissions sont attendues. Bloomberg évoque les suppressions de milliers d'emplois, citant des sources familières de la situation. Intel pourrait profiter de l'annonce de ses résultats trimestriels cette semaine pour faire état de ses plans. Bloomberg rappelle que le groupe de Pat Gelsinger est embarqué dans un effort ambitieux pour regagner des parts de marché, et dépense lourdement en recherche, développement et nouvelles usines. Intel publiera jeudi soir ses comptes du deuxième trimestre.
Paramount (+0,7%). Apex Capital Trust a soumis une offre concurrente de 43 milliards de dollars en cash pour l'acquisition de Paramount. Apex, holding qui investit dans le domaine de la finance, propose de racheter tous les titres de National Amusements, qui possède une part de contrôle au capital de Paramount. L'offre est libellée par ailleurs à 35$ par titre de classe A, soit une prime de 33%. Apex assumerait aussi la dette de 15,8 milliards de dollars de Paramount et payerait une commission d'annulation de 400 millions de dollars à Skydance. Apex envisagerait enfin d'injecter 10 milliards de dollars pour que Paramount mène à bien son plan d'activité.
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