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Wall Street incertain, après de trop bons chiffres de l'emploi

| Boursier | 559 | Aucun vote sur cette news

Wall Street hésite ce jeudi, malgré les espoirs de vote rapide de l'accord sur le plafond de la dette aux États-Unis et les derniers commentaires de...

Wall Street incertain, après de trop bons chiffres de l'emploi
Credits Reuters

Wall Street hésite ce jeudi, malgré les espoirs de vote rapide de l'accord sur le plafond de la dette aux États-Unis et les derniers commentaires de responsables de la Fed faisant allusion à une potentielle pause. Les opérateurs se concentrent en effet sur les très (trop) bons chiffres de l'emploi américain, qui ne laissent pas de grande marge de manoeuvre à la banque centrale américaine. Par ailleurs, plusieurs avertissements devraient peser ce jour sur le secteur de la distribution... Le S&P 500 avance timidement de 0,44% à 4.198 pts, alors que le Dow Jones grappille 0,08% à 32.928 pts et que le Nasdaq s'adjuge 0,58% à 13.010 pts. Sur le Nymex, le baril de brut WTI avance de 1,2% à 69$. L'once d'or grimpe de 0,6% à 1.993$. L'indice dollar cède 0,4% face à un panier de devises de référence.

Selon le dernier rapport d'ADP, les créations d'emplois privés aux États-Unis pour le mois de mai 2023 sont ressorties au nombre de 278.000, contre 163.000 de consensus FactSet et 291.000 pour la lecture révisée (en baisse) du mois antérieur. "C'est le deuxième mois que nous constatons une baisse complète d'un point de pourcentage de la croissance des salaires des personnes qui changent d'emploi. La croissance des salaires ralentit considérablement et l'inflation induite par les salaires pourrait être moins préoccupante pour l'économie malgré la vigueur des embauches", a relevé tout de même Nela Richardson, cheffe économiste d'ADP.

Pour le mois de mai, les entreprises de 1 à 19 employés ont créé 116.000 postes, les firmes de 20 à 49 salariés ont généré 119.000 emplois, et les entreprises de 50 à 249 employés ont créé 112.000 postes. Les entreprises de 500 employés et plus, en revanche, ont détruit 106.000 postes.

Le rapport Challenger, dévoilé un peu plus tôt ce jour, a fait ressortir les annonces de 80.089 suppressions de postes au mois de mai contre 66.995 un mois avant.

Les inscriptions au chômage ont légèrement progressé la semaine passée aux Etats-Unis. Le Département américain au Travail vient en effet d'annoncer, pour la semaine close au 27 mai, des inscriptions au chômage au nombre de 232.000, en hausse de 2.000 par rapport à la semaine antérieure. Le consensus était positionné à 235.000. La moyenne à quatre semaines s'établit à 229.500, en repli de 2.500. Enfin, le nombre de chômeurs indemnisés sur la semaine close le 20 mai ressort à 1,795 million, en hausse de 6.000 sur sept jours (1,800 million de consensus).

La productivité non-agricole américaine au premier trimestre 2023, en lecture révisée, a reculé de 2,1% en rythme annuel selon le rapport du jour, contre -2,5% de consensus FactSet et -2,7% pour la lecture antérieure. Les coûts unitaires du travail ont augmenté quant à eux sur un rythme de 4,2% sur la même période, contre 6,3% de consensus et 6,3% pour l'évaluation antérieure.

L'indice Markit PMI manufacturier américain final du mois de mai 2023 s'est établi à 48,4, contre un consensus de place de 48,5 mesuré par FactSet et une lecture préliminaire de 48,5 également. Il traduit donc une contraction de l'industrie manufacturière nationale américaine au mois de mai.

L'indice ISM manufacturier américain du mois de mai 2023 s'est établi à 46,9, contre 47 de consensus Factset et 47,1 un mois plus tôt. L'indice des commandes nouvelles en mai est ressorti quant à lui à 42,6, contre 45,7 en avril.

D'après le rapport du jour, les dépenses de construction aux USA pour le mois d'avril 2023 se sont affichées en forte hausse de 1,2% en comparaison du mois antérieur, contre +0,1% de consensus de place. La progression sur un an atteint 7,2%.

Le Sénat américain doit adopter un projet de loi visant à lever le plafond de la dette du gouvernement, actuellement de 31.400 milliards de dollars. Il reste seulement quatre jours pour adopter la mesure et l'envoyer au président démocrate Joe Biden pour signature, évitant ainsi un défaut potentiellement catastrophique. Les leaders démocrate et républicain ont promis de faire tout leur possible pour accélérer le projet de loi négocié par Biden et le président républicain de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, qui suspendrait le plafond de la dette jusqu'au 1er janvier 2025 en échange d'un plafond sur les dépenses. Il reste à savoir si des membres de leurs caucus respectifs, en particulier les républicains extrémistes mécontents que le projet de loi n'inclue pas de réductions de dépenses plus importantes, tenteraient de ralentir son adoption.

Ailleurs dans le monde, l'indice Markit / Caixin PMI manufacturier chinois du mois de mai a battu le consensus à 50,9, contre 49,4 attendu.

En Europe, les ventes allemandes de détail au mois d'avril ont raté de peu le consensus. Concernant les indices Markit PMI manufacturiers du mois de mai, les indicateurs finaux de l'Espagne et de l'Italie sont en contraction et proches des attentes, comme ceux de la France et de l'Allemagne. L'indice européen s'établit à 44,8, contre 44,6 de consensus. L'indice signale ainsi une nouvelle contraction de l'activité dans le secteur et s'affiche au plus bas depuis 36 mois. La production et les nouvelles commandes ont enregistré leur plus fort recul depuis six mois, entraînant la première baisse des prix de ventes depuis 2020.

L'inflation recule dans la zone euro. Le taux d'inflation annuel dans la région est estimé à 6,1% en mai, contre 7,0% en avril, selon Eurostat, l'office statistique de l'Union européenne. L'inflation annuelle n'avait plus été aussi basse depuis près d'un an. S'agissant des principales composantes de l'inflation, l'alimentation, alcool & tabac devrait connaître le taux annuel le plus élevé en mai (12,5%, comparé à 13,5% en avril), suivi des biens industriels hors énergie (5,8%, comparé à 6,2% en avril), des services (5,0%, comparé à 5,2% en avril) et de l'énergie (-1,7%, comparé à 2,4% en avril). En séquentiel, la progression des prix serait nulle.

L'inflation annuelle 'core' ressortirait à 5,3%, après +5,6% en avril, et contre 5,5% de consensus.

Les valeurs

Salesforce (-4%), l'éditeur software californien connu pour ses solutions CRM, décroche à Wall Street, après un bond de 66% depuis le début de l'année. Salesforce a livré une guidance matérialisant un ralentissement de croissance des ventes, le groupe privilégiant la rentabilité. Pour le premier trimestre fiscal clos fin avril, Salesforce a affiché des revenus de 8,25 milliards de dollars, en croissance de 11% en glissement annuel, contre 8,2 milliards de dollars de consensus. Le bénéfice trimestriel ajusté par action a été de 1,69$, contre 1,61$ de consensus. La marge opérationnelle a été de 27,6%.

Pour le trimestre entamé, clos en juillet, Salesforce se montre prudent et table sur une croissance de l'activité de 10% à 8,52 milliards de dollars environ, ce qui ressort en ligne avec les attentes du consensus, mais montre un léger ralentissement. Il n'en fallait pas plus pour provoquer des prises de bénéfices à Wall Street, après la très belle performance boursière des derniers mois. Le management souligne pourtant que Salesforce accélère sa transformation et sa stratégie de croissance rentable. La société se concentre sur les mesures de productivité des employés, y compris les règles de retour au bureau. La directrice financière Amy Weaver a déclaré que Salesforce compensait la dilution de la rémunération à base d'actions par des rachats d'actions. Salesforce a intégré par ailleurs des fonctionnalités d'IA dans ses programmes de ventes, marketing et de communication sur le lieu de travail. Il a également lancé un fonds de capital-risque de 250 millions de dollars pour les startups d'IA générative. Quoi qu'il en soit, la société a confirmé ses prévisions pour l'exercice, selon lesquelles les revenus augmenteraient de 10% pour atteindre environ 34,6 milliards de dollars.

C3.ai (-15%), le groupe technologique américain spécialiste de l'intelligence artificielle, dont le ticker "AI" avait eu le don d'attirer les foules cette année avec gain boursier de plus de 260%, retombe suite à sa publication trimestrielle. Le dossier capitalise actuellement environ 4 milliards de dollars. C3.ai a affiché une guidance de revenus 2024 inférieure aux attentes de marché hier soir, alors que pour le quatrième trimestre fiscal juste clos, le groupe a réalisé des ventes de 72,4 millions de dollars à comparer à un consensus de 71 millions. La perte ajustée trimestrielle par action a été de 13 cents, contre -17 cents de consensus. En glissement annuel, l'activité est relativement stable. Le free cash flow trimestriel est tout de même positif de 16,3 millions de dollars.

Les revenus totaux sur l'exercice clos ont augmenté de 5,6% à 267 millions de dollars. Les revenus d'abonnements, à 230 millions de dollars soit 86% du total, ont grimpé de 11,4%. La perte ajustée annuelle par action a été de 42 cents. Le groupe estime être en bonne voie dans le cadre de ses plans de rentabilité, avec l'objectif de parvenir à une activité rentable en non-GAAP d'ici la fin de l'exercice 2024. Pour l'exercice 2024 dans son ensemble, le groupe table sur des revenus totaux allant de 295 à 320 millions de dollars, ce qui ressort inférieur aux attentes.

Okta (-22%), l'éditeur américain de logiciels de gestion des identités et accès, dévisse à Wall Street. Okta a pourtant battu hier soir le consensus de profits et de revenus pour son premier trimestre, affichant sur la période un bénéfice ajusté de 22 cents par titre à comparer à une perte de 27 cents un an plus tôt. Les revenus ont été de 518 millions de dollars sur la période, dépassant les attentes de 1%, et se comparant à un niveau de 415 millions de dollars un an avant. La correction s'explique donc surtout par les craintes macroéconomiques, malgré une guidance robuste du groupe. Pour le deuxième trimestre fiscal 2024, le groupe anticipe des revenus allant de 533 à 535 millions, en croissance de 18%, un bénéfice opérationnel ajusté de 36 à 38 millions, et un bpa ajusté dilué allant de 21 à 22 cents. Le consensus était de 17 cents de bpa ajusté et 528 millions de dollars de revenus... Sur l'exercice, les revenus sont espérés entre 2,175 et 2,185 milliard de dollars, en hausse de 17-18%, pour un profit opérationnel ajusté de 161-170 millions.

CrowdStrike (-2%), un leader de la protection cloud des endpoint, des workloads, de l'identité et des données, a annoncé hier soir, après la clôture de Wall Street, des revenus supérieurs aux attentes et une guidance robuste pour le reste de l'année. CrowdStrike dit tabler sur des revenus de l'exercice allant de 3 à 3,04 milliards de dollars, en ligne avec les anticipations de marché. Les revenus du deuxième trimestre sont attendus entre 717,2 et 727,4 millions, soit une guidance supérieure au consensus en milieu de fourchette. Pour le premier trimestre fiscal 2024 juste clos, le groupe a réalisé des revenus de 693 millions de dollars en augmentation de 42%, comprenant des revenus d'abonnements de 651 millions.

Veeva Systems (+16%), le groupe software américain qui fournit des solutions dans le cloud à l'industrie pharmaceutique, a une fois encore dépassé les attentes de marché pour son premier trimestre fiscal. Les revenus trimestriels ont été de 526 millions de dollars, en croissance de 4%, alors que les revenus d'abonnements ont été de 415 millions, en hausse de 3%. Le bénéfice ajusté a représenté 148 millions de dollars, soit un repli de 7% en glissement annuel. Le bpa ajusté a été de 91 cents, contre 99 cents par titre un an auparavant. Le consensus était de 79 cents de bpa ajusté pour 516 millions de dollars de revenus.

NetApp (+8%), le groupe californien actif dans les services cloud, a publié pour son quatrième trimestre fiscal un bénéfice ajusté par action de 1,54$, à comparer à un consensus de 1,35$ et un niveau de 1,42$ un an avant. Les revenus ont totalisé 1,58 milliard de dollars, dépassant de près de 2% les attentes de marché, à comparer aux recettes de 1,68 milliard de dollars réalisées sur la période correspondante, l'an dernier. Les revenus sur l'exercice totalisent 6,36 milliards de dollars. Les prévisions financières dépassent également les attentes. Sur l'exercice 2024 entamé, les revenus sont attendus en retrait de 1-5%, pour une marge opérationnelle ajustée d'environ 25% et un bénéfice ajusté par action logé entre 5,65 et 5,85$ - à comparer à un consensus de 5,57$.

Chewy (+22%), détaillant américain en ligne actif dans les aliments et produits pour animaux de compagnie, s'enflamme à Wall Street. Le groupe a dépassé les attentes de marché pour le premier trimestre fiscal. Le bénéfice ajusté par action est ressorti positif de 20 cents, contre -4 cents de consensus et +4 cents un an auparavant. Les revenus ont totalisé 2,78 milliards de dollars sur ce trimestre clos en avril 2023, 2% de mieux que le consensus, alors qu'ils se situaient à 2,43 milliards un an avant. Ainsi, le groupe a réalisé une croissance de 14,7% en glissement annuel, pour une marge brute améliorée encore de 90 points de base à 28,4% et un bénéfice net de 22 millions de dollars - comprenant des dépenses de compensations en actions de 54 millions. La marge d'Ebitda ajusté a augmenté de 150 points de base à 4%.

PVH (-8%), ex-Phillips-Van Heusen, groupe américain de mode aux marques Calvin Klein, Van Heusen et Tommy Hilfiger, fléchit à Wall Street. Pour son premier trimestre fiscal, le groupe a fait état de revenus de 2,16 milliards de dollars, en croissance de 2% en glissement annuel et de 5% à devises constantes, alors que la guidance était d'une "relative stabilité" en données consolidées et d'une progression de 3% environ à changes constants. Le bénéfice trimestriel par action a été de 2,14$, contre une guidance de 1,90$. Pour l'exercice 2023, PVH anticipe des revenus en augmentation de 3 à 4% (2-3% à devises constantes), une marge opérationnelle voisine de 10% et un bpa d'environ 10$.

Dollar General (-20%), le détaillant discount américain, plonge à Wall Street, alors que le groupe vient de réduire sa guidance annuelle dans un contexte de prudence des consommateurs. La chaîne de magasins discount s'attend à ce que les ventes à magasins comparables de l'exercice 2023 augmentent de l'ordre de 1% à 2%, par rapport à ses prévisions antérieures d'une augmentation de 3% à 3,5%. Les analystes s'attendaient en moyenne à une hausse de 3,8%. DG table sur un bénéfice par action stable ou en baisse jusqu'à 8%, alors qu'il anticipait précédemment une croissance de ce bpa de 4% à 6%. Les ventes nettes devraient croître de 3,5 à 5%, alors que la firme envisageait auparavant une croissance de 5,5 à 6%.

Macy's trébuche de 3% à Wall Street, la chaîne américaine de magasins ayant publié un avertissement sur ses bénéfices trimestriels. Le groupe table désormais sur un bénéfice annuel ajusté par action de 2,7 à 3,2$, alors qu'il prévoyait auparavant un bpa ajusté allant de 3,67 à 4,11$. Les revenus sont désormais attendus entre 22,8 et 23,2 milliards, contre une guidance antérieure allant de 23,7 à 24,2 milliards de dollars. Pour le premier trimestre juste clos, le groupe a affiché un bénéfice dilué par action de 56 cents, un bpa ajusté comparable et des ventes de 5 milliards de dollars en retrait de 7% en glissement annuel. Le bénéfice net a été de 155 millions de dollars, contre 286 millions un an avant.

Hormel Foods (+6%), le groupe alimentaire américain connu pour ses viandes précuites, grimpe à Wall Street après les résultats trimestriels. Pour son deuxième trimestre fiscal 2023, le groupe a affiché des revenus de 3 milliards de dollars, un bénéfice opérationnel de 296 millions de dollars, un bpa dilué de 40 cents et un cash flow des opérations de 208 millions. Le groupe aux marques Planters, Skippy ou Spam, qui évoquait auparavant les pressions inflationnistes, a affiché un bénéfice net trimestriel de 217 millions de dollars contre 262 millions un an avant. Le consensus était de 40 cents de bpa et 3,05 milliards de revenus. La firme réaffirme ses prévisions de ventes et de bénéfices précédemment communiquées pour l'ensemble de l'année.

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