Votre navigateur (${ userBrowser.name + ' ' + userBrowser.version }) est obsolète. Pour améliorer la sécurité et la navigation sur notre site, prenez le temps de mettre à jour votre navigateur.      
7 932.61 PTS
-1.4 %
7 961.00
-1.06 %
SBF 120 PTS
5 998.72
-1.39 %
DAX PTS
17 766.23
-1.44 %
Dow Jones PTS
37 798.97
+0.17 %
17 713.66
+0.04 %
1.062
-0.05 %

Wall Street grimpe, après les chiffres de l'inflation

| Boursier | 385 | Aucun vote sur cette news

Wall Street progresse désormais légèrement avant bourse ce mercredi, suite aux chiffres de l'inflation US...

Wall Street grimpe, après les chiffres de l'inflation
Credits Reuters

Wall Street progresse désormais légèrement avant bourse ce mercredi, suite aux chiffres de l'inflation US. Le S&P 500 gagne 0,4%, le Dow Jones 0,2% et le Nasdaq 0,4%. Sur le Nymex, le baril de brut WTI se stabilise à 73,7$. L'once d'or prend 0,5% à 2.053$. L'indice dollar cède 0,2% face à un panier de devises.

Les chiffres de l'inflation américaine pour le mois d'avril, fébrilement attendus, n'ont pas vraiment surpris ce jour. Ainsi, l'indice des prix à la consommation s'est affiché comme anticipé en hausse de 0,4% en comparaison du mois antérieur et de 4,9% sur un an (contre respectivement 0,4% et 5% de consensus FactSet). Hors alimentation et énergie, l'indice des prix a grimpé de 0,4% par rapport au mois antérieur et de 5,5% en glissement annuel, contre des consensus FactSet de 0,4% et 5,4%. Le salaire horaire moyen a progressé de 0,5% d'un mois sur l'autre et de 4,4% sur un an.

A l'Economic Club de New York hier soir, le président de la Fed de New York, John Williams (membre votant) a discuté des défis visant à ramener l'inflation américaine vers l'objectif de 2%, suggérant que cela pourrait prendre... deux ans de plus en raison des longs effets à retardement de politique monétaire. Il a également souligné que la Fed n'avait pas dit qu'elle en avait fini avec les hausses de taux et se tenait prête à augmenter à nouveau ces derniers si nécessaire, bien qu'un resserrement du crédit puisse émousser le niveau final des taux en faisant le travail à la place de la Fed. Williams a ajouté qu'il ne voyait aucune raison de réduire les taux cette année.

Le responsable a également déclaré qu'une récession ne faisait pas partie de son scénario de base. Rien de surprenant en fait, ces commentaires restant dans la droite ligne de la position du président Jerome Powell sur la flexibilité et la dépendance aux données. Comme Powell, Williams tempère les anticipations du marché, qui va un peu vite en tablant sur des baisses de taux au second semestre.

Le gouverneur de la Fed Philip Jefferson (votant) a également pris la parole à Atlanta hier, affirmant que l'économie ralentissait de manière ordonnée et que des normes de crédit plus strictes étaient typiques à ce stade du cycle économique. Jefferson a livré des commentaires optimistes concernant le système bancaire américain, suite à la résurgence récente du 'stress bancaire' dans le sillage de l'effondrement de First Republic, dont les actifs seront repris par JP Morgan.

Jefferson ne s'alarme pas et estime au contraire que "le système bancaire est sain et résilient". Le gouverneur de la Fed admet que la disponibilité de crédit s'est contractée, alors que les banques ont resserré leurs standards de prêt, mais il ajoute qu'il s'agit "d'une partie naturelle" de la transmission de la politique monétaire. Jefferson dit espérer toujours une poursuite de la croissance économique. Il indique que l'économie américaine "ralentit de manière ordonnée", ce qui devrait permettre, selon lui, un déclin de l'inflation tout en poursuivant la croissance de l'activité.

Les leaders du TBAC (Treasury Borrowing Advisory Committee), comité consultatif externe qui conseille le Département américain au Trésor depuis 1998 sur ses emprunts, ont adressé une lettre à la Secrétaire au Trésor Janet Yellen à propos des coûts de l'impasse actuelle sur le relèvement du plafond de la dette américaine. L'impact de court terme des négociations prolongées est coûteux, selon ces leaders, comprenant des dirigeants anciens ou actuels de grandes banques telles que Goldman Sachs ou JP Morgan, mais "l'ampleur des conséquences adverses d'une négociation prolongée ou d'un défaut est inquantifiable" et les implications de long terme d'un défaut sont "inimaginables", a averti le groupe de 17 membres présidé par Beth Hammack, co-dirigeant du financement mondial chez Goldman Sachs. Hammack ajoute qu'il y a "un risque réel" pour le dollar.

Le groupe a plaidé pour que le plafond de la dette soit relevé "avec toute hâte" et pour une solution permanente au problème. "Il est temps d'introduire une méthode alternative pour faire respecter la responsabilité budgétaire, soit en exigeant que les limites soient relevées simultanément avec les crédits, soit en abrogeant complètement la limite de la dette", a même indiqué le groupe.

Les investisseurs surveillent de près Washington, où le président Biden a accueilli le président de la Chambre Kevin McCarthy et d'autres dirigeants du Congrès à la Maison Blanche mardi dans le but de résoudre l'impasse actuelle sur le plafond de la dette et d'éviter un défaut technique potentiellement catastrophique. Biden et les républicains du Congrès ont eu ainsi des entretiens mardi visant à éviter le 'défaut'. Il y aurait eu comme attendu peu de progrès tangibles sur le relèvement du plafond de la dette, les parties ayant pour objectif de se réunir à nouveau vendredi. Alors que Biden et les dirigeants du Congrès ont convenu d'entamer des négociations sur le budget fédéral, il n'y a eu aucune concession de part et d'autre, Biden refusant de négocier sur le plafond de la dette et le président de la Chambre McCarthy critiquant Biden pour ne pas avoir articulé les réductions de dépenses qu'il envisagerait.

Biden a évoqué l'option d'invoquer le 14e amendement pour émettre unilatéralement plus de dette, mais ne l'a pas considérée comme une solution compte tenu des implications légales.

Alors que les analystes s'attendent à ce que le problème du plafond de la dette soit finalement résolu ou au moins repoussé à la fin de l'été ou au début de l'automne, les marchés évaluent de plus en plus le risque de défaut vers le début du mois de juin et le coût des CDS a grimpé en flèche ces dernières semaines.

La saison des résultats touche à sa fin à Wall Street, près de 90% des entreprises du S&P 500 ayant publié leurs rapports trimestriels. Selon les données FactSet, les résultats des entreprises de l'indice large américain s'avèrent finalement meilleurs qu'attendu. 79% ont dépassé les attentes du consensus en matière de bénéfice par action, au-dessus de la moyenne sur un an de 73% et de la moyenne sur cinq ans de 77%. Dans l'ensemble, les entreprises ont déclaré des bénéfices supérieurs de 7% aux attentes, mieux que le taux de 'surprise' moyen sur un an de 2,8%, mais moins que la moyenne sur cinq ans de 8,4%. Les prévisions fournies par les sociétés constituent un autre point positif, Bank of America relevant qu'il y a eu 40% de plus de 'guidances' au-dessus des attentes que de prévisions en dessous du consensus cette saison.

Les valeurs

Occidental Petroleum, le producteur américain de pétrole et de gaz dans lequel Berkshire Hathaway, firme de Warren Buffett, a lourdement investi, a raté le consensus sur le trimestre clos. Le groupe a rapporté hier soir une chute de près de moitié de son bénéfice du premier trimestre, avec le recul des cours du brut. Le bénéfice ajusté par action a été de 1,09$ contre 1,24$ de consensus. Les ventes ont totalisé 7,23 milliards de dollars pour le trimestre clos, contre 7,37 milliards de consensus de place. Le bénéfice avant imposition des activités pétrole et gaz a été de 1,6 milliard de dollars, alors qu'il était attendu à 1,75 milliard. Le bénéfice ajusté a corrigé de 48% à 1,1 milliard de dollars. La production quotidienne de pétrole et gaz au premier trimestre a pourtant grimpé à 1,22 million de barils, contre 1,08 million un an plus tôt. Rappelons que Berkshire détient 24% du capital.

Airbnb abandonnait 12% après bourse à Wall Street hier soir. Le groupe a pourtant battu facilement le consensus de profit au premier trimestre, mais les prévisions sont ressorties inférieures aux anticipations de marché. Le titre avait repris 50% depuis le début de l'année, laissant peu de place à l'erreur. Pour son premier trimestre, Airbnb a dégagé un bénéfice ajusté par action de 18 cents, contre 10 cents de consensus et 3 cents de perte par action un an plus tôt. Les revenus ont été de 1,82 milliard de dollars, 2% de mieux que le consensus, contre 1,51 milliard sur le premier trimestre 2022. Ainsi, les revenus progressent de 20% et atteignent un record pour la période. L'Ebitda ajusté ressort à 262 millions, également record et supérieur aux attentes.

Les prévisions pour le deuxième trimestre sont plus prudentes, le groupe de San Francisco anticipant des revenus allant de 2,35 à 2,45 milliards de dollars, en croissance de 12 à 16%, contre 2,4 milliards de consensus. L'Ebitda ajusté est attendu comparable à celui du deuxième trimestre de l'an dernier. Alors que le phénomène de ruée vers les voyages post-covid s'essouffle et que les conditions économiques se durcissent dans un contexte d'inflation persistante, le groupe prévoit donc un ralentissement de croissance.

Electronic Arts gagnait du terrain après bourse à Wall Street hier soir, suite à sa publication du quatrième trimestre fiscal et de l'exercice décalé 2023. Pour le quatrième trimestre, l'éditeur californien de jeux vidéo a affiché un niveau de net bookings de 1,95 milliard de dollars, en augmentation de 11% en glissement annuel et de 15% à devises constantes. La franchise EA Sports FIFA a affiché 31% de croissance. Au cours des six mois qui ont suivi son lancement, EA Sports FIFA 23 a dépassé les ventes totales d'EA Sports FIFA 22 sur sa vie commerciale, devenant ainsi le lancement le plus réussi de l'histoire de la franchise. Apex Legends a enregistré une croissance nette des réservations au quatrième trimestre d'une année sur l'autre à taux de change constant, grâce à une saison 16 réussie avec un pic d'utilisateurs actifs hebdomadaires en hausse de plus de 20% par rapport à la saison précédente. À ce jour, le réseau de joueurs Sims 4 compte plus de 70 millions de joueurs dans le monde... Les revenus d'EA ont été de 1,87 milliard sur le trimestre et 7,43 milliards sur l'exercice. Le bpa ajusté a été de 1,78$ sur le trimestre contre 1,34$ de consensus. Les revenus battent aussi le consensus.

Pour l'exercice 2024 qui se terminera fin mars 2024, EA anticipe des revenus GAAP allant de 7,3 à 7,7 milliards de dollars, un bénéfice net allant de 915 millions à 1,055 milliard de dollars, et un bpa dilué de 3,3 à 3,81$. Le cash flow opérationnel est attendu entre 1,7 et 1,85 milliard. Le net bookings est estimé entre 7,3 et 7,7 milliards. Sur le trimestre clos fin juin, EA vise un bpa ajusté de 95 cents et un net bookings de 1,55 milliard, sur la base des milieux de fourchettes des guidances. Le consensus FactSet était de 89 cents de bpa ajusté et 1,56 milliard de dollars de net bookings.

Rivian. Le groupe californien n'a pas démérité, réduisant ses pertes financières au premier trimestre fiscal et dépassant le consensus de revenus. Rivian a aussi réaffirmé ses estimations en termes de production. Hier soir, le groupe a ainsi dévoilé une perte ajustée par action de 1,25$ et des revenus de 661 millions de dollars, alors que Wall Street tablait sur un déficit proche de 1,6$ par titre et des ventes de 652 millions de dollars. Les revenus ont décliné séquentiellement, mais ils ont été multipliés par plus de six en glissement annuel. Rivian a aussi confirmé sa guidance annuelle de production de 50.000 unités. Le groupe prévoit une perte annuelle d'Ebitda ajusté de 4,3 milliards, contre 5,2 milliards un an avant. A la fin du trimestre clos, le groupe disposait de 11,24 milliards de dollars de cash et équivalents.

Li Auto, le constructeur chinois de véhicules électriques, coté à Wall Street, bondit en pré-séance après sa publication. Le groupe, qui prévoyait lors de la précédente publication trimestrielle de livrer entre 52.000 et 55.000 véhicules sur son premier trimestre, a finalement annoncé des livraisons totales de 52.584 véhicules. Les revenus totaux du premier trimestre représentent l'équivalent de 2,74 milliards de dollars, près du double de l'an dernier et une croissance séquentielle de 6,4%. La progression des volumes atteint 66%. Les ventes de véhicules totalisent 2,67 milliards de dollars, en hausse de... 97%, mais la marge se tasse à 19,8% contre 22,4% un an plus tôt. Le bénéfice net ressort à 136 millions de dollars, contre une perte un an plus tôt. Le bénéfice net non-GAAP se chiffre à 206 millions de dollars le triple de l'an dernier et une croissance de 46% séquentiellement. Le free cash flow est positif de 976 millions de dollars sur le trimestre, un doublement par rapport au quatrième trimestre 2022.

First Citizens BancShares peut se frotter les mains ! Cette banque moyenne américaine a engrangé un bénéfice record au premier trimestre, avec la reprise à prix bradé des actifs de la Silicon Valley Bank suite à son effondrement. Pour le premier trimestre, First Citizens a gagné... 9,5 milliards de dollars, presque autant que JP Morgan et plus que Bank of America sur la période ! Le bénéfice net pour le trimestre clos le 31 mars 2023 a été plus précisément de 9,52 milliards de dollars, contre 257 millions de dollars pour le trimestre clos le 31 décembre 2022. Le bénéfice net disponible pour les actionnaires ordinaires pour le trimestre clos le 31 mars 2023 était de 9,50 milliards de dollars, soit 653,64$ par action ordinaire diluée, comparativement à 243 millions de dollars, ou 16,67$ par action ordinaire diluée au quatrième trimestre de 2022.

À la suite de l'acquisition des actifs de SVB, le bénéfice net comprend en effet un gain préliminaire sur l'acquisition de 9,82 milliards de dollars (net d'impôts), une provision pour crédit acquis non acheté détérioré ('non-PCD') et des pertes sur prêts et baux de 462 millions de dollars et une provision pour des engagements non financés de 254 millions de dollars. Le bénéfice net ajusté disponible pour les actionnaires ordinaires s'est élevé à 292 millions de dollars, ou 20,09 dollars par action ordinaire diluée, contre 306 millions de dollars, ou 20,94 dollars par action ordinaire diluée au quatrième trimestre 2022. Il est évidemment plus représentatif de l'activité.

Le revenu net d'intérêts a totalisé 850 millions de dollars, en hausse par rapport aux 802 millions de dollars du quatrième trimestre. Le segment SVB a contribué pour 65 millions de dollars au cours du trimestre. La marge nette d'intérêts s'est établie à 3,41%, soit une augmentation de 5 points de base par rapport au quatrième trimestre. Les revenus autres que d'intérêts ont totalisé 10,26 milliards de dollars, contre 429 millions de dollars au quatrième trimestre. L'augmentation est principalement attribuable à un gain de 9,82 milliards de dollars sur l'acquisition.

Roblox décroche avant bourse à Wall Street, alors que le groupe californien vient de publier des comptes trimestriels décevants. La plateforme de social-gaming, très populaire auprès des enfants, a annoncé pour le premier trimestre fiscal 2023 une perte par action de 44 cents, plus lourde que prévu, pour un niveau de 'bookings' de 774 millions de dollars supérieur quant à lui de 1% aux attentes de marché et en croissance de 23% en glissement annuel. Les revenus ont été de 655 millions de dollars. Le nombre moyen quotidien d'utilisateurs a été de 66,1 millions, en hausse de 22% en comparaison de l'an dernier. Les heures d'engagements, 14,5 milliards, ont progressé de 23%.

Teva corrige à Wall Street, alors que le laboratoire spécialiste des traitements génériques a publié pour son premier trimestre un bénéfice ajusté par action de 0,40$, à comparer à un consensus de 0,56$. Les revenus sur la période totalisent 3,66 milliards de dollars, proches des attentes des analystes (3,63 milliards). La perte GAAP par action a été de 18 cents. Le free cash flow a représenté 41 millions de dollars. Le groupe maintient toutefois ses estimations annuelles 2023, tablant sur des revenus allant de 14,8 à 15,4 milliards de dollars, un Ebitda ajusté logé entre 4,5 et 4,9 milliards, et un bpa non-GAAP allant de 2,25 à 2,55$. Le free cash flow annuel est espéré entre 1,7 et 2,1 milliards. Le management espère que les actions mises en place, concernant en particulier la chaîne d'approvisionnement et les produits innovants, permettront une amélioration de la marge brute sur les prochains trimestres.

 ■

Les informations et conseils rédigés par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Ces contenus n'ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d'erreur, d'omission ou d'investissement inopportun.

Votez pour cet article
0 avis
Note moyenne : 0
  • 0 vote
  • 0 vote
  • 0 vote
  • 0 vote
  • 0 vote
Actions les plus vues

Classement des actions les plus vues, pour la période du mardi 09 avril 2024 au lundi 15 avril 2024, des marchés Euronext Paris, Bruxelles, Amsterdam, Growth Paris, NASDAQ et NYSE sur le site et l'application Bourse Direct.

Jusqu'à
170€ de prime offerte*

Pour toute 1ère adhésion avant le 30 avril 2024 inclus, avec un versement initial investi à 30 % minimum sur un (ou des) support(s) d'investissement en unités de compte, non garanties en capital.
*SOUS CONDITIONS

Ces contrats présentent un risque de perte en capital.
Information publicitaire à caractère non contractuel.

CONTENUS SPONSORISÉS
SUR LE MÊME SUJET
Publié le 17/04/2024

x

Publié le 16/04/2024

La Bourse de New York a fini en forte baisse lundi, les inquiétudes concernant le Moyen-Orient et la hausse des rendements obligataires ayant éclipsé les bons résultats des ventes au détail…

Publié le 15/04/2024

Les marchés plient outre-Atlantique...

Publié le 15/04/2024

La Bourse de New York a fini en baisse vendredi, les tensions géopolitiques et l'inflation ont déprimé les investisseurs, tandis que les banques ont lancé sans brio la saison trimestrielle des…

Publié le 12/04/2024

Les tensions diplomatiques brident la confiance des marchés...

À LIRE AUSSI SUR BOURSE DIRECT
Publié le 16/04/2024

La Bourse de New York a fini en forte baisse lundi, les inquiétudes concernant le Moyen-Orient et la hausse des rendements obligataires ayant éclipsé les bons résultats des ventes au détail…

Publié le 16/04/2024

La Chine a annoncé une hausse plus importante que prévu de son PIB au 1er trimestre (+5,3% après +5,2% au 4ème trimestre 2023 et 4,6% anticipé). En rythme trimestriel, l'économie chinoise a…

Publié le 16/04/2024

La plateforme Liflow d'aide au diagnostic et au suivi longitudinal du patient en oncologie, met à disposition des radiologues un ensemble d'outils cliniques...

Publié le 16/04/2024

Dans un contexte géopolitique et économique incertain, le groupe Christian Dior reste à la fois vigilant et confiant en ce début d'année 2024...

Votre compte bourse direct

L'ouverture de votre compte Bourse Direct est gratuite et s'effectue en ligne en quelques minutes.
Dans le cas d'un transfert de compte, Bourse Direct prend en charge 100% de vos frais, à hauteur de 200 € par compte.

  • Pas de dépôt minimum
  • 0€ de droits de garde
  • 0€ d'abonnement
  • 0€ de frais de tenue de compte,

Demande de documentation

Ouvrir mon compte Bourse Direct en ligne

Séjour Coaching
2 jours All Inclusive

Découvrez notre coaching intensif de 2 jours tout compris, dans un lieu d'exception