Wall Street : Apple rebondit et sauve les indices !
Wall Street, très hésitant en début de séance suite aux piètres publications financières de trois de ses plus grandes capitalisations technologiques,...

Wall Street, très hésitant en début de séance suite aux piètres publications financières de trois de ses plus grandes capitalisations technologiques, Apple, Amazon et Alphabet, et à l'annonce de chiffres étonnamment forts de l'emploi américain, parvient désormais à revenir à l'équilibre. Pourtant, les chiffres particulièrement robustes de l'emploi ne militent pas pour un 'pivot' de la Fed à court terme. Le S&P 500 ne corrige plus que de 0,11% à 4.175 pts, le Dow Jones grappille 0,15% à 34.106 pts et le Nasdaq 0,02% à 12.204 pts. Sur le Nymex, le baril de brut WTI reprend 2,2% à 77,5$. L'once d'or abandonne 2,2% à 1.889$. L'indice dollar remonte de 0,7% face à un panier de devises de référence !
Les chiffres de l'emploi américain pour le mois de janvier 2023 sont tout simplement vertigineux ! Les créations d'emplois non-agricoles du mois de janvier sont ressorties au nombre de 517.000, contre un consensus de 185.000 et un niveau révisé... en hausse à 260.000 pour décembre ! Le taux de chômage s'établit quant à lui à 3,4%, au plus bas depuis 1969, contre 3,6% de consensus et 3,5% un mois auparavant. Les créations d'emplois dans le secteur privé ont été de 443.000, contre 168.000 de consensus FactSet et 269.000 un mois plus tôt. Le salaire horaire moyen augmente comme attendu de 0,3% en comparaison du mois précédent et de 4,4% sur un an. Les créations d'emplois manufacturiers sont de 19.000, contre 15.000 de consensus.
Les économistes ont donc complètement raté leurs comptes, puisqu'ils anticipaient le plus faible rapport sur l'emploi américain en près de deux ans, après une vague de plans de licenciements des grands noms technologiques américains. Les chiffres du jour, démontrant une surchauffe persistante du marché du travail US malgré les hausses de taux inédites de la Fed, interpellent. Ils font aussi remonter les probabilités d'une poursuite du durcissement monétaire et repoussent l'échéance des assouplissements tant espérés par les opérateurs. Comme d'habitude en janvier, le Bureau of Labor Statistics du Département américain au travail a utilisé des statistiques actualisées sur la population américaine pour compiler ses données. Alors que le taux de chômage n'a pas été affecté, à un niveau historiquement bas de 3,4%, le taux de participation à la force de travail est passé de 62,3 à 62,4%.
L'indice Markit PMI composite américain final du mois de janvier 2023 est ressorti à 46,8, contre 46,6 de consensus et 46,6 en lecture préliminaire. L'indice des services s'est aussi établi à 46,8, contre 46,6 de consensus Factset et 46,6 pour la lecture flash.
L'indice ISM des services américains du mois de janvier 2023 est ressorti à 55,2, largement supérieur au consensus qui était de 50,4. La lecture révisée de décembre est de 49,2, contre 49,6 auparavant estimé. Les chiffres de janvier signalent une forte expansion de l'activité dans les services, en contradiction totale avec les données publiées plus tôt ce jour par Markit, qui montraient une forte contraction sur la même période.
Les valeurs
Apple (+4% !) a pourtant raté le consensus de bénéfice trimestriel pour la première fois depuis 2016, les ventes d'iPhone étant ressorties décevantes. Le groupe californien à la pomme a tout de même livré des prévisions plutôt confiantes, et les marchés semblent miser ce jour sur la réouverture chinoise. Quoi qu'il en soit, la performance du premier trimestre fiscal laisse à désirer, puisque le groupe de Tim Cook a aussi annoncé le premier déclin de ses revenus en trois ans et demi, après les problèmes significatifs de chaîne d'approvisionnement en Chine ayant perturbé les livraisons d'iPhone durant la cruciale saison des fêtes de fin d'année. Fort heureusement, le groupe travaille à réduire sa dépendance vis-à-vis de la production chinoise, mais cela prendra du temps.
Apple a annoncé hier soir les résultats financiers du premier trimestre de l'exercice 2023 clos le 31 décembre. La société a enregistré un chiffre d'affaires trimestriel de 117,2 milliards de dollars, en baisse de 5% d'une année sur l'autre, et un bénéfice trimestriel par action diluée de 1,88$. "Alors que nous continuons tous à naviguer dans un environnement difficile, nous sommes fiers d'avoir notre meilleure gamme de produits et services à ce jour, et comme toujours, nous restons concentrés sur le long terme et menons avec nos valeurs dans tout ce que nous faisons", a déclaré Tim Cook, DG d'Apple. "Au cours du trimestre de décembre, nous avons franchi une étape importante et sommes ravis d'annoncer que nous avons maintenant plus de 2 milliards d'appareils actifs dans le cadre de notre base installée croissante".
"Nous avons établi un chiffre d'affaires record de 20,8 milliards de dollars dans notre activité Services, et malgré un environnement macroéconomique difficile et des contraintes d'approvisionnement importantes, nous avons augmenté le chiffre d'affaires total à taux de change constant", a déclaré Luca Maestri, directeur financier d'Apple. "Nous avons généré 34 milliards de dollars de flux de trésorerie d'exploitation et restitué plus de 25 milliards de dollars aux actionnaires au cours du trimestre tout en continuant d'investir dans nos plans de croissance à long terme".
Les revenus 'iPhone' d'Apple sur le trimestre clos ont chuté à 65,8 milliards de dollars, contre 71,6 milliards un an plus tôt et 67,8 milliards de dollars pour le consensus FactSet ! Apple avait certes prévenu dès novembre que ses livraison d'iPhone 14 Pro et Pro Max allaient être impactées par les contraintes de production sur le site majeur de Foxconn en Chine, mais la déception est encore plus importante que prévu. Tim Cook a voulu quant à lui rassurer durant la conférence de présentation des résultats, assurant qu'Apple aurait pu afficher de la croissance sur les iPhone sans ces perturbations. Il estime néanmoins très difficile de prédire si la firme sera en mesure de récupérer les ventes perdues.
Ainsi, le chiffre d'affaires total, à 117,2 milliards de dollars contre 123,9 milliards un an plus tôt, rate le consensus qui était de 121,4 milliards. Depuis le début de l'année 2018, Apple n'avait raté que par deux fois les attentes de revenus. La baisse de 5,5% des revenus est par ailleurs la plus importante depuis le trimestre clos en septembre 2016. Apple a aussi déçu hier soir en termes de rentabilité. Le bénéfice est ressorti à 30 milliards de dollars soit 1,88$ par titre, contre 34,6 milliards de dollars un an avant. Le consensus était de 1,94$ de bénéfice par action. Le CFO Maestri a évoqué des vents contraires importants en matière de change, des contraintes d'approvisionnement sur l'iPhone 14 Pro et l'iPhone 14 Pro Max et un environnement macroéconomique difficile. Il a indiqué qu'il s'attendait à ce que la performance des revenus d'Apple d'une année sur l'autre au cours du trimestre de mars soit similaire à celle du trimestre de décembre. Cela marquerait en fait une sorte d'accélération, puisque le trimestre de décembre avait bénéficié d'une semaine supplémentaire.
Amazon abandonne 5% à Wall Street. Le géant américain du commerce en ligne a dévoilé des comptes plus que mitigés, affichant même sa plus importante perte annuelle en tant que société cotée. C'est la première perte annuelle depuis 2014 pour le groupe. Le géant de Seattle a annoncé pourtant hier soir des revenus record de 149,2 milliards de dollars sur le quatrième trimestre, dépassant les attentes de marché, mais les chiffres de rentabilité ressortent assez préoccupants. Sur l'ensemble de l'exercice clos, Amazon affiche une perte nette de 2,7 milliards de dollars pour des revenus de 514 milliards de dollars. En 2014, précédente année déficitaire, le groupe avait perdu 241 millions de dollars. Néanmoins, la perte de l'année écoulée est due en bonne partie à la chute de l'action Rivian, qui a généré une perte de valorisation avant imposition de 12,7 milliards de dollars, après avoir copieusement dopé les bénéfices en 2021... Amazon n'avait jamais perdu plus de 1,4 milliard de dollars en une seule année depuis son introduction en bourse en 1997, selon les dossiers de FactSet.
Andy Jassy, le nouveau directeur général du groupe, a souligné hier soir les efforts actuels de réduction des coûts. Le groupe fait face selon lui à une économie incertaine à court terme, mais le dirigeant dit rester optimiste à propos des opportunités de long terme.
Amazon a dévoilé hier soir son trimestre des fêtes le moins rentable depuis 2014, entraînant ainsi la plus importante perte annuelle jamais enregistrée pour le géant du commerce électronique, qui a également déçu Wall Street avec ses prévisions beau au milieu d'inquiétudes concernant la croissance du cloud. Le groupe a annoncé un bénéfice de 278 millions de dollars, soit 3 cents par action, contre 1,39$ par action il y a un an. Les revenus ont augmenté à 149,2 milliards de dollars contre 137,4 milliards de dollars il y a un an. Les analystes s'attendaient en moyenne à un bénéfice de 17 cents par action sur des ventes de 145,7 milliards de dollars selon FactSet. Amazon a donc déploré une perte annuelle record, mais les ventes annuelles de l'entreprise franchissent quant à elles pour la première fois les 500 milliard de dollars.
Le bénéfice d'Amazon au quatrième trimestre a de nouveau été entravé par le déclin boursier de Rivian, qui a coûté à Amazon 2,3 milliards de dollars de bénéfice net au cours du trimestre. En outre, Amazon a également reconnu une grande partie des coûts de ses licenciements récemment annoncés et d'autres réductions de coûts dans les résultats du quatrième trimestre. Les charges de dépréciations de 2,7 milliards de dollars comprenaient 640 millions de dollars d'indemnités de départs liées aux licenciements et 720 millions de dollars liés aux fermetures et à la dépréciation des magasins physiques, a déclaré le directeur financier Brian Olsavsky. Le mois dernier, Amazon avait annoncé les suppressions de 18.000 emplois.
Les performances d'Amazon Web Services ont aussi déçu. La division a raté le consensus de ventes qui était de plus de 22 milliards de dollars sur le trimestre. AWS a tout de même affiché 20% de croissance à 21,4 milliards de dollars, mais cela ne dissipe par les craintes de ralentissement. Amazon prévoit entre 0 et 4 milliards de dollars en termes de bénéfice d'exploitation ce trimestre, contre 3,7 milliards de dollars à la même période un an auparavant et 4 milliards de dollars attendus par les analystes.
Alphabet (stable) a légèrement raté le consensus de revenus et bénéfices trimestriels. La société mère de Google a annoncé un chiffre d'affaires total de 76,05 milliards de dollars au quatrième trimestre fiscal, contre 75,3 milliards de dollars il y a un an. Le bénéfice s'est élevé à 13,6 milliards de dollars, ou 1,05$ par action, contre 20,6 milliards de dollars, ou 1,53 $ par action, un an plus tôt. Le chiffre d'affaires d'Alphabet hors coûts d'acquisition de trafic (TAC) a représenté 63,12 milliards de dollars, contre 61,9 milliards de dollars il y a un an. "Nous sommes sur un chemin important pour repenser notre structure de coûts de manière durable et pour construire des entreprises financièrement durables, dynamiques et en croissance à travers Alphabet", a déclaré le directeur général Sundar Pichai, alors qu'Alphabet vient d'annoncer 12 000 licenciements. Le management a aussi précisé qu'un recul des dépenses des annonceurs dans un contexte économique plus difficile ainsi que des vents contraires liés aux taux de change avaient eu un impact sur les ventes.
Les analystes interrogés par FactSet s'attendaient à un chiffre d'affaires trimestriel total de 76,2 milliards de dollars et un bénéfice de 1,18$ par action. Les revenus hors TAC étaient estimés à 63,2 milliards de dollars.
Nordstrom bondit de 21% à Wall Street, alors que Ryan Cohen, investisseur activiste à l'origine de la mémorable flambée de GameStop sur la cote américaine, aurait amassé une participation significative au capital de la chaîne de distribution de vêtements, bijouterie et cosmétiques. Selon le Wall Street Journal, qui cite des personnes familières de la question, Cohen entendrait demander des changements au conseil d'administration de Nordstrom suite au déclin de son cours de bourse. L'activiste serait prêt à discuter avec le management de Nordstrom d'un "rafraîchissement ciblé" de son conseil d'administration, afin de soutenir des efforts de réduction des coûts alors que les ventes déclinent. Cohen serait l'un des cinq principaux actionnaires de la chaîne hors membres de la famille Nordstrom.
Ford (-6%) corrige suite à sa publication financière. Le constructeur automobile américain a annoncé une perte de 2 milliards de dollars pour l'année et des résultats trimestriels mitigés, évoquant les coûts et systèmes qui ont affecté ses efforts pour devenir une entreprise plus agile. "Notre performance financière du quatrième trimestre et de l'année dernière n'a pas été à la hauteur de notre potentiel", a déclaré le directeur général Jim Farley. "Dire que je suis frustré est un euphémisme", a ajouté le CEO. Le groupe a gagné 1,3 milliard de dollars, ou 32 cents par action, au quatrième trimestre, contre 12,3 milliards de dollars, ou 3,03 dollars par action, il y a un an. Hors éléments ponctuels, la société a gagné 51 cents par action. Les revenus ont augmenté de 17% à 44 milliards de dollars. Les analystes interrogés par FactSet s'attendaient à ce que Ford annonce un bénéfice ajusté de 62 cents par action pour des ventes de 41,4 milliards de dollars.
Qualcomm (+1%), le géant américain des technologies mobiles, a dépassé les attentes de profits sur le trimestre clos mais raté le consensus de revenus. Au premier trimestre fiscal, qui s'est terminé le 25 décembre, Qualcomm a affiché des revenus en recul de 12% à 9,46 milliards de dollars, manquant la projection moyenne des analystes qui se situait à 9,6 milliards. Les ventes liées aux combinés ont chuté de 18% à 5,75 milliards de dollars. Les ventes automobiles ont bondi en revanche de 58% pour atteindre 456 millions de dollars. Le chiffre d'affaires des appareils connectés a augmenté de 7% pour atteindre 1,68 milliard de dollars. Le bénéfice ajusté trimestriel par action a été de 2,37$, contre 2,36$ de consensus. Le bénéfice net a été de 2,24 milliards, contre 3,4 milliards un an avant. Pour le deuxième trimestre fiscal, le concepteur de semi-conducteurs envisage des revenus allant de 8,7 à 9,5 milliards de dollars, contre 9,6 milliards de consensus. Le bpa ajusté est attendu entre 2,05$ et 2,25$, contre 2,29$ de consensus.
Gilead Sciences (+4%), le laboratoire américain, grimpe à Wall Street au lendemain de robustes comptes. Le groupe a même affiché sa meilleure croissance en sept ans, avec la forte progression des revenus sur les traitements du cancer. Les ventes de produits hors Veklury ont progressé de 8% sur l'exercice, alors que les revenus de Biktarvy se sont améliorées de 20%. Les ventes d'oncologie ont flambé de 71% ! Les revenus totaux du quatrième trimestre ont augmenté de 2% à 7,4 milliards de dollars, avec l'oncologie, ainsi que les traitements HIV et HCV. Le bénéfice ajusté par action a été de 1,67$ sur le trimestre, contre 69 cents un an plus tôt. Le bénéfice net trimestriel a atteint 1,6 milliard de dollars, contre 376 millions un an avant. Le consensus était de 1,51$ de bpa ajusté trimestriel pour 6,6 milliards de revenus.
Cigna (stable), l'assureur santé américain, a publié pour son quatrième trimestre fiscal un bénéfice supérieur aux attentes mais des revenus un peu courts. Hors éléments, le bénéfice ajusté par action a été de 4,96$, dépassant de 2% le consensus de marché. Sur l'ensemble de l'exercice, les revenus totalisent 180,5 milliards de dollars, pour un bénéfice net de 6,7 milliards de dollars et un bénéfice par action de 21,3$. Le bénéfice ajusté des opérations a été de 7,3 milliards de dollars sur la période, 23,27$ par action. Ce bénéfice ajusté annuel par action est attendu d'au moins 24,6$ par titre en 2023, soit plus de 7,33 milliards de dollars.
Gen Digital (-9%), ex-NortonLifeLock, acteur majeur des solutions de sécurité informatique, a publié pour son troisième trimestre fiscal un bénéfice ajusté par action de 45 cents, contre 42 cents de consensus et 44 cents un an avant. Les revenus ont totalisé 936 millions de dollars, 1% de mieux que le consensus, alors qu'ils se situaient à 704 millions de dollars sur la période correspondante, l'an dernier. Ainsi, les revenus ont grimpé de 33% en glissement annuel, alors que le bénéfice opérationnel s'est apprécié de 41% à 526 millions de dollars. La marge opérationnelle, de 56%, a augmenté de 3 points.
Zimmer Biomet (+2%), le fournisseur américain de matériel médical, a publié pour son quatrième trimestre fiscal des revenus de 1,825 milliard de dollars, en augmentation de 3% et même un peu plus de 8% à devises constantes. Le bénéfice ajusté dilué par action des opérations poursuivies a été de 1,88$. Le consensus était de 1,83$ de bpa ajusté et 1,76 milliard de dollars de revenus. Les revenus annuels ont été de 6,94 milliards de dollars pour un bénéfice ajusté par action de 6,89$. Pour l'exercice 2023, le groupe envisage une croissance des revenus de 1,5 à 3,5%, ainsi qu'un bpa ajusté allant de 6,95 à 7,15$.
Regeneron (+4%), le laboratoire américain, a annoncé une forte baisse de ses bénéfices trimestriels avec l'érosion des revenus liés au Covid-19. Le bénéfice trimestriel a chuté de moitié, avec la baisse des ventes américaines du blockbuster oculaire Eylea, et l'assèchement des ventes du cocktail d'anticorps contre le Covid-19. Sur le trimestre clos, Regeneron affiche un bénéfice net de 1,2 milliard de dollars et 10,5$ par titre, contre 2,23 milliards de dollars un an plus tôt. Les revenus trimestriels ont chuté quant à eux de 31% à 3,41 milliards de dollars. Le bénéfice ajusté par action a tout de même dépassé nettement les attentes à 12,56$, contre 23,42$ un an plus tôt et 10,2$ de consensus FactSet. Les revenus sont à comparer à un consensus de 3,13 milliards de dollars.
Tesla (+5%) a écoulé 66.051 véhicules électriques fabriqués en Chine en janvier, soit une augmentation de 10,4% en comparaison de l'an dernier et un bond de 18% par rapport à décembre 2022, selon les données - comprenant les exports - publiées aujourd'hui par l'Association chinoise des voitures de tourisme (CPCA). Il s'agit des premiers chiffres mensuels chinois de livraisons du site de Shanghai depuis les réductions brutales de prix du groupe d'Elon Musk. Tesla prévoit de produire en moyenne près de 20 000 véhicules par semaine dans son usine de Shanghai en février et mars, selon Reuters. La société s'attend à ce que la production mensuelle atteigne à peu près les niveaux de septembre de 82 000 véhicules.
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