Pour sa deuxième séance de cotation, TechnipFMC a abandonné 1,62 % à 32,71 et Vallourec 2,48 % à 6,68 malgré l’annonce de sa réorganisation en quatre zones.

Le secteur bancaire était aussi mal orienté après l'annonce d'un accord entre Deutsche Bank et la justice américaine sur une amende de 6,7 MDE concernant le litige sur la vente de crédits subprime avant la crise de 2009, ce qui aura un effet négatif de 1,2 MDE sur le résultat de son quatrième trimestre. BNP Paribas a reculé de 1,44 % à 56,69 et Société Générale de 0,68 % à 45,515.

En Allemagne, l'inflation a accéléré en décembre (+ 0,50 %) et atteint 1,7 % en 2016 malgré le recul du prix de l'énergie (- 5,4 %) tout comme en Zone euro où elle s'est aussi renforcée en décembre (+ 0,5 % et + 1,1 % sur 1 an).

Le titre EDF a pris 3,33 % à 9,30 après avoir obtenu de l'Autorité de Sûreté Nucléaire l'autorisation de retarder les opérations de contrôle prévues sur le réacteur numéro 1 de la centrale de Civaux, le temps que le réacteur numéro 2 revienne en production, et au plus tard le 17 mars 2017. Une décision qui lui permet de réduire ses achats extérieurs d’électricité.

A contre-courant, ArcelorMittal s’est apprécié de 2,99 % à 7,745. Commerzbank est passé de Conserver à Achat et a relevé son objectif de 6,5 à 9,5, estimant que son bilan lui permettra de reprendre le paiement de dividendes et lui apportera aussi la possibilité d'augmenter ses investissements de croissance.

Sanofi (+ 0,50 % à 76,50) a obtenu l’autorisation de la Commission européenne de mise sur le marché du Suliqua, son nouveau traitement du diabète de type 2.

Le titre Pierre et Vacances a bondi de 4,58 % à 41,78 après l’annonce d’une hausse de 8,9 % de son chiffre d'affaires à 290,9 ME dont 241,2 ME pour la branche tourisme, soutenu par les ventes de Center Parcs Europe (+ 6,3 % à 149,4 ME). Le chiffre d'affaires de l'autre branche du groupe, l'Immobilier, a augmenté de 36,2 % à 49,6 ME.

L’indice CAC40 a ainsi perdu 0,13 % à 4.853,40 dans un volume correct avec 2,857 MDE échangés.