Pierre Moscovici défend l'indépendance de la Cour des comptes pour sa dernière audition à l'Assemblée
Le Premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici a vigoureusement défendu l'indépendance de celle-ci, "ni pouvoir ni contre-pouvoir", pour sa dernière audition mardi devant la commission des Finances de l'Assemblée nationale, consacrée au pacte Dutreil.M. Moscovici, qui va rejoindre en janvier la Cour des comptes européenne à Luxembourg, a salué avec "émotion" la "qualité du travail entre la Cour et le Parlement" ces cinq dernières années."J'ai souhaité, a-t-il expliqué, que la Cour soit cette institution +sui generis+, ni pouvoir ni contre-pouvoir , à équidistance…